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« Avoir fait plus pour le monde que le monde n’a fait pour vous : c’est ça, le succès. » Henry Ford - Think positive !
Toutes les pensées positives et citations inspirantes ICIDepuis plusieurs années déjà, les élus attirent l'attention du gouvernement quant à la nécessité de légiférer sur les médecines non conventionnelles. Souvent mise à l'ordre du jour, la question de la reconnaissance de ces pratiques n'a pourtant jamais abouti à des propositions concrètes. Aujourd'hui enfin, les pouvoirs publics s'emparent sérieusement du sujet. Le Centre d'Analyse Stratégique (CAS), institution d'expertise et d'aide à la décision placée auprès du premier ministre, a publié en octobre dernier une note s'intitulant "Quelle réponse des pouvoirs publics à l'engouement pour les médecines non conventionnelles ?"
Un label : pourquoi ?
En substance, le texte s'inscrit dans une démarche de clarification de la situation de ces médecines et d'encadrement des praticiens. L'objectif est clair : "tirer le meilleur profit des médecines non conventionnelles tout en garantissant la qualité et la sécurité des services de santé." Car les enjeux sont importants.
Le CAS souligne en effet le potentiel de ces techniques en termes de prévention et de santé publique. L'éducation à la santé, et la préservation du capital sont des notions importantes souvent abordées par les praticiens et notamment les naturopathes. Des approches qui permettent une meilleure prévention et contribuent ainsi au vieillissement en bonne santé. En complémentarité avec la médecine allopathique, elles participent à "globaliser" la prise en charge du patient en répondant à des besoins différents, notamment dans le cas de pathologies lourdes. Les études montrent que, dans l'ensemble de l'Union Européenne, le recours à ces pratiques atteint 80% chez les patients cancéreux.
Néanmoins, ces pratiques qui reposent encore pour l'essentiel sur l'empirisme doivent faire l'objet d'études approfondies afin de démontrer et de valider scientifiquement leur efficience, condition préalable à leur intégration officielle dans le système de santé français. Vaste programme donc que le CAS décline en 5 propositions.
1. Ouvrir une plateforme d'information
Il est important de recenser les connaissances actuelles sur les médecines non conventionnelles, les plantes médicinales et les praticiens du secteur. Le référencement de ces informations permettrait au grand public d'exercer sa "liberté thérapeutique" de manière éclairée. Le patient consulte en connaissance de cause et devient ainsi acteur principal de sa santé en participant à la décision médicale. La proposition rejoint en cela les objectifs de la loi Kouchner du 4 mars 2002 applicable aux professionnels de santé.
2. Une étude approfondie
Le code de déontologie médicale précise que "les médecins ne peuvent proposer aux malades ou à leur entourage comme salutaire ou sans danger un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé." Pour prétendre à la reconnaissance, les pratiques recensées devront faire l'objet d'études visant à s'assurer de leur innocuité et à en valider scientifiquement les bénéfices par rapport aux risques encourus. Dans cette perspective, certains thérapeutes ouvrent le marche et créent des centres de recherche sous une forme associative. Les initiatives privées devront se multiplier pour faire avancer les choses. Pour celles qui aboutiront, l'ouverture ainsi dégagée vers le pluralisme thérapeutique implique nécessairement de mener la réflexion sur la prise en charge financière de ces services.
3. Un examen clinique et juridique
Afin de permettre aux patients de faire un choix éclairé, il faudrait que ce label de thérapeute soit obtenu suite à un examen clinique et juridique. Toujours dans une perspective de protection du patient, la légitimité des thérapeutes serait assise par l'obtention de ce diplôme. Cette proposition ne pose pas de difficulté majeure pour les futurs thérapeutes et doit être accueillie avec enthousiasme en ce qu'elle permettra véritablement d'éviter l'écueil du charlatanisme. Les thérapeutes en exercice ne seront a priori pas exemptés, sans obligation toutefois puisque l'on semble s'orienter vers un label facultatif.
4. Labelliser les offres de formations en écoles privées
Il s'agit d'éviter les difficultés rencontrées dans les écoles d'ostéopathie et de former les praticiens sérieux. Jusqu'ici, il n'existe pas de formation diplômante pour les non professionnels de santé. Il en résulte que le niveau de formation d'une école à l'autre varie sensiblement. Certaines écoles proposent même des formations sur quelques week-ends pour des sommes astronomiques. Ce label serait également un instrument de standardisation des pratiques et la garantie d'une formation efficace et sérieuse.
5. Des modules d'initiation aux médecines non conventionnelles pour les futurs médecins
Pour répondre à l'objectif affiché de la complémentarité entre la médecine allopathique et la médecine non conventionnelle, le CAS encourage l'apprentissage par les professionnels de santé de ces techniques dans les cursus universitaires. Les médecins ainsi sensibilisés pourraient eux-mêmes endosser la casquette d'éducateur de santé par exemple. Ils seraient également plus à même de rediriger les patients vers le thérapeute lorsque cette solution s'impose.
Ce rapport doit être accueilli chaleureusement par les thérapeutes en ce qu'il envisage une pratique sécurisée de la profession, tant pour le patient que pour le praticien, qui pourra exercer plus librement si les propositions aboutissent à un encadrement.
Source : Profession thérapeute n°16
Frédéric Lenoir, philosophe et écrivain, a récemment publié La guérison du monde. Entretien avec lui.
"Je passe un tiers de ma vie à courir. Deux fois cinq jours par mois où je suis à Paris et où je regroupe tous mes rendez-vous : mes conférences, mon émission sur France Culture (Les Racines du Ciel), le Monde des religions que je dirige, mes éditeurs, les interviews. J'ai une vie sociale intense, je vais au théâtre, au cinéma, à des dîners, j'ai des échanges très variés, je suis dans une sorte de tourbillon, et celui-ci me permet de rencontrer l'autre, sa pensée.
J'ai toujours eu des intérêts extrêmement divers, mais depuis ma thèse de doctorat autour de la rencontre entre le bouddhisme et l'Occident, l'étiquette "expert en religions" me colle à la peau, occultant un peu mon oeuvre de fiction (roman, BD, théâtre) et mes préoccupations sociétales et écologiques. Cette étiquette ne correspond plus vraiment à ce que je suis, à ce que je défends et que je viens d'exprimer dans La guérison du monde, un livre où je donne ma vision philosophique de la crise systémique. N'attendons plus le changement d'en haut (l'Etat ou les partis politiques) ; c'est parce que chaque individu changera que le monde changera ! Quittons la logique quantitative et de court terme du "toujours plus" et revenons à la qualité : de la vie, du travail, de l'être.
J'essaye de vivre cette philosophie pendant les deux autres tiers de ma vie que je passe à la campagne, dans le sud de la France. Là, je cesse de courir. Je prends le temps de flâner, de me balader, sans souci d'efficacité. Je médite une demi-heure par jour (contre quelques minutes à peine quand je suis à Paris), je fais de la randonnée, du tennis, des activités physiques, j'ai besoin que mon corps vive. Je papote avec mes voisins, je décompresse avec de vrais amis, je suis relié à la nature, je m'occupe de mes animaux, un chien et 3 chats. Mon travail d'écriture est nourri de ce temps de détente, de réflexion, de maturation dans lequel viennent les idées. J'ai écrit une trentaine de livres, mais aucune ligne à Paris. J'ai rédigé La guérison du monde devant mon champ de lavande, en regardant les abeilles butiner.
Je connais bien la montagne. Je l'observe depuis mon enfance. J'ai vu des glaciers fondre, des rivières, où je jouais autrefois, s'assécher. J'ai pu, année après année, observer les effets du dérèglement climatique sur la nature. Celle-ci a été le premier lieu de ma rencontre avec le sacré, m'y promener me ressource profondément. C'est par elle que commencera la guérison du monde : se couper de la nature est une mutilation en soi."
Source magazine Inexploré
Changer de travail, déménager, s'adapter aux progrès technologiques ou aux bouleversements climatiques... Notre siècle bouge en accéléré, nos repères changent et nous devons suivre. Voici 6 conduites à suivre pour une meilleure adaptation.
1. Lâcher prise
S'adapter demande de la souplesse et donc souvent, d'abord, une prise de risques : oser lâcher sa peur et son désir de contrôle. Catherine Mélières s'est spécialisée dans la thérapie des personnes terrorisées par l'eau : "Pour leur apprendre à nager, je dois d'abord les réadapter à ressentir ce que dit leur corps, dont elles se sont coupées. Les muscles tétanisés, elles coulent. Je vais donc les rassurer suffisamment, d'abord en les tenant dans mes bras pour qu'elles acceptent de se détendre et puissent découvrir que, ô miracle, un corps humain détendu flotte ! Pour beaucoup, cela passe littéralement par un processus de mort-renaissance. Elles pensent : "Tant pis, je meurs !" avant de se lâcher dans un vide effrayant. Mais ensuite, quel délice ! L'adaptation à cette nouvelle sensation se répercute sur toute leur existence. Ce n'est pas seulement qu'elles nagent : des pans entiers de leur vie changent."
2. Cultiver sa vie intérieure
"S'adapter, confirme Thomas d'Ansembourg, n'est possible que si l'on a confiance, donc si l'on se connaît soi-même et que l'on s'accepte. Une personne emplie de peurs est psychorigide, et donc inadaptable." Cet ex-avocat d'affaires devenu éducateur pour jeunes des quartiers difficiles, puis psychothérapeute et acteur de la communication non violente (CVN) a un leitmotiv : il pense que la citoyenneté est impossible sans intériorité. "Ce que m'apprend la CVN, c'est à m'adapter au monde en ne résistant pas à ce qui est, y compris à mes sentiments tristes, déprimés, agressifs, qu'il s'agit d'écouter aussi, pour me remettre sur mon chemin.
3. Préférer la simplicité
Selon Pierre Rabhi, poète entre autres, "Pour l'humain, je crois qu'il faut avoir intégré l'idée de sobriété heureuse pour pouvoir s'adapter au monde qui vient, en harmonie avec la nature et avec les autres humains."
4. Accepter l'optimisme
Souvent, les optimistes paraissent moins réalistes que les pessimistes, donc moins adaptés au réel. Mais les anthropologues ont prouvé qu'à long terme, c'est le contraire. Pourquoi la sélection naturelle a-t-elle privilégiée les optimismes ? Synthétisée par le Canadien Lionel Tiger, la thèse est la suivante : à mesure que le cerveau de nos ancêtres s'est développé, il leur a donné le fabuleux pouvoir de se projeter dans l'avenir, et donc aussi de visualiser les dangers à venir et, pire, leur propre et inéluctable mort. Ces visions insupportables auraient bloqué l'aventure humaine si, dans son "génie, la nature n'avait pas su adapter notre cerveau à la situation, mettant en place des mécanismes de sous-estimation du mauvais et de surestimation du bon. En d'autres termes, notre organisme triche sur la réalité, mais pour notre bien, puisqu'ainsi nous osons nous inventer des lendemains et bâtir des civilisations.
5. Donner du sens
Cette leçon nous vient d'une zone sombre puisque le psychiatre Viktor Frankl en a trouvé l'inspiration à Auschwitz où il se demandait par quel miracle certains de ses compagnons réussissaient à "s'adapter" à l'enfer et y survivre. La réponse qu'il trouva, c'est que tout humain a vitalement besoin de sens. Sans cela, notre vitalité nous quitte et nous mourons. Trouver du sens en camp d'extermination était un exploit. Certains le plaçaient dans l'espoir de retrouver un être aimé. D'autres dans la certitude d'une oeuvre à accomplir. Frankl décrit ainsi la suite de sa découverte : si vous parvenez à sincèrement donner du sens à un monde qui, en soi, n'en a pas, alors un sens plus grand peut se révéler à vous, transfigurant votre vie.
6. Réinventer son passé pour inventer son avenir
Boris Cyrulnik montre dans son dernier livre Sauve-toi, la vie t'appelle à quel point nous reconstruisons notre propre histoire, en mélangeant réel et sa représentation fictive. "Peu nous importe la réalité objective, dit le neuroéthologue, se raconter un passé cohérent est indispensable pour pouvoir s'adapter au réel. Mais cela nécessite une mémoire et un rêve, un projet d'existence."
Source : Clefs n°81
Le salon pour les médecines douces, les produits et naturels, est de retour ! Plus de 300 stands, 150 ateliers pour mieux comprendre les méthodes de soin et tester les produits, 35 ateliers pratiques, et 20 conférences ! N’hésitez pas à préparer votre visite afin de ne pas passer à côté d’événements importants et d’activités passionnantes.
En octobre dernier, l'Assistance publique des Hôpitaux de Paris a signé un accord avec lee ministère de la Santé chinois afin de développer les échanges entre leurs différentes pratiques médicales.
Le but est d'étudier l'efficacité de techniques comme l'acupuncture ou la pharmacopée chinoise, validant par la même occasion leur efficacité et leur innocuité. Le docteur Catherine Viens-Bikter, chargée du projet Médecines complémentaires, révèle que "Neuf projets de recherches sont en cours au sein de l'AP-HP. C'est au CHU d'évaluer l'efficacité des médecines." A Paris, quasiment tous les grands hôpitaux ont inclus des méthodes telles que l'hypnose, l'acupuncture, la chiropraxie, les massages et l'ostéopathie, à leur prise en charge traditionnelle. "Il y a déjà des consultations de médecine manuelle ostéopathique pratiquée à l'Hôtel-Dieu." Sans parler de l'hypnose que l'on retrouve partout dans la prise en charge de la douleur, mais également en pédopsychiatrie à la Pitié-Salpêtrière.
Les médecines naturelles ont donc le vent en poupe ! Elles obtiennent au fur et à mesure une vraie reconnaissance de la part du monde hospitalier, à défaut que ce ne soit celle des autorités publiques. Pour ceux qui l'auraient raté, le journal télévisé de TF1 a récemment diffusé un reportage sur des thérapeutes travaillant en parfaite collaboration avec des médecins et chirurgiens dans une clinique du Mans. Naturopathes et sophrologues, entre autres, sont désormais présents pour accompagner les patients.
Source : Profession Thérapeute n°16
Le 10 février prochain s'ouvre, à Strasbourg, un diplôme universitaire (DU) "Médecine, méditation et neurosciences".
C'est la première fois que la méditation entre à l'université. Jean-Gerard Bloch, rhumatologue, instructeur MBSR, est à l'initiative de ce diplôme. Il s'attache à promouvoir une autre approche de la médecine du corps-esprit. I
Après l'Angleterre, l'Allemagne et la Suisse, voici que la méditation devient sujet d'étude universitaire en France. Quel est l'objectif de ce diplôme?
J'ai voulu proposer aux personnes du monde de la santé, médecins, psychologues, chercheurs en neurosciences, une nouvelle approche de la médecine du corps-esprit avec une validation scientifique. Et cela sur la base des résultats d'un programme qui a fait ses preuves depuis 30 ans aux USA. La MBSR (Mindfullness based stress reduced) ou la réduction du stress basée sur la méditation de pleine conscience est un programme de huit semaines qui a été formalisé par Jon Kabat-Zinn. Ce professeur de biologie moléculaire convaincu a laïcisé la méditation bouddhiste pour lui permettre d'entrer dans les hôpitaux et cliniques américaines, avec un programme très pédagogique d'exercices et de pratique quotidienne pour apprendre à vivre en pleine conscience et retrouver son potentiel de vie, au delà de la maladie. La pleine conscience s'adresse à tous, souffrants ou non. Des recherches avec des études cliniques et fondamentales ont pu valider des résultats, notamment pour accompagner ces douleurs chroniques auxquelles la médecine traditionnelle ne répond pas complètement.
Source la vie.fr
Rappelons à ceux qui ont tendance à trouver quelque peu curieuse, voire ésotérique, la représentation du corps humain proposée par la philosophie indienne que la philosophie occidentale et même la médecine institutionnelle utilisent des catégorisations et des représentations analogues pour décrire la structure de l'être humain.
Ne parlons-nous pas, par exemple, de système à l'intérieur du corps (digestif, respiratoire, circulatoire), d'âmes (les "états d'âme"), d'esprit, d'intelligence, de conscience, d'émotions et de sentiments ? Certains de ces représentations sont objectivement visibles, comme le corps physique. D'autres représentations sont davantage le fruit d'une convention, comme le système nerveux, invisible dans la vie de tous les jours.
De façon analogue, les chakras ne sont pas visible et si on les cherche à l'intérieur d'un corps, dans une perspective anatomique, ils seront introuvables. C'est la raison pour laquelle la philosophie indienne les situe au niveau du corps subtil. Ce dernier est traversé par des milliers de canaux, les nadis, par lesquels passe la force vitale, le prana, l'essence même de la vie. C'est la mauvaise qualité et la quantité insuffisante de prana qui nous affaiblit, nous fait tomber malade, voire mourir. Les nadis ont un rôle proche de celui des méridiens de la médecine chinoise : des canaux invisibles de communication et de transport de l'énergie à l'intérieur du corps.
Une hypothèse intéressante sur l'origine de cas canaux a été formulé par James Oschmann (thèse reprise par Paul Grilley dans Yin Yoga). Selon cet auteur, les nadis/méridiens feraient partie du tissu connectif. Il s'agit d'une structure présente partout à l'intérieur du corps, qui enveloppe et pénètre toutes ses parties. Le tissu collectif donne forme aux organes, en créant les tendons, les ligaments et les fascias, qui connectent entre eux les muscles et les os. Ce tissu serait donc un unicum présent dans la totalité du corps, de manière analogue au système nerveux et circulatoire, mais de façon encore plus omniprésente, assurant la communication et le contact avec les organes.
Pour expliquer ce fonctionnement, Oschmann évoque le principe de capillarité et l'image d'une éponge. Si nous déposons une goutte d'encre sur une éponge mouillée, l'encre aura tendance à se diffuser dans une large partie, voire dans la totalité de l'eau qui se trouve à l'intérieur de l'éponge. De manière analogue, quand nous exerçons une pression ou une autre forme de sollicitation sur un point du corps, le tissu connectif transmet l'écho de cette compression, à des niveaux d'intensité différents, à la totalité du corps.
Bien qu'invisibles, les nadis ou les méridiens manifestent leur existence subtile par les effets qu'ils ont sur les autres dimensions du corps, y compris le corps physique. Un massage shiatsu, par exemple, qui stimule intensément ces canaux, peut avoir un effet régénérant sur tout le corps, mais il peut aussi s'avérer une expérience éprouvante pour un corps affaibli par l'absence d'exercice physique ou bien par un régime alimentaire inapproprié.
Les 5 enveloppes du corps humain en détails :
Après avoir découvert les bienfaits de la bigarade dans un précédent article, nous vous proposons une recette pour en profiter !
Temps de préparation : 10 minutes Temps de cuisson : 10 minutes
Ingrédients : 100g de chocolat noir à fondre, 8 carrés de chocolat corsé, 3 oeufs bio, 80g de sucre en poudre non raffiné, 1 sachet de sucre vanillé, 50g de beurre, 1 cuillère à soupe de farine, 1/2 cuillère à café de mélange de 4 épices, 2 oranges douces, 100g de marmelades d'oranges amères.
1) Préchauffez votre four au thermostat 9 (270°). Faites fondre le beurre et le chocolat au bain-marie.
2) Dans un saladier, battez les oeufs et le sucre jusqu'à obtenir un mélange mousseux. Ajoutez le sucre vanillé, le mélange d'épices et la farine. Mélangez soigneusement en évitant les grumeaux.
3) Incorporez le chocolat fondu. Versez la préparation dans des ramequins beurrés et farinés. Déposez 2 carrés de chocolat sur chacun et enfournez pour 10 minutes.
4) Faites tiédir la marmelade d'orange allongée de 2 cuillère à soupe d'eau. Pelez les oranges et enlevez la peau pour ne garder que la chair des quartiers.
5) Démoulez les fondants encore tièdes sur une assiette. Déposez un peu de marmelade, décorez avec les quartiers d'orange et saupoudrez de chocolat amer.
Source : Esprit Yoga
A partir du mois de février prochain, l'université de médecine de Starsbourg proposera aux étudiants, ainsi qu'aux médecins, psychologues et scientifiques, un nouveau module sur le thème : "Méditation et neuroscience".
Ce diplôme comportera 139 heures d'étude, 95 heures de cours théoriques et pratiques, ainsi que 4 heures de travail individuel. Ce diplôme très novateur a pour but de former les professionnels de la médecine allopathique à la prise en charge des personnes concernées par le stress.
Joëlle Labarre, responsable du DU explique : "Ce diplôme universitaire permet le développement d'une démarche basée sur une approche intégrative de la médecine et de la psychologie à partir de la découverte approfondie de la méditation de pleine conscience dans une perspective à la fois théorique et pratique." Au programme des cours sur la philosophie de la conscience, le corps et l'esprit dans la vision bouddhiste, ou encore la place de la méditation dans les thérapies psychologique.
"La vraie sagesse, la vraie supériorité ne se gagne pas en luttant mais en laissant les choses se faire d'elles-mêmes. Les plantes qui résistent au vent se cassent, alors que les plantes souples survivent aux ouragans" Epicure
Toutes les pensées positives et citations inspirantes ICIChristian Brun, sportif et adepte de gymnastique, s’initie très jeune aux massages et au yoga. Depuis toujours, il est avide de connaissances dans le domaine des sciences naturelles et médicales.
Dès l’âge de 18 ans, il entreprend des études de naturopathie et d’hygiène vitale. Après avoir exercé professionnellement à Angers puis à Paris, il complète sa formation de naturopathie générale, en aromathérapie, iridologie, massages et s’initie également à la sympathicothérapie. « J’ai collaboré pendant 5 ans avec une illustre figure de la naturopathie française : Pierre Valentin Marchesseau. »
Passionné d’anatomie et de physiologie, après avoir professé cette discipline, ainsi que la gymnastique des organes et les biothérapies et formé de nombreux naturopathes, il obtient le titre allemand de Heilpraktiker en 1986.
« Mon désir d’instruire et de former des naturopathes compétents m’a fait créer en 1988 le Centre européen d’études et de recherches naturopathiques de Paris, centre de formation dans lequel divers professeurs spécialisés sont sollicités. Une des choses que je défends le plus est la pluralité disciplinaire. » Poussé par son envie de transmettre, il publie à compte d’auteur des livres de vulgarisation sur la santé au naturelle comme « Stress et immunologie » ou encore « Les clefs d’or d’un bon sommeil. » Conjointement, Christian Brun organise tous les mois des conférences et anime des cours et stages partout dans le monde.
Françoise Jadas
A la suite de nombreux problèmes de santé et passionnée par la prévention, Françoise Jadas s’oriente vers la bionutrition et l’enseignement des méthodes naturelles. « J’ai obtenu mon diplôme de conseillère en hygiène et diététique et de naturopathe à l’école de Vie et Action dirigée par André Passebecq. J’ai suivi également les formations de l’Association Kousmine dont je suis membre. » Avide de connaissances, elle s’inscrit ensuite à l’école de naturopathie de Robert Masson.
Passionnée par ces enseignements, elle se plonge dans les ouvrages du professeur Marchesseau, de Daniel Kieffer, du professeur Joyeux, du Dr Seignalet et bien d’autres encore. Aujourd’hui, elle propose une synthèse de ces différentes écoles avec une approche souple, sans dogmatisme, adaptée à la vie actuelle et au tempérament de chacun. « La bio-nutrition représente pour moi un réglage alimentaire vitalisant qui permet de pallier aux carences et pollutions alimentaires avec des produits bios, complets, non raffinés, le cru, les modes de cuisson vapeur douce et surtout le plaisir et la convivialité. »
Depuis quelques années, Françoise se forme aux techniques de gestion du stress et au massage bien-être. « Sportive et consciente de l’importance de la respiration et du mouvement, j’introduis dans les séjours que j’organise, des exercices respiratoires, de la gym chinoise, et du qi gong. » Actuellement, elle transmet son savoir-faire avec passion, dynamisme et sympathie à travers les différents stages, où médecins et thérapeutes lui adressent leurs patients. »
Source : Profession thérapeute n°16
Que ce soit en Loire-Atlantique ou en Lorraine, les mentalités évoluent en France !
Près de Nantes, en avril dernier, une polyclinique a sauté le pas en acceptant d'opérer officiellement un patient sous hypnose. Un septuagénaire a ainsi fait l'expérience d'une opération de la cataracte sans aucune injection de substances anesthésiantes. C'est une grande première pour cet hôpital de Loire-Atlantique. "L'hypnose supprime le risque vital et les effets secondaires possibles avec toute anesthésie. De plus, le patient, qui est acteur et volontaire, revit un beau moment de son existence", explique le médecin. Il est persuadé que l'hypnose pourrait servir plus régulièrement pour de nombreux actes chirurgicaux : "Cette technique marche, elle ne peut pas rester ignorée. Il faut que les patients en profitent". Face à l'engouement du corps médical de cet établissement, le secteur de l'hypnose peut être confiant en l'avenir.
En Lorraine, c'est la médecine chinoise qui est à l'honneur ! Sous l'impulsion d'Eric Bourbonnais, ancien dentiste, l'Institut lorrain de médecine traditionnelle chinoise ouvrira ses portes en septembre à Nancy. Cette école sera placée sous la tutelle de l'UFPMTC (Union Française des Professionnels de la Médecine Traditionnelle Chinoise), qui encadre déjà deux lieux de formation. Il proposera un enseignement d'un à 4 ans en MTC et une formation professionnalisante en qi kong, ouverts à tous les publics. Les enseignants ont tous un diplôme universitaire d'acupuncture. Ils sont généraliste, chirurgien, implantologue, psychologue ou osthéopathe. C'est un des premiers centres où l'on retrouvant d'allopathes qui exercent en tant que formateurs. L'implantation régionale de ces nouveaux centres va également permettre d'étendre l'enseignement partout en France.
Au-delà des mots et des cultures, les théories sur l'énergie renvoient à une question de bon sens : peut-on y puiser une force de vie sans s'épuiser ?
Le Chi est l'énergie subtile vitale. La "cause immédiate", du fait que les cellules des végétaux, des animaux et des êtres humains sont vivantes ou, pour un emprunter un vocabulaire moderne, des systèmes ouverts, dissipatifs, conscients d'eux-mêmes et néguentropiques, capables d'auto-transformation.
Sans Chi, les cellules ainsi que les organismes qu'elles composent ne seraient que des robots biologiques incapables de transformation et de conscience. Conscience élémentaire de soi-même que partagent avec nous des organismes aussi primitifs que les amibes ou les algues, même si cette conscience est très différente et fonctionne selon les lois et structures éloignées des nôtres.
Force vitale et guérison
C'est le Chi qui est capable d'entrer en contact intime et efficace, organisant et structurant, avec la matière du continuum de l'espace-temps. C'est le Chi qui est à l'oeuvre lorsque le grand maître légendaire de Taïchi ou d'Aikibudo projette l'adversaire sans le toucher physiquement. Il sait l'accumuler, le contrôler et le projeter. Certains guérisseurs ne procèdent pas autrement, de façon plus subtile, moins violente et plus microscopique. Or, qui peut l'un peut l'autre. Le Ki est le mot japonais pour le Chi (chinois), et le Prana est le mot sanscrit pour désigner la même énergie.
Chakras et Chi
Il y a 5 sortes majeures de Chi, et chacune peut se subdiviser en sous-variétés plus subtiles ; trois pourraient aisément être appelés végétales, animale, humaine. Les deux premières, les plus immédiatement nécessaires à la vie biologique cellulaire ne produisent rien de durable chez l'être humain sans la troisième, qui concerne le système nerveux et tout le système hormonal humain. Le grand secret de l'énergie sur la voie de l'éveil ?
Les systèmes de pensées orientaux et occidentaux
Les systèmes de pensées orientaux, comme le taoïsme, le Zen, le Yoga ou certains arts martiaux, sont orientés vers la manipulation et la conservation du Chi (en tant que nom générique). Le tantrisme a conservé la connaissance de l'interaction entre les chakras et l'énergie vitale sans faire référence aux 5 sortes ou variétés majeures de Chi, ni préciser les lieux et les façons de ces interactions.
L'alchimie occidentale, elle, a conservé une grande partie de cette connaissance. En revanche, elle ne tient pas compte des liens des deux ensembles (chi et chakras) avec les grandes énergies universelles extérieures, ni des rapports qu'elles entretiennent avec l'ensemble de tous les autres êtres vivants. L'héritage chamaniste l'enseigne mais, cette fois, sans aucune référence directe au Chi ou aux chakras... Comme si les cultures majeures de l'humanité détenaient chacune un morceau de puzzle !
Source : Energies
Nous avons aujourd'hui développé une vision à la fois naïve et désespérée de l'amour. D'un côté, nous attendons l'Amour, nous lui demandons tout. De l'autre, nous n'en espérons plus rien, par peur d'être déçu ou parce qu'il ne durerait que 3 ans à cause des hormones qui ne cessent d'agir après cette durée. Mais l'amour n'est-il qu'une sécrétion de cerveau ? Une simple alchimie d'hormones ?
Les recherches sur l'amour
Loin de vouloir démystifier l'amour, les chercheurs tendent aujourd'hui à démontrer que notre cerveau et l'ensemble de notre corps sont câblés, reliés pour l'amour. L'amour aurait un fort effet bénéfique sur notre organisme, notre santé physique. Dans les années 70, une étude menée en Israël pendant 5 ans et impliquant dix mille hommes a montré que ceux qui se sentaient aimés par leur femme étaient plus résistants à l'angine de poitrine, un grave problème cardiaque. Une autre étude menée avec un groupe d'étudiants de Harvard, suivis pendant 35 ans, a révélé que seuls 25% de ceux qui se déclaraient aimés et considérés par leurs parents avaient eu au cours de la période une maladie grave. A l'inverse, 87% de ceux qui estimaient n'avoir pas été aimés avaient eu une maladie grave ! L'amour pourrait protéger et garder notre corps en bonne santé.
L'amour ne rend pas aveugle
Les neurosciences s'intéressent également à ce sentiment. Stéphanie Ortigue a rédigé en 2010 un article sur les différentes études du fonctionnement cérébral des personnes amoureuses. Il en ressort qu'il existe plusieurs types d'amour : l'amour passionné dans un couple, l'amour compagnon d'une amitié, l'amour maternel, et l'amour inconditionnel qui s'étend à tous les autres de manière durable, désintéressée et régulière. L'amour en général a pour effet un accroissement de l'activité dans les circuits neuronaux de la récompense (qui implique les récepteurs de dopamine et d'ocytocine souvent qualifiés d'hormones du plaisir). L'amour, sous toutes ses formes, mobilise plusieurs zones du cerveau et notamment celles à hautes fonctions cognitives. Selon Stépanie Ortigue : "Cela conforte le fait que l'amour est plus qu'une émotion basique, l'amour implique la cognition".
Les études du psychiatre et psychologue Richard Davidson sur les effets de la méditation sur la compassion aboutissent à des conclusions comparables : l'amour active des zones cognitives dans notre cortex cérébral, ainsi l'amour ne rendrait pas aveugle mais plus perceptif !
Source : Inexploré n°16
Depuis quelques années nombreux sont les professionnels et thérapeutes à nous demander conseils et astuces pour mieux se vendre et acquérir une clientèle. Soucieux d'apporter un véritable soutient aux professionnels Julien Peron vous propose un atelier mensuel pour apprendre les secrets de la communication et de la commercialisation dans le secteur du bien-être, des médecines douces et du développement personnel.
Un atelier "Acquérir une clientèle" de 2 heures en toute convivialité au coeur de nos bureaux au 27 rue du chemin vert dans le 11ème.
Echange, conseils, astuces, débats pour mieux appréhender le marché et savoir se vendre.
Le prochain atelier aura lieu le samedi 23 mars 2013 de 10H00 à 12H00.
Le tarif est de 179 euros TTC (possibilité de règlement en deux fois).
Pour toute inscription, merci de nous faire parvenir un mail à info@neorizons-travel.com avec comme objet "Acquérir une clientèle".
À très vite
NEO-BIENÊTRE Un esprit sain dans un corps sain
Tél: +33 (0) 1 75 77 87 35 Cel : +33 (0) 6 08 54 36 25 E-mail : info@neobienetre.fr Skype : kelbe2001
Retrouvez l'émission radio "voyage et sens" sur: http://radiomedecinedouce.com/emission/1-269_Voyage_et_Sens
Professeur de biophysique, médecine et physique quantique, le Docteur Konstantin Korotkov dirige l'Institut de recherche et de physique de Saint-Petersbourg. Invité très attendu du dernier Congrès des Thérapies quantiques de Reims, il a accordé un entretien avec le magazine Energies
On a tous affaire à l' "énergie", un concept fondateur qui permet la mesure de toute activité ; en physique, c'est la première notion et elle constitue une idée révolutionnaire de la physique moderne, depuis le 17ème au moins pour la science occidentale. "Vue depuis la Russie, aux confins de l'Orient et de l'Occident, l'énergie rapproche la culture scientifique et la médecine. Mais je suis un chercheur, pas un médecin. A ce titre, je pratique le Sujok et l'Ayurveda..."
Le Docteur Korotkov est catégorique. Au-delà des apparences, "énergie et matière sont la même chose. On crée de la matière à partir de l'énergie et réciproquement. Toute activité consomme de l'énergie, elle opère un pont entre monde matériel et spiritualité..."
Science et conscience
Les scientistes réfutent les études sur l'énergie subtile humaine au motif qu'on ne sait pas la mesurer. "Où l'on accepte les idées ou on les rejette. Je me fiche des critiques. Je trace une nouvelle ligne de recherche : celle de la science de la conscience. Depuis 20 ans, mathématiques, physique quantique, neurosciences convergent vers un nouveau paradigme... Dans quelques décennies, on sera en mesure de prouver l'influence de la conscience sur l'environnement." Il s'agit ici de la matière au-là de la nature.
Et Dieu dans tout ça ? "Nous sommes des poussières insignifiantes dans l'univers, aux prémisses de l'expérience de la conscience. Je suis matérialiste mais je crois en Dieu ; ce n'est pas incompatible avec reconnaissance d'un High Spirit, Univers, Supreme Power ou Supreme Force... Si vous croyez en Dieu, dans votre Ange-Gardien, cela vous rend plus fort et plus intelligent. Rien à voir avec la superstition..."
Le Futur et la spirale de l'évolution
"Une transformation terrible est en cours." Celle décrite dans une époque du Kali Yuga (l'âge de fer marquant la fin d'un cycle prévu dans quelques centaines d'années par la cosmogonie indienne des Veda) ? "Il s'agit bien du passage d'un niveau à un autre. Le monde n'a jamais été dans cette situation par le passé du point de vue de la science..." Selon le Docteur Konstantin, l'évolution n'est pas linéaire mais spiralée... "Je reste optimiste : la catastrophe est bien là mais on la surmontera comme un passage vers un nouveau paradigme dans les sciences, la médecine pour un nouveau monde !"
Source : Energies
La localisation précise des Chakras par rapport à la colonne vertébrale varie selon les sources et les traditions. Selon certaines, ils se situent en correspondance de la colonne ; selon d'autres, ils sont devant celle-ci.
D'autres encore font correspondre les Chakras aux glandes du système endocrinien qui se trouvent plus ou moins dans la zone de leur localisation, en mettant en correspondance les caractéristiques des chakras avec les différentes action du système endocrinien. En partant du bas, les Chakras suivent une échelle hiérarchique d'évolution, allant du matériel au spirituel. Chaque Chakra est relié à une symbolique, à des parties du corps, à des aspects de la personnalité et à des questions relatives à la vie matérielle et spirituelle. Ces aspects peuvent varier selon les interprétations et les traditions. Ce qui compte, c'est d'accueillir les suggestions que nous offre la symbolique de chaque Chakra pour comprendre notre intériorité et nous améliorer.
Source : Esprit Yoga
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« Art vivant et science millénaire, le yoga vise à l'harmonie et au bien-être de l'homme sur les plans physiques, mentaux et spirituels." Yvon Lebbihi
Toutes les pensées positives et citations inspirantes ICIL’énergiologie annonce la couleur, notamment de l’aura : l’énergie est à l’honneur dans ce protocole holistique, où le thérapeute sait voir la cause de la maladie dans le corps physique. Réalignement, enveloppes et vibrations au menu de votre santé. Repérages.
L’une des particularités de l’énergiologie est le regard intérieur, c’est-à-dire la capacité de « voir » la cause énergétique de maladies à l’intérieur du corps physique. En fermant les yeux pour masque l’apparence physique du corps, l’énergiologue se concentre sur la vision des déséquilibres présents au sein des énergies sources qui constituent le corps physique.
Tous les chocs, physiques ou émotionnels, vécus par la personne, sont autant d’impacts énergétiques activés dans le corps. La localisation et l’intensité de ces impacts dépendent de la nature et de la violence du choc. Par exemple, la séparation des parents peut provoquer, chez un enfant de 5 ans, un choc important dans la zone énergétique du cœur. Si cette difficulté n’est ni repérée, ni désamorcée, l’élan de l’émotion va continuer, avec la même intensité, jour après jour, année après année.
Cela peut provoquer assez rapidement, si le terrain est propice, des problèmes respiratoires tels que l’asthme ou des bronchites à répétition. Petit à petit, le cœur va souffrir d’être ainsi tiré vers l’arrière, la circulation sanguine sera ralentie, la vitalité générale sera gênée puis sérieusement handicapée. Des problèmes tels que la dépression, une fatigue chronique, des maux de tête peuvent alors survenir sur ce terrain fragilisé.
Correction énergiologique
Quelque soit le problème formulé en début de séance par le patient, l’énergiologue en voit la cause initiale au sein des décalages des énergies sources. Car le corps manifeste et crie son problème tant qu’il est toujours actif. Encore faut-il le voir au niveau où il prend sa source… La correction énergiologique est essentiellement de nature vibratoire.
Sans un tel travail de recherche et de correction des causes subtiles, il est impossible de retrouver une bonne santé de façon durable et les problèmes s’installent de plus en plus profondément au fil du temps. Après avoir fait le bilan des causes énergétiques en présence, le thérapeute s’intériorise et augmente sa fréquence vibratoire, par la seule pensée de se connecter aux énergies de lumière de son cœur. Dans cette situation, le corps du patient s’appuie sur cette présence consciente et augmente à son tour sa vibration. Le soin se déroule ainsi de la manière la plus adaptée possible pour le patient, tous paramètres confondus.
Le choc des émotions
En énergiologie, notre corps est en bonne santé s’il est capable de retrouver lui-même son équilibre de base quelle que soit l’agression qu’il subit : une émotion ou une chute par exemple. Au niveau émotionnel, chaque choc est obligatoirement source de déséquilibre dans l’édifice énergétique du corps. En voici quelques exemples : les impacts fragilisent le volume thoracique et provoquent inévitablement le décalage du cœur et donc la désorganisation de ses fonctions. Cela peut provoquer l’obstruction ou la déchirure de certaines artères (carotides ou coronaires dans le cœur, anévrisme dans le cerveau). Il n’est pas nécessaire d’attendre l’infarctus ou l’accident cérébral pour intervenir !
Source : Energies
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