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Le Ho’oponopono est un rituel de réconciliation, une méthode simple, profonde et efficace. Elle est toujours pratiquée aujourd’hui à Hawaii, et vise à se purifier, à retrouver l’harmonie avec ses proches. Bonne nouvelle : la méthode est universelle.
Son histoire
Le Ho’oponopono appartient à un système d’anciennes doctrines hawaiiennes : « le Huna ». Hu signifie « savoir », et Na signifie « sagesse », les détenteurs de ces anciennes doctrines s’appellent « Hakunas ». Savoir quelque chose, sans agir en fonction de ce savoir, est tout simplement un non-savoir, car la sagesse se manifeste en ceci que l’on fait ce que l’on sait. Le Ho’oponopono vit donc de par le fait qu’on agit. Les Hawaiiens nomment leur archipel « Pays d’Aloha », pays de l’amour. L’Aloha est l’essence même de la doctrine Huna, du savoir et de la sagesse, et constitue la base du Ho’oponopono. Aloha signifie « Je vois le divin en toi, et je vois le divin en moi ». Il faut entendre que vous et moi, votre voisin, et notre Président, accomplissons un voyage commun, il n’y a qu’une seule force dans l’Univers, à savoir l’énergie du pur amour : « Mana Aloha ». Le seul impératif d’Aloha est le suivant : ne jamais blesser, aider toujours.
Agir de façon correcte
Le Ho’oponopono consiste à résoudre radicalement un problème et à le transformer en bien. Il exprime le besoin profond de vivre de nouveau en harmonie avec soi-même, avec les hommes, avec la nature et avec Dieu. Ho’oponopono signifie « Faire de façon correctement correcte ». C’est-à-dire se relier avec son soi supérieur et avec la source de tout être, remettre sur le bon chemin un projet qui avait quitté son cours, c’est redevenir physiquement et mentalement sain(e). Autrement dit, accéder au bonheur et bien-être.
Les 4 étapes du Ho’oponopono
Chaque fois que nous identifions un conflit ou un problème, nous pouvons faire Ho’oponopono.
Le rituel du pardon Ho’oponopono est l’amour en action. On se pardonne, et on pardonne aux autres, de s’être mutuellement blessés à un moment ou un autre, ou bien de ne pas avoir aidé.
Source : Bonheur(s) n°1
Pourquoi faudrait-il craindre la mort ? Ceux qui en reviennent sont plutôt rassurants. Les expériences de mort imminente, ou « Near death experience » en anglais, ont été découvertes par le grand public à la sortie de l’ouvrage La vie après la vie du Dr Raymond Moody qui avait constaté une étrange ressemblance entre tous les récits fait par des personnes ayant frôlé la mort.
Ce qu’il en ressort
Depuis, de nombreux ouvrages ont été consacrés à ces expériences, et beaucoup décrivent la même chose : l’impression d’être collé au plafond, de pouvoir être instantanément à n’importe quel endroit de la planète, le sentiment de tout savoir, la bienveillance et la béatitude parfaite qui en découlent, la lumière blanche au bout du couloir… Ces témoignages décrivent le retour à la vie, la sensation de réintégrer son corps comme on enfile un gant trop étroit, le regret d’avoir tout oublié comme ceux qui, comme dans la mythologie grecque, revenaient du royaume des morts après avoir bu l’eau du fleuve Léthé. Si vous êtes vous aussi tenté par cette expérience, la méditation pourrait vous aider.
Un aller-retour plutôt qu’un aller simple
Lors des conférences qu’il a données à Toulouse, le dalaï-lama a tenté de faire découvrir les étapes de la méditation pour frôler la mort au public occidental passionné, mais sans doute un peu novice dans ce domaine. Des dizaines d’études ont prouvé l’influence bénéfique de la méditation sur la santé tant physique que psychique. Même s’il est très difficile de parvenir à ce stade, cela n’empêche pas d’essayer ! L’ouvrage de Mike George, 1001 médiations, fera sans doute sourire les véritables « éveillés », mais peut être utile pour ceux qui voudraient tenter l’expérience et ne savent pas comment s’y prendre, ni sur quoi méditer. Ce livre est un mélange de méditations, visualisation et citations qui peuvent amener à une certaine paix intérieure si l’on veut bien le lire sans se presser.
Source : Profession thérapeute automne 2011
Souvent invoqué pour excuser ses actes ou se déresponsabiliser – « je n’étais pas conscient », « je l’ai fait indépendamment de ma volonté » – l’inconscient semble être doué d’une dynamique réactive, propre à chacun. Comment mieux connaître et comprendre cette partie de soi qui conditionne, souvent malgré nous, le chemin de notre vie ?
Pulsions, plaisir et mécanismes de défense
Imaginez un iceberg. Si la conscience est symbolisée par la partie visible de l’iceberg, l’inconscient est représenté par sa partie immergée, face cachée et inconnue. Cette « boîte noire » stocke les souvenirs, agréables et traumatisants, la mémoire, les apprentissages, les expériences. Les recherches montrent comment notre mémoire conditionne et remanie le rapport que nous entretenons avec le passé et le futur, au-delà du champ de notre volonté. La dynamique interne de notre système cérébral alimente les pulsions, l’énergie vitale, la libido, le désir. Comme le cerveau fonctionne en rapport avec la satisfaction des besoins et selon le principe de plaisir, notre personnalité est sans cesse influencée. De plus, l’assimilation des règles et des apprentissages nécessaires à la vie sociale introduit les notions de l’interdit et de la transgression, avec pour conséquence la constitution de mécanismes de défenses inconscients. Les plus connus (le refoulement, la projection, la régression) nous servent à trouver des solutions à nos problèmes quotidiens. Mais ils engendrent un inconvénient majeur : l’apparition de l’angoisse, de symptômes physiques et psychiques, de somatisations dans ce qui n’est pas accepté.
La répétition, signe de nos limites
Soutenir que notre intelligence consciente, analytique et émotionnelle justifie nos choix et nos décisions est très tentant, mais reste inexact. En effet, les force psychiques de notre inconscient dirigent nos expériences avec plus ou moins d’autonomie. C’est pourquoi nos échecs nous mènent parfois dans des systèmes de répétitions qui ne sont pas le fruit du hasard. Si nous parvenons la décoder, la répétition a pour sens la prise de conscience de ce qui nous enferme et nous limite. En d’autres termes, le but est de se libérer de la pression d’expériences passées et de conditionnements. Interrogez les méandres tumultueux de vos relations amoureuses, et vous aurez des exemples parlants…
« L’ombre » de Jung
Un thème cher au psychanalyste suisse Carl Gustav Jung concerne l’intégration de « l’ombre », la partie obscure de l’âme. Thème pleinement d’actualité si vous regardez l’attraction qu’il exerce sur notre quotidien, plus particulièrement au cinéma. Les héros des films se battent pour transformer en conscience le pouvoir redoutable de l’ombre, pour gagner la lumière et la sérénité. Jung écrivait à la fin de son existence : « ma vie est le résultat d’un inconscient accompli », n’attendez pas pour éclairer votre part d’ombre car un plus grand épanouissement est à la clef.
Source : PsychoEnfants septembre-octobre 2007
Cris, sautes d’humeur, agressivité… On nous répète souvent que la crise d’adolescence est un stade « normal », un passage obligé. Mais quand doit-on vraiment s’inquiéter pour notre jeune ? Quels sont les comportements qui alertent ? Et comment lui proposer l’aide d’un psy sans le froisser ?
Les signes de mal-être qui doivent alerter
« Les troubles du sommeil, explique Patrick Delaroche, pédopsychiatre, sont des indices qui traduisent un profond malaise. Il faut savoir que toutes les dépressions, sans exception, commencent par des insomnies. » Donc un ado fatigué en permanence, qui se plaint de ne jamais pouvoir dormir avant 3h du matin, doit être aidé. Comme autre signe de mal-être, il faut citer la chute brutale sur le plan scolaire ou l’absentéisme chronique. « Le fait de se démotiver, de se replier sur soi, de ne plus aller en cours, et surtout de s’isoler des copains, sont des signes de détresse qu’il faut prendre en compte », explique Dorothée Caruel, psychothérapeute. A cet âge-là, la rupture avec la vie sociale n’est jamais neutre. Et puis bien sûr, ajoute-t-elle, « les crises de larmes trop fréquences, le recours à l’alcool ou aux drogues, la violence sont aussi des signes alarmants auxquels il faut répondre sans délai ».
Les principales sources de souffrance psychologique
La vie sociale a une importance capitale pour les adolescents. Le fait de se sentir rejeté par un groupe de copains peut être vécu comme une souffrance intolérable. De même, une rupture amoureuse ou amicale peut parfois être ressentie comme une trahison dont les jeunes ont du mal à se remettre. Parce qu’il leur est souvent difficile de s’aimer eux-mêmes, difficile de se reconnaître et de s’accepter dans leur corps qui se modifie constamment pendant l’adolescence, toutes les blessures d’amour-propre sont amplifiées à l’extrême. Les humiliations des professeurs en font partie. Les échecs et les rebuffades également. Les problèmes familiaux jouent évidemment un rôle très important, au point de provoquer une dépression quand le jeune se rend compte que ses parents n’arrivent pas à assumer les coups durs, comme les divorces par exemple.
Convaincre l’ado d’aller chez le psy
Cela demande un travail de préparation pour lui faire admettre que sa souffrance l’empêche de vivre et qu’il a besoin de mieux l’identifier et d’en parler. Selon Patrick Delaroche : « Les parents, d’une manière générale, ne s’imposent pas assez. En se montrant fermes, en prenant eux-mêmes la décision d’emmener leur ado voir un psy, ils le déchargent de la responsabilité du choix. Cette attitude s’avère la plupart du temps très efficace. Sauf lorsqu’il s’agit d’adolescents vraiment butés. »
Les parents ne doivent pas non plus bloquer sur la visite du psy, en rétorquant par exemple : « Mon fils n’est pas fou, il n’a pas besoin de se faire soigner ». Cela ne va pas aider l’adolescent à parler de ses problèmes, ni à améliorer son bien-être. Accepter de rendre visite à un psy ne veut pas dire que le jeune doit être interné, mais qu’il a surtout besoin de communiquer.
Source : PsychoEnfants Septembre-Octobre 2007
Des centaines de naturopathes ont été formés dans l’école qu’il dirige. C’est vers lui que l’on se tourne pour représenter la profession auprès des pouvoirs publics. A son regard rieur et mutin, on devine toutefois que l’expérience et les responsabilités n’ont pas entamé son tempérament d’insoumis.
Daniel Kieffer est tombé dans la médecine globale dès sa plus tendre enfance. Quand toutes les autres mamans se précipitaient dans les hypermarchés pour y acheter des appareil électroménagers, des conserves et des plats tout préparés, celle de Daniel restait insensible à l’attrait du modernisme, préférant construire son enfant sur une cuisine saine et une éducation spirituelle solide. Précoce, Daniel assouvit sa curiosité d’enfant en dévorant la bibliothèque familiale. Il se tourne naturellement vers des études en psychologie et de sciences de l’éducation après l’obtention de son baccalauréat. Il ira à la rencontre des pionniers de la naturopathie. Il est alors formé Pierre Valentin dans les années 70. Insatisfait de son cursus en psychothérapie, et pas suffisamment rassasié par son diplôme de naturo, il s’engage dans diverses thérapies personnelles comme des approches sophorologiques, afin de concilier sa profession de naturopathe et celle de psychothérapeute. Il complète ensuite son palmarès en Allemagne comme praticien de santé, et auprès de Pierre Franchomme en aromathérapie.
Pilier de la profession
A 26 ans, Daniel donne ses premières consultation et commence à enseigner, notamment à la Croix-Rouge : « Je me devais déjà de transmettre » explique-t-til. Au fil des années, il prend conscience que la médecine est malade car gouvernée par une pensée unique, entre les mains du pouvoir pharmaceutique. Soucieux de donner un cadre plus légal à cette profession, il participe successivement à l’Organisation de la médecine naturelle et de l’éducation sanitaire (OMNES) dès 1981, cofonde la Fédération française de naturopathie (FENAHMAN) en 1985, puis de l’Union européenne de naturopathie en 2002.
Un guide discret
Daniel Kieffer a toujours su encaisser les coups, ou les esquiver, pour mieux se relever : « Avec patience et humour, on peut arriver à tout. Ma première victoire tient dans la conscientisation de la population. Le mot naturopathe n’est plus tabou ni censuré. Un respect se met enfin en place ! »
Il faut dire qu’entre l’étrange multiplication des contrôles administratifs, fiscaux, et ceux de la Mission interministérielle contre les dérives sectaires (MIVILUDES), cela n’a pas été un parcours facile. Désormais, Daniel jouit de la réputation d’un homme sage et posé, capable de représenter la profession. Il surveille de très près son image publique, peu d’interviews, d’articles ou encore de photos, circulent à son sujet. Par dessus-tout, c’est son humilité qui le grandit : « ce petit supplément d’âme, confie-t-il, qu’ont les gens passionnés par la vie qu’ils mènent ». Sa devise ? « Servir son idéal, sa cause, son prochain. Cela rend les actes fertiles et contamine le coeur. »
Source : Profession thérapeute n°11 automne 2011
Quelles que soient les circonstances, faites toujours de votre mieux, ni plus ni moins. Rappelez-vous que votre mieux ne sera jamais le même d'une fois à l'autre. Tout est vivant, tout change constamment , par conséquent votre mieux sera parfois à un haut niveau et d'autres fois à un moins bon niveau. Si vous faites de votre mieux, vous vivrez votre existence intensément. Vous serez productif, vous serez bon envers vous-mêmes, parce que vous vous donnerez à votre famille, à votre communauté, à toute chose. C'est dans l'action que vous serez intensément heureux. Faire de votre mieux signifie agir parce que vous en avez envie, et non parce que vous attendez une récompense. Si on aime ce qu'on fait, si on fait constamment de son mieux, alors on jouit pleinement de la vie. On s'amuse, on ne s'ennuie pas, on n'est pas frustrés.
Extrait des 4 Accord Toltèques de Don Miguel Ruiz - Think positive !
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Le compositeur Marco Prince, féru de yoga, et Mika de Brito, enseignant émérite, ont créé une pratique inédite : le yogalab. Le principe est simple, une séance de yoga avec une musique spécialement conçue pour amplifier les bienfaits de cette discipline millénaire. L’expérience est centrée sur les sens et les émotions.
C’est un peu par hasard que les deux créateurs ont inventé ce yoga qui utilise le son, les fréquences et les ondes de la musique. Après un grave accident de scooter, Marco Prince décide de se mettre au yoga, constatant qu’il s’agit de l’unique moyen pour retrouver la totalité de sa mobilité. Après plusieurs mois, il retrouve ses pleines capacités ! Il se met alors au théâtre, aux Bouffes du Nord, où il joue sous la direction de Peter Brook. Lorsque ce dernier lui propose de pratiquer le yoga entre les répétitions, Marco fait appel à Mika de Brito, professeur de yoga internationalement reconnu pour l’apprentissage d’un yoga sensoriel. Les deux hommes décident d’organiser une séance de travail en musique dans le studio d’enregistrement de Marco. C’est la révélation : la musique et les fréquences sonores diffusées par les enceintes du studio, décuplent les bienfaits des postures ! Ils décident alors de lancer le YogaLab et se rapprochent des scientifiques pour étudier les sons les plus adaptés au yoga.
Ce yoga a été créé avant tout pour les hommes et femmes sur-actifs, qui n’ont ni l’envie, ni le temps d’entrer dans une philosophie de vie dictée, mais veulent simplement être en paix avec le dynamisme de leur quotidien. Marco témoigne : « J’ai eu la confirmation que les mots peuvent être remplacés par du son qui vous transporte plus rapidement dans des états émotionnels spécifiques. Le son peut, par exemple, donner la sensation que l’on tombe, même si on est allongé sur le sol. On peut recréer cette sensation pour mieux travailler son équilibre. L’immersion sonore permet de plonger plus intimement en soi. » En parallèle, Mika de Brito travaille sur 4 protocoles d’enchaînement de gestes. Vingt professeurs sont formés et le concept attire de plus en plus de monde sur Paris. Les deux amis songent désormais donner des cours dans d’autres villes, tout en gardant la convivialité de cette aventure zen et musicale.
Source : Bonheur(s) n°1
"Il y a des gens qui ont en eux la richesse et la joie, et qui les communiquent à tous ceux qu'ils touchent. (...) Ils sont riches parce qu'ils ont en eux une telle opulence, et une telle puissance vitale qu'ils confèrent à toute chose de l'intérêt, de la dignité et de chaudes couleurs." Thomas Wolfe, écrivain américain du début du XXème siècle
Rien de tel que d'adopter de saines habitudes mentales pour cimenter une solide estime de soi ! Être enthousiaste, semer de la gratitude, répandre sa bonne humeur et cueillir en retour tout ce que la vie met de positif sur notre chemin, tout cela amplifie l'estime de soi. Vous n'y croyez pas ? Essayez de répondre positivement à chaque personne avec un vrai et franc sourire, dans une réelle disponibilité de l'esprit, et constatez, ressentez les effets positifs que génère votre joie de vivre sur les gens.
Fuyez la négativité et identifiez vos peurs
Vivre constamment dans la négativité et l'insatisfaction mine à la longue toute sensation de bien-être. Ces sentiments sont évidemment néfastes pour l'estime de soi. Le pessimiste croit prévenir toute déception en envisageant le malheur, l'échec ou le pire. En réalité, il devance les mauvaises surprises, rabaisse son estime de lui et s'empêche d'accéder au bonheur. Les peurs, tout comme la négativité, amplifient les risques ou le danger de dévoiler sa vraie nature. Pourtant, le temps n'est plus où vous n'aviez pas les ressources pour vous protéger. Prenez conscience de vos pouvoirs actuels et des ressources que vous pouvez mobiliser.
Prenez du recul et rencontrez votre intériorité
Chez certaines personnes, l'estime de soi se nourrit de ce moment privilégié de retrouvailles avec leurs pensées intimes et leur vie sensorielle. Il peut être plus important pour certains que pour d'autres de préserver le secret de ce jardin qui mène à leur intériorité. Sachons le respecter, car ces personnes peuvent y retrouver une source d'épanouissement. Prendre du recul sur les événements est également très important. C'est sûrement un conseil qui revient souvent, mais il est primordial. Quand certains scénarios de vie se répètent et entament l'estime de soi, il est temps de s'interroger sur certaines habitudes de comportement qui peuvent être devenues obsolètes. Après avoir analysé les habitudes parasites, vous allez pouvoir investir votre temps gagné dans le partage, la compassion et l'amitié, afin de vivre mieux et s'aimer mieux.
Elargissez votre champ de vision
C'est le complètement idéal de votre prise de recul. Pour porter un autre regard sur soi, et sur l'autre, il suffit parfois d'élargir son champ de vision. Repérez les croyances, les rôles et étiquettes dans lesquels vous vous enfermez. Demandez-vous : quel rôle récurrent jouez-vous dans vos rapports aux autres ? Acceptez de changer et évoluer, et votre estime personnelle n'en sera que mieux consolidée.
Source : Psycho et développement personnel n°10
Nous avons tendance à faire des suppositions à propos de tout et croyons ensuite qu'elles sont la vérité. Nous serions prêt à jurer qu'elles sont vraies. Nous faisons des suppositions sur ce que les autres pensent, forts de quoi nous en faisons une affaire personnelle, puis nous leur en voulons et nous leur communiquons du poison émotionnel par nos propos. Voilà pourquoi chaque fois qu'on fait des suppositions, qu'on prête des intentions à autrui, on crée des problèmes. Nous faisons des suppositions quant aux raisons d'agir d'autrui, nous les interprétons de travers, nous en faisons une affaire personnelle, et nous finissons par créer tout un drame pour rien du tout. Comme on a peur de demander des explications, on prête des intentions à autrui, on fait des suppositions que l'on croit être vraies; puis, on défend ces suppositions et on donne tort à l'autre.
Il vaut toujours mieux poser des questions que de faire des suppositions, parce que celles-ci nous programment à souffrir.
Extrait des 4 Accords Toltèques de Don Miguel Ruiz - Think positive !
Toutes les pensées positives et citations inspirantes ICIRevue participative rêvée et créée par des femmes. Une invitation à s'ouvrir au Féminin Sacré pour les hommes et les femmes en chemin.
Rêve de Femmes concocte une revue 4 fois par an, au fil des saisons, pour mieux connaître les femmes, pour partager sur des sujets intimes qui touchent le féminin. Écrits par des femmes, mais aussi les hommes.
Pour plus d’information, rendez-vous sur sa page Facebook: https://www.facebook.com/pages/Rêve-de-Femmes/136254323062474Le Salon Bien-être fêtera ses 30 ans ! Une occasion de découvrir plus de 300 stands et une vingtaine de conférences entièrement dédiés aux médecines douces, à la thalassothérapie etc.
Le fameux salon du Bien-être ouvrira ses portes du 14 au 18 février prochain à Paris. Vous pourrez rencontrer des professionnels qui vous orienteront tout le long de la journée.
Plus 150 ateliers dont 35 cours pratiques vous seront proposés afin de vous initier à la "zen attitude". Vous y apprendrez des méthodes essentielles pour prendre soin de vous. Pour les amoureux de nature, mer, montagne et campagne, vous pourrez découvrir tous les spas et centres de thalasso de France.
L’équipe de Neorizons vous recommande tous les mois des livres que nous avons lu, ce mois-ci « Réfléchissez et devenez riche» de Napoleon Hill.
Voici un livre qui peut transformer votre vie. Car c'est en cela que Réfléchissez et devenez riche est unique et précieux : il est efficace! Il ne faut donc pas s'étonner que près de huit millions de lecteurs en aient fait un des plus grands succès de librairie. Grâce aux révélations que contient ce livre, vous surmonterez tous les obstacles et satisferez vos ambitions, quelles qu'elles soient. Cet ouvrage est le fruit d'une étude de 20 années qui a porté sur la vie de personnalités ayant connu les succès les plus éclatants, tels Henry Ford, John D. Rockefeller et Alexander Graham Bell. Si la fortune vous intéresse, si la réussite ne vous effraie pas, ce livre vous est destiné. Il vous apprendra comment réaliser vos rêves et jouir de vos nouvelles richesses
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Votre vrai moi est celui qui est en vous, non cette image que vous offrez au monde à travers votre personnalité. Dominique Loreau – Think positive !
Toutes les pensées positives et citations inspirantes ICILes voies du bonheur sont-elles vriament impénétrables ? Si vous êtes prêt à suivre le chemin des énergies quantiques, laissez vos préjugés et la fatalité au vestiaire et devenez acteur de votre vie en résonance avec le grand tout. Bienvenue au club des explorateurs du futur syntonique.
Notre aventure terrestre commence dès la conception, lors de la rencontre des gamètes qui déclenche le plan spirituel.
Champ local et sidéral
La vie commence dès la conception. La première cellule est soumise au champ local et sidéral. L’élaboration s’inscrit dans les concepts de la physique quantique et les structures holographiques confèrent une organisation de la matière à différents niveaux.
Globules et zodiaque
La particule hème dans le sang est structurée à partir du fer présent dans la moelle oseuse. Or, le fer contient un biomagnétisme naturel mis en activité par la rotation du lobule rouge dans le sang. C’est comme cela que la lignée sanguine préside à notre incarnation. Il intègre de nombreux paramètres dont la position de la terre de l’univers, la position des planètes et des constellations.
Hologramme humain
C’est ainsi que l’hologramme humain est inscrit dans la structure du corps. L’homme aura-t-il accès aux informations enfouies au tréfonds de son être charnel? Aura-t-il accès au codex sacré qui lui permettra d’activer les fonctions de sa propre nature universelle ou sombrera t-il pour un temps dans le charnier de l’ignorance?
La fonction holographique
Lorsque le système nerveux et le cerveau sont progressivement myélinisés et qu’ils sont correctement synchronisés les liquides et les gaz, la fonction holographique se met en route.
La myéline et la cellule de Ranvier sont deux cellules qui composent le système nerveux. Elles sont en relation avec les activités Yin et Yang, les fonctions électromagnétiques et tourbillonnaires. Le système nerveux analyse les activités de forces tourbillonnaires et électromagnétiques provenant du milieu intime et du milieu externe.
Le corps humain échange des informations et assure les régulations des milieux internes qui communiquent entre eux. Le milieu intime lui-même communique avec le milieu externe, du champ local au champ sidéral afin s’optimiser son adaptation à l’évolution de la Terre dans l’univers. Version quantique du Cogito ergo sum.
Énergies, n°29
D’après l’étude Nutrinet-Santé lancée il y a 3 ans par le chercheur en nutrition Serge Hercberg, nous manquons fortement de fibres ! Si l’on prend le seuil minimum recommandé, qui est de 25g/jour, 12% des femmes et 22% des hommes consomment suffisamment de fibres. Mais si l’on prend le seuil optimal qui est de 30g/jour, alors seuls 10% des hommes et 4% des hommes y parviennent.
Les bienfaits des fibres
Il existe 2 types de fibres : les fibres solubles, et insolubles. Les premières se trouvent à l’intérieur des végétaux, alors que les deuxièmes sont généralement présentes sur l’enveloppe. Ces 2 types de fibres facilitent le transit intestinal, vous protègent du cancer du colon, et diminuent les risques d’obésité ! Il est donc important de ne pas être en sous-nutrition, et d’en consommer régulièrement.
Où en trouver ?
Il est étonnant de constater que les français manquent autant de fibres alors qu’elles se trouvent dans de nombreux aliments. Les fibres sont présentes dans le pain complet, les pâtes et le riz semi-complets/complets, les légumes, les fruits, et les légumes secs. N’oubliez pas que les fibres ont besoin d’eau pour être efficaces dans l’organisme, alors buvez beaucoup. Ne paniquez donc pas si vous êtes en carence, mais remettez-vous à manger équilibré et sainement. Pas d’excès de zèle non plus, une surconsommation de fibres peut entraîner des troubles intestinaux. Si vous souhaitez modifier votre alimentation, faites-le progressivement, étape par étape pour ne pas bouleverser votre organisme.
Source : Le Parisien.fr
L’engouement pour les élixirs floraux ne cesse de grandir. Après les Deva venus enrichir la gamme d’origine des fleurs du docteur Bach, voici que l’Europe découvre les élixirs venus du bush australien, d’Afrique du Sud, de l’Himalya, des Bermudes, ou encore de l’Alaska.
Pour quelques grammes de fleur
La première question qui vient à l’esprit est : faut-il aller chercher au bout du monde ce que l’on peut trouver en bas de chez soi ? De très nombreuses créations venues des quatre coins du monde remplissent le même rôle que les Fleurs de Bach, découvertes dans la campagne anglaise entre les deux guerres… Au prix du baril de pétrole et compte tenu du pillage déjà organisé des ressources, est-ce bien raisonnable ? Alain Tardif, naturopathe, y répond en partie : « Il n’y a jamais besoin de kilos de fleurs comme pour l’aromathérapie, cela reste donc respectueux de chacun et des territoires ». Il n’y a donc aucune chance de piller les ressources des autres pays. Reste tout de même la question de l’empreinte carbone qui ne peut malheureusement être évitée… Mais les élixirs floraux ne demandent pas de simples fleurs venues d’une région ou d’une autre, leur préparation demande du temps, une attention particulière. C’est ce que soulève Phillipe Deroide : « Plutôt que de succomber à la mode du nouveau ou de l’exotique à tout prix, il faut se poser les bonnes questions ! Prendre un élixir suppose tout un travail sur soi, une recherche, une attention. Alors telle ou telle préparation ? Tout dépend. De soi, du thérapeute, du préparateur, de ce qui vibre. »
Les fleurs décident
Peggy Rada, qui a étudié l’évolution des élixirs exotiques, confirme que le mercantilisme serait loin d’être la seule raison de la prolifération des élixirs. « Ce ne sont pas les humains qui ont cherché les fleurs, mais les fleurs qui ont décidé de délivrer de nouveaux messages ! Il fallait que les consciences soient prêtes à entendre ». Après une quarantaine d’années uniquement réservées aux fleurs de Bach, c’est à la fin des années 70 que les nouveaux élixirs commencent à apparaître simultanément et partout dans le monde. Hasard ou nécessité ? Comme si une certaine conscience collective émergeait, avec ses questions, mais aussi les réponses appropriées venues d’une Nature compréhensive et adaptée à l’époque.
Forces telluriques
L’énergie des fleurs viendrait aussi de leur localisation géographique et de messages particuliers à fournir. Par exemple, c’est en Amérique latine, terre longtemps secouée par les dictateurs et les guerres civiles, que des fleurs ont donné un remède particulièrement efficace pour le « pardon »… En Alaska, les présentateurs des Alaskan Flower Essences mettent en avant des élixirs particulièrement purs, parce que loin de toute habitation. Mais surtout des élixirs denses et puissant, car chargés de l’énergie de minuscules fleurs qui ont trouvé la force de se reproduire et de pousser dans un univers rude, soumis à des amplitude de températures énormes ! Chaque plante aurait donc un effet propre lié à sa région d’origine.
Etant donné qu’il n’a jamais été aussi facile de se procurer des élixirs floraux du monde entier, ce serait dommage de ne pas se laisser tenter !
Source : Plantes & Santé Juillet-Août 2012
Les grands sportifs témoignent souvent de leur état de transe, état atteint lors d’un dépassement de soi, dépassement de la simple performance. Ces athlètes ressentent alors une parfaite osmose entre le corps, l’esprit, et le mouvement, s’ensuit une hyperintuition, précognition voire des situations vécues au ralenti.
Malheureusement, cet état extraordinaire n’est pas accessible pour la plupart d’entre nous. A cause du quotidien, de nos rythmes bien ancrés, nous avons pris l’habitude de délaisser notre corps, de vivre avec mais de ne pas être, c’est notre cerveau aujourd’hui qui domine. Pourtant, de nombreuses médecines douces, ainsi que des techniques de méditation préconisent une symbiose entre le corps et l’esprit. Dans La Solution intérieure, le médecin Thierry Janssen met en évidence un double mouvement : un partant de l’esprit vers le corps, l’autre du corps vers l’esprit. Nos organes sont donc des lieux de mémoire avec lesquels nous pouvons dialoguer. En 1996 déjà, le neurogastroentérologue Michael Gershon évoquait un deuxième cerveau en parlant de nos intestins, entourés d’un réseau dense de neurones. Selon Rollin McCraty, de l’Institute of Heartmath, le coeur contient également des neurones, et possède une intuition. Le cerveau ne serait donc pas l’unique organe « penseur » de notre corps.
Les yogis le savent depuis bien longtemps, notre corps n’est pas qu’une masse de chair, c’est une véritable antenne tendue vers l’extérieur, qui ressent grâce à la peau et les organes, et est à l’écoute de tout ce qui l’entoure. C’est grâce à lui que nous percevons l’hypersensoriel, ou extrasensoriel, souvent négligé par notre encéphale. La spiritualité, appréhendée généralement comme une rupture, est en fait une réincarnation, une reconquête de notre corps. Grâce à la méditation, vous permettez à votre esprit et à votre corps de se synchroniser, d’être en phase. Une fois le paroxysme atteint, vous êtes enfin détenteur d’une conscience totale de ce qui vous entoure, et vous pouvez accomplir beaucoup plus !
Source : Inexploré n°16
Très à la mode à la fin du 19ème siècle, cet alcool permettrait d’associer plaisir et bienfaits thérapeutiques. Aujourd’hui, le digestif reste apprécié par les amateurs de cocktails !
Son histoire
La menthe est utilisée pour ses vertus médicinales depuis la nuit des temps. Des feuilles de menthe ont été retrouvées par des archéologues dans des pyramides égyptiennes datant du premier millénaire avant J-C. Hippocrate louait déjà ses vertus digestives ! C’est en 1885 qu’Emile Giffard s’intéresse tout particulièrement aux vertus digestives et rafraichissantes de la menthe poivrée au goût de chlorophylle. Mais c’est le directeur du Grand Hôtel d’Angers, voisin de son officine, qui va pousser Emile Giffard à élaborer la Menthe-Pastille que l’on connaît. Son voisin lui demande de trouver une solution pour désaltérer ses clients. Emile teste alors sa dernière trouvaille : une liqueur à base d’huile essentielle de menthe poivrée. La boisson connaît un succès immédiat ! Au-delà de ses qualités rafraîchissantes, la Menthe-Pastille est aussi appréciée pour ses propriétés médicinales, notamment digestives. Emile Giffard transforme alors sa pharmacie en distillerie, et baptise son invention « Menthe-Pastille », en référence au goût des pastilles de menthe anglaises, très à la mode à l’époque.
Ses bienfaits
Un des effets bénéfiques reconnues pour la Menthe-Pastille est son aide à la digestion. Après un lourd repas, cette boisson permettra d’éviter les ballonnements. Mais la menthe possède également d’autres propriétés très appréciées ! Au 19ème siècle, les fermières américaines du Middle-West mettaient à leurs enfants des bracelets de menthe poivrée pour prévenir la rougeole. En Italie, les paysans piémontais plaçaient quelques feuilles de menthe dans leurs chaussures afin d’éviter la fatigue lors d’une longue marche.
L’huile essentielle de menthe poivrée stimule toutes les fonctions de l’organisme. Elle se compose principalement de menthol (à environ 40%), de menthone, et d’autres monoterpènes comme le monoterpénol et le monoterpénone. Le menthol, en déclenchant les thermorécepteurs est responsable de la sensation de fraîcheur. Il possède également des vertus antispasmodiques, ainsi que des propriétés analgésiques et antiseptiques.
Source : Plantes & Santé Juillet-Août 2012
Face à la perte d’un proche, à la douleur du deuil, de nombreux regrets surviennent. Il est fréquent que les personnes en peine souhaitent parler une toute dernière fois avec le défunt, afin de faire son deuil. C’est ce que propose ce dispositif original d’accompagnement appelé le « Psychomanteum ».
Psychomanteum, l’expérience
Afin de parvenir au Psychomanteum, il faut remplir deux conditions : une journée de préparation et un isolement prolongé devant un miroir. Durant la journée, il est nécessaire d’organiser l’espace de la pièce dans laquelle la personne devra s’isoler. Des effets personnels partiulièrement représentatifs du défunt doivent être disposés, le but recherché étant d’évoquer le disparu. C’est seulement après ce processus que la personne devra s’installer, dans la pénombre, devant un miroir de telle sorte qu’elle ne puisse y voir son propre reflet. Après un moment, en s’étant affranchie des notions d’espace et de temps, la personne sera alors confrontée à des éléments qui émergeront en elle, autour d’elle ou dans le miroir.
Elle a tenté le Psychomanteum, et témoigne
Mariette, enseignante à la retraite et catholique non pratiquante, a demandé cet accompagnement afin de faire le deuil de son mari et son fils, tous deux décédés. Son expérience a été plus que positive : non seulement Mariette a vu son fils et son mari dans le miroir, mais elle a également découvert l’endroit où son mari a disparu lors d’un accident en montagne, son corps a d’ailleurs été retrouvé depuis. Bien que Mariette n’a pas échangé un mot avec ses proches lors de son isolation dans le Psychomanteum, elle n’a éprouvé aucune peur, ni peine : « J’étais contente tout le temps. »
Impossible de dire si Mariette n’a pas été tout simplement victime d’hallucinations, de visions, créées par son propre esprit. Mais son témoignage montre que le Psychomanteum a finalement pu débloquer son processus de deuil, et c’est bien tout ce qui importe.
(Inexploré n°16)
Dans notre société, nous sommes devenus trop passif et acceptons ce que la radio, la télévision, les médias et les modes nous imposent. Dominique Loreau – Think positive !
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