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Le massage ne vous veut que du bien ! Mais selon vos besoins du moment, certains peuvent être plus adaptés que d’autres. Pour vous aider à choisir, voici 6 types de massage qui s’offrent à vous.
Amma, pour se relaxer très rapidement
On le retrouve souvent sous le nom de massage assis, et sa particularité et qu’il est court et relaxant. On le pratique sur une chaise spécifique à cet usage : vous gardez vos vêtements, vous vous asseyez, vous choisissez votre temps de détente et c’est parti ! Idéal pour un break au bureau ! Pour qui ? Les pressées, surbookés, les pudiques (vous pouvez garder vos vêtements)
Ayurvédique, pour l’harmonisation
Venu directement d’Inde, ce massage stimule vos 7 chakras. Ici, c’est un soin rééquilibrant et énergétique qui vous attend : le rythme est calme, les gestes doux. Réalisé à l’aide d’huiles chaudes, c’est votre dos qui est mis à l’honneur durant ce massage, considéré comme la « zone sacrée » du corps. Pour qui ? Les stressés, ceux qui souffrent de maux de dos ou d’insomnies
Californien, pour combattre les tensions
C’est dans le massage californien que l’on retrouve les huiles essentielles et leurs effets. Il s’agit du type de massage le plus répandu et le plus pratiqué dans le monde. Il cible deux types de bien-être : d’un côté, il déleste le corps de diverses tensions survenant dans les muscles, et d’un autre, il apaise les tensions psychiques, amenant ainsi une sensation de bien-être général ! Pour qui ? Ceux qui cherchent la relaxation avant tout
Réflexologie, pour lutter contre l’anxiété
On la connait souvent pour son application sur la zone des pieds, et pour cause, c’est un endroit particulièrement sensible aux points que stimule la réflexologie. C’est un massage qui applique la théorie de points d’énergie à stimuler, en particulier à certains endroits clés du corps, comme les extrémités. Son avantage : facile à reproduire, on peut se masser soi même et sur une courte durée (15 minutes suffisent). Pour qui ? Les stressés, pressés, et les adeptes de l’auto-massage
Shiatsu, pour rééquilibrer l’organisme
Héritier de la médecine chinoise et de ses théories, ce massage énergétique sert à rééquilibrer les flux d’énergie grâce au massage, qui se veut relativement rapide et tonique. Le terme shiatsu signifie « pression du doigt ». Le massage shiatsu consiste donc en des pressions du doigt sur des parties spécifiques du corps. Pour qui ? Les stressés, les personnes en manque de tonus, les adeptes de la civilisation chinoise
Thaï, pour dire adieu à la fatigue
C’est un massage anti fatigue, très rythmé, et aux gestes rapides. Il est efficace pour booster nos défenses immunitaires, et pour réduire la fatigue. Il est réalisé sur un futon à l’aide d’une grande quantité d’huiles de massage. Après le soin, attendez-vous à ressentir un peu de fatigue ou de légères douleurs, mais vous constaterez dès le lendemain qu’elles ont disparu, et pourrez constater les effets du massage. Pour qui ? Les sportifs, les amateurs de massages exotiques et tonifiants
Et vous, quel est le type de massage qui vous correspond le plus ?
Source : http://www.table-massage.info
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Tour du monde du bonheur, interview "C'est quoi le bonheur pour vous?" réalisée par Julien Peron directeur de l'agence de communication Neo-bienêtre, https://www.neobienetre.fr.
Coach familiale, Nathalie de Boisgrollier a créé l’association OZE, qui développe des outils pour une approche éducative harmonieuse et bienveillante, notamment basée sur les dernières recherches en pédagogie, neurosciences et sciences du comportement.
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Vieille de quelques milliers d’années, la Médecine traditionnelle chinoise est une médecine dite holistique, parce qu'elle prend en compte le patient comme un tout, au-delà des symptômes.
Sa relative complexité pour les Occidentaux vient de différents aspects :
Elle est fondée sur l’énergétique, considérant que le Yin et le Yang mènent le monde et donc chaque personne, grâce à l'énergie (Qi).
La base : L’harmonie
Le rôle premier de la Médecine chinoise traditionnelle est de maintenir l’harmonie de l’énergie à l’intérieur du corps ainsi qu’entre le corps et les éléments extérieurs.
Elle considère que chaque individu possède une constitution particulière dans laquelle les éléments interagissent, selon un équilibre qui lui est propre. Chez deux personnes, un même symptôme ( comme le mal de tête ) ne relèverai donc pas d’une même cause mais d’un déséquilibre propre à chacune d’elles.
Enfin, pour que la santé se maintienne, l’harmonie doit résider sur tous les plans : dans chacun des organes de l’individu, mais aussi entre ces organes, et entre l’individu et son environnement.
Notre énergie vitale : Le Qi
Selon la vision chinoise, tout dans l’univers est régi par le Qi (prononcé tchi), qui est l’énergie. C’est cette force qui ferait circuler les électrons et les atomes. Il permettrait ainsi aux cellules de se multiplier, et aux plantes et aux êtres vivants de croître. Chez l’humain, il soutient tant les fonctions du corps que de l’esprit : marcher, digérer, penser, ressentir…
Ce flux énergétique continu circule dans tout le corps via des canaux appelés méridiens. Sur ce trajet, on trouve des points d’acupuncture, d’où l’on peut en régulariser le débit.
C’est donc cette bonne circulation qui va favoriser le fonctionnement de l’organisme, la bonne santé, la pensée claire et les réflexes vifs. A l’inverse, lorsque notre Qi circule mal, on se sent faible, fatigué et sans vitalité.
L’équilibre : Le Yin et le Yang
L’autre point à comprendre ici est que l’équilibre n’est jamais statique. Il est constamment en mouvement entre les deux forces opposées, complémentaires et interdépendantes que sont le Yin et le Yang.
Le Yin représente les forces de passives ( ombre, froid, humidité…) et le Yang désigne les forces actives ( lumière, chaud, sécheresse…). Comme un jardin a besoin autant de la pluie (Yin) que du soleil (Yang), tous les organismes ont besoin des deux forces.
Chez un individu en bonne santé, les mouvements du Yin et du Yang sont harmonieux. Mais quand l'un vient à faiblir, l'autre prend le dessus et se manifeste par les symptômes qui lui sont propres. Un manque de Yang, par exemple, se traduit par un teint pâle et de la frilosité (pâleur et froideur étant des caractéristiques Yin)
La médecine chinoise vous aide donc à maintenir et harmoniser votre équilibre, intérieur et extérieur, en agissant sur ces différentes composantes.
Source : http://www.passeportsante.net
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Oui, car nous avons tous tendance à être dans le contrôle. Dans chaque situation nous analysons, revenons sur le passé, appréhendons le futur…et ainsi nous nous tourmentons l’esprit sans cesse, pour des choses très souvent inutiles ! Bref, apprenons à lâcher-prise !
Qu’est-ce que cela signifie ?Cette notion plutôt large de “lâcher-prise” définit le fait d’arrêter de s’empoisonner l’esprit avec des idées négatives, et plus largement de ne plus perdre son énergie pour des choses sur lesquelles on ne peut pas agir. Que ce soit la météo, la politique, les comportements des autres… Toutes ces choses qui nous agacent mais que l’on ne peut pas changer !
De plus, le lâcher-prise est surtout une philosophie de vie qui nécessite une réelle transformation intérieure, dans laquelle le positif prend le dessus. En effet, nous ne pouvons être épanoui dans la vie que si nous tournons le dos à toutes les émotions négatives. Rancœur, colère, jalousie, peur, honte, culpabilité… Nous devons leur redonner leur statut d’émotions, autrement dit comprendre qu’elles ont un début et une fin. Elles ne sont pas nous et nous devons absolument arrêter de nous identifier à elles !
Le pouvoir du moment présent
Comme l’explique parfaitement bien Eckhart Tolle dans son best-seller “The Power of now”, pour vivre heureux vivons ici et maintenant. Le reste n’existe pas. C’est aussi ça la notion de lâcher-prise. Il décrit la tyrannie de la pensée, et cette voix dans notre tête qui nous embête régulièrement ! Il conseille de pratiquer l’auto-surveillance, c’est à dire rester attentif à toutes les pensées qui traversent notre esprit au cours de la journée. Nous devons prendre du recul et devenir spectateur de ces pensées, afin de les accueillir avec bienveillance, tout en les laissant circuler et en les modifiant quand elles sont vraiment néfastes pour nous. Ainsi nous arrêtons de nous identifier à elles, de les laisser rentrer dans notre demeure intérieure, et on reste maître de soi et de son mental. La méditation est une pratique efficace qui peut nous aider dans ce sens.
La clef est en nous
C’est compliqué et simple à comprendre à la fois mais : nous sommes notre pire ennemi ! Alors arrêtons d’être les victimes de nos angoisses, de nos pensées, de notre imagination, nous sommes notre seul bourreau et c’est réellement nos pensées qui conditionnent notre bonheur. Oui car le changement vient clairement de l’intérieur, de nous, et non de tous les éléments extérieurs qui peuvent nous agacer ou nous faire souffrir. Il est en chacun de nous. En changeant notre angle de vue, la situation peut changer, tout est une question de perception.
Tolérance et persévérance
Une des clefs se trouve également dans la tolérance…envers nous même ! Tout ce qui traverse notre vie n’est qu’apprentissage. Alors prenons les choses comme elles viennent, cessons de nous juger parce qu’on n’aurait pas dû faire faire ceci, ou dire cela. Nous sommes toujours au bon endroit au bon moment, et chaque chose à un sens, même si il est parfois difficile à déchiffrer sur l’instant, il arrive toujours. Alors faites confiance à la vie et allez de l’avant !
Lâcher prise, c’est aussi arrêter de vouloir correspondre aux attentes des autres, c’est savoir dire non et rester en phase avec soi-même quoi qu’il se passe. Plus on essaie de ressembler à l’image qu’on nous colle, plus on est malheureux. Il faut se libérer de ces attentes, des attentes des autres, des attentes de la société, et écouter notre intuition profonde, la fameuse voie du cœur.
Enfin, le lâcher-prise demande du travail : on ne se transforme pas intérieurement du jour au lendemain. Chaque jour est un nouveau challenge dans lequel il faut construire, travailler sur son mental, sa foi, son éveil… Mais avec de l’entraînement et de la persévérance, ces automatismes deviendront de plus en plus naturels.
N’oubliez pas, tout n’est pas tout blanc ou noir, et comme l’a dit un célèbre physicien il y a plus de cent ans maintenant : TOUT EST RELATIF ! Alors soufflez, relativisez, et appréciez la vie, simplement.
Source : http://www.savethegreen.fr
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C'est l'invitation à essayer un parcours "La cure de Bonheur" qui vous permet de recevoir des informations importantes concernant la santé à la fois du corps physique et émotionnelle et la recherche du sens de l'existence. C'est aussi parallèlement la possibilité de connaitre la tradition spirituelle de l'Inde Ancienne et les réponses qu'elle propose quant à la question du bonheur.
En effet, la pratique du chant des mantras est proposée depuis des millénaires comme la voie royale pour défaire à la racine le nœud des problèmes de l'existence dont l'angoisse, l'incertitude et l'anxiété sont les premiers symptômes.
Que signifie le mot Mantra?
Mantra en Sanskrit vient de "mana" le mental et "atra" libérer. Un Mantra est donc une vibration sonore qui a un pouvoir particulier. Il y a toute sorte de Mantras: Du mantra pour soigner les morsures de serpents au grand chant de la libération appelé le Maha Mantra, ces vibrations sonores sanskrites agissent avec puissance et efficacité. Et tout comme les formules magiques sont consignées dans un grimoire et enseigné par les mages, spécialistes en la matière, de même les textes védiques et la culture védique tout entière sont le berceau de cette tradition et pratique du chant des Mantras. Les brahmanas ou prêtre védique étant les spécialistes de cette pratique.
Mantra Thérapie, dans les formations mises en ligne, vous permet de vous familiariser davantage avec cette culture et cette pratique.
Pourquoi chanter ou réciter le Maha Mantra?
le chant du Maha Mantra est recommandé depuis des millénaires comme LA solution à la souffrance matérielle.
Dans le Brihad-naradiya Purana il est fait mention par trois fois de manière répétée que dans l'âge de Kali où nous nous trouvons, l'âge de querelle et d'hypocrisie, le chant des Saints de Dieu est le seul moyen, la seule méthode pour atteindre l'absolu. Ce Maha Mantra est de ce fait chanté depuis des millénaire dans cette intention.
Qu'en est il de nos jours chez nous?
Mais cette compréhension est loin d'être partagée dans nos contrées. Même si l' occident depuis 2000 ans a été profondément influencé, dans son histoire et son architecture, par la vision personnelle de "Dieu le Père" et si "Aimez vous les uns les autres, comme je vous ai aimé" est l'axe principal de la réflexion et pratique du monde chrétien, et même si, au delà des querelles de clochers et d'églises, cette pensée a construit un socle commun de compréhension de la position de l'être humain par rapport à son Créateur, il faut bien admettre que depuis 1905, et la séparation officielle de l'église et de l'état, la pensée dite laïque revendique de plus en plus fortement la suprématie d'un "Ni Dieu, ni maître".
Et autant le dictionnaire nous donne une définition de la laïcité comme étant " une éthique basée sur la liberté de conscience visant à l'épanouissement de l'Homme en tant qu'individu et citoyen, et concrètement fondée sur le principe de séparation juridique des Eglises et de l'Etat", autant dans la pratique et la réalité la laïcité est vite devenue la revendication d'un athéisme dominant, visant à brider, par la force légale s'il le faut, toute tentative individuelle ou collective de liberté et d'expression spirituelle qui tenterait de revendiquer l'existence d'une intelligence supérieure ainsi qu'une pratique en rapport avec celle ci.
Laïcité vraiment?
En fait depuis la séparation officielle de l'église et de l'Etat, et après des siècles de domination dogmatique religieuse parfois largement déviante, le retour du pendule fait son effet et on assiste maintenant à l'inverse: le refus et le déni quasi systématique des élites face à toute culture spirituelle. Ainsi parler de Dieu en public ou chanter les Noms de Dieu est soumis à autorisation et régulation administrative. Le fait religieux dans son entier est lui aussi soumis à régulation officielle. On pourrait alors se demander où est la liberté de conscience quand pour prier, il faut demander une autorisation? quand le port d'un habit ou d'un signe religieux est soit interdit soit soumis à régulation officielle. Quand c'est l'Etat qui décide des conditions de liberté de conscience de ses citoyens est-ce encore de la liberté? Vaste débat... et pour couronner le tout quand on assiste à un amalgame savamment orchestré entre religion, politique et terrorisme cela achève de clôturer le débat.
Faites l'expérience autour de vous! avez vous déjà ressenti ce malaise subtil et immédiatement perceptible qui se glisse entre votre interlocuteur si vous commencez à parler de Dieu, quel que soit le Nom que vous Lui donnez d'ailleurs? C'est comme si on disait un gros mot! En fait, il est plus facile de balancer des injures à quelqu'un que de lui parler de Dieu!
Tout comme dans le monde touffu des pratiques thérapeutiques d'avant garde où l'on commence à vendre le soin de transformation quantique de l'ADN à 39,90€ tout comme il y a des années on vendait l'ouverture des chakras un par un, comme des rondelles de saucisson, et 60€ la flamme violette!
Rendons à César, ce qui appartient à César!
C'est à dire cessons de vouloir un bonheur Walt Disney, c'est à dire un monde parfait sans connexion avec Celui qui en est l'origine. C'est aussi idiot que de vouloir du courant sans se brancher au réseau ni au propriétaire du réseau. On ne vit jamais longtemps très bien à crédit...
Nous agissons de la même manière qu'un locataire qui en plus de refuser de s'acquitter de son loyer commencerait en plus, à répandre la nouvelle partout autour de lui qu'il est le propriétaire exclusif du logement qu'il occupe et quand celui ci ou son représentant se présente à la porte, il le jette dehors, lui interdit d'entrer ou le menace physiquement.
Parce que nous vivons ce paradoxe important entre déni de réalité et désir de sens, Mantra Thérapie souhaite participer à mettre en évidence, par ses formations, les principes fondamentaux de l'existence au-delà du fait religieux.
La culture spirituelle védique se nomme en sanskrit "Sanatana Dharma" ce qui signifie "le devoir éternel de chaque être vivant", et s'inscrit au delà des dogmes et croyances pour mettre en lumière les réalités profondes inhérentes à l'être humain dans son ensemble.
Qui sommes nous? D'où venons nous? et Où allons nous?
Ces trois questions fondamentales du sens de l'existence ont déjà depuis des millénaires été répondu par les sages antiques, au même titre que les maladies communes à l'être humain ont déjà été traité et répertorié par les systèmes traditionnelles de médecine, qui n'ont pas attendu la science dite "moderne" pour répondre aux nécessités et réalités de la vie.
La formation en ligne "Le Bhakti Yoga chez soi" est une mine d'informations amenant les réponses à ces questions fondamentales à la lumière de la tradition millénaire authentique de l'Inde Ancienne. Cette formation est totalement gratuite.
Cette vidéo est une introduction au Maha Mantra avec son explication donnée par un représentant authentique de cette tradition millénaire.
Cependant, il n'est nul besoin de comprendre le sanskrit ni de connaitre la signification du Maha Mantra pour bénéficier de ses effets. Laissez vous tout simplement porter par ces vibrations transcendantales, écoutez et chantez en même temps si le cœur vous en dit!
Effet bonheur garanti
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Être heureux chaque jour-Claire MAZAL
Le pouvoir des méridiens
Selon la médecine orientale, l’énergie circule dans le corps le long de trajets énergétiques appelés méridiens. On en comptabilise quatorze.
Nous avons douze méridiens bilatéraux liés aux organes et aux viscères, et deux méridiens régulateurs, le vaisseau Conception et le vaisseau Gouverneur.
Les méridiens, partagés entre le yin et le yang, gouvernent les grandes fonctions du corps humain. Les méridiens Yin circulent du bas vers le haut sur la face avant du corps, alors que les méridiens Yang circulent du haut vers le bas, sur la face arrière du corps.
Description des méridiens :
Méridien Yin de la jambe. Il part du pied pour arriver à la tête.
Principale fonction : Stockage et distribution du sang. Drainage et désintoxication. Associé aux muscles.
Symptômes en cas de désordre : Irritabilité, insomnies, crampes, troubles de la vue, céphalées...
Méridien Yang de pied. Il part de la tête pour arriver au pied.
Principale fonction : Stockage et sécrétion de la bile créée par le foie. Protection contre les mauvaises influences, les peurs… Harmonisation des accords entre les différents organes.
Symptômes en cas de désordre : Problèmes digestifs, manque de détermination, sciatiques, vertiges, bourdonnements…
Méridien Yin de bras. Il part de la poitrine et se termine à la main.
Principale fonction : Gouvernant à la fois la circulation du sang et l’activité mentale, c’est le “seigneur”. Associés aux émotions profondes, joie et euphorie ou déprime et frayeur. Organe associé à la langue et donc à la parole.
Symptômes en cas de désordre : Faiblesse de la circulation (teint blême), tachycardie, maux de tête, yeux douloureux, douleurs thoraciques...
Méridien Yang de bras. Il part de la main et se termine à la tête.
Principale fonction : Transformation d’aliments. Triage du pur et de l’impur.
Symptômes en cas de désordre : Problèmes digestifs, douleurs du dos, paralysie faciale, œil qui saute…
Méridien Yin de bras. Il part de la poitrine et se termine à la main. Il représente l’enveloppe du cœur.
Principale fonction : Aide le cœur en contrôlant le système circulatoire et les coronaires. Représente les vaisseaux, le cœur, la circulation, les organes génitaux internes...
Symptômes en cas de désordre : Raideur du cou, convulsion des membres, rougeurs au visage, chaleur sur les paumes des mains...
Méridien Yang de bras. Il part de la main et se termine à la tête.
Principale fonction : Couplé au maître cœur. Représente la fonction parasympathique. Répartit les liquides et la chaleur dans les trois foyers du corps (Foyer supérieur : cœur et poumon chargés de la distribution de l’énergie / Foyer moyen : rate et foie chargés de la création et distribution du sang / Foyer inférieur : rein, intestins et vessie chargés de l’élimination des excédents liquides et solides )
Symptômes en cas de désordre : Problèmes de l’oreille (surdité, bourdonnements…), mal de gorge, enflure de joue...
Méridien Yin de la jambe. Il part de la jambe et se termine à l’épaule.
Principale fonction : Fonctions endocrine et exocrine du corps : gouverne le transport des liquides. Maintien du sang dans les vaisseaux. Au niveau psychologique, gestion de la mémoire.
Symptômes en cas de désordre : Perte de mémoire, ressassement d’idées, problèmes lymphatiques, sensations de lourdeurs, enflure des jambes et des pieds…
Méridien Yang de pied. Il part de la tête et se termine au pied.
Principale fonction : Réception, simplification et décomposition des aliments.
Symptômes en cas de désordre : Perte ou augmentation de l’appétit, troubles digestifs (diarrhée, constipation…), problèmes de thyroïde, stress, rumination.
Méridien Yin de bras. Il prend sa source sur la poitrine et se termine sur la main.
Principale fonction : Gouverne la fonction respiratoire et prend l’énergie dans l’air. Relié à la tristesse, au nez et aux poils. Dirige l’énergie de respiration et de tout l’organisme.
Symptômes en cas de désordre : Angoisses, déprime, toux, problèmes de peau, nez bouché, douleurs thoraciques, fièvre...
Méridien Yang de bras. Il part de la main et se termine à la tête.
Principale fonction : Sert à l’élimination des déchets solides. Assure la défense de l’organisme contre l’extérieur. Gouverne le lâcher-prise. Responsable du manque de pensées positives et de l’obsession du détail.
Symptômes en cas de désordre : Constipation, problèmes de peau (inflammations, démangeaisons…), fébrilité, fièvre avec soif, douleur à la gorge, yeux rouges, saignements de nez, douleurs aux bras…
Méridien Yin de pied. Il part du pied pour arriver à la tête.
Principale fonction : Fonction de stockage et de distribution d’énergie. Permet la transformation des énergies acquises. Intervient en cas de problème sur les autres organes. Lié à l’oreille et aux cheveux.
Symptômes en cas de désordre : Douleurs vertébrales, fatigue dans le genou, bouche sèche, gorge douloureuse, dorsalgies…
Méridien Yang de pied. Il part de la tête pour arriver au pied.
Principale fonction : Contrôle du niveau des liquides dans le corps.
Symptômes en cas de désordre : Incontinence, rétention, déshydratation, coliques néphrétiques, sensation de froid ou de chaud, raideur du cou, maux de têtes, larmes, douleurs aux cuisses, problèmes d’adaptation…
……………………………………..
Les méridiens circulent dans le corps selon l’horloge circadienne.
L’énergie circule d’un méridien à l’autre selon un cycle de 24h. Chaque méridien possède ainsi un surcroît d’énergie : on dit qu’il est en plénitude 2 heures chaque jour. Par exemple, une personne souffrant de problèmes pulmonaires, risque fort de se réveiller entre 3 et 5 h du matin, période de plénitude énergétique du méridien poumon.
De plus, l’énergie circulant dans les méridiens comme une vague alimentant les méridiens tour à tour, risque de rencontrer des blocages sur son chemin. Ces blocages vont entraîner une surcharge d’énergie quelque part le long du trajet et un vide dans les parties qui suivent.
La médecine orientale cherchera à éliminer ces blocages, et ainsi les dysfonctionnements.
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Pourquoi choisir les médecines douces ?
Plébiscitée par les adeptes des solutions naturelles, la médecine douce apporte du bien-être via un large panel de pratiques qui régulent les énergies, font baisser l’anxiété, ou encore améliorent les sensations de douleur et de fatigue, le tout sans passer par la case médicaments.
Evidemment, la médecine conventionnelle joue un rôle important, et elle a su augmenter de manière considérable notre espérance de vie. Cependant elle a ses propres limites, l’une des plus importantes étant de nous avoir inoculé la dépendance : nous sommes majoritairement incapables d’écouter notre corps et de prendre en main notre santé. Pourtant, depuis des décennies, la recherche a justifié l’utilisation des plantes et des pratiques douces et démontré leur grande efficacité. En les intégrant dans notre vie quotidienne, nous procurons à nos différents systèmes organiques des apports et des armes indispensables.
Quelques conseils pour choisir la médecine douce qui vous convient, la mieux adaptée à vos maux…
Homéopathie, acupuncture, shiatsu… De nombreuses médecines douces proposent un panel important de pratiques pour accéder au bien-être. Elles permettent entre autre de traiter les douleurs articulaires, arrêter le tabac, améliorer les états de stress responsables de troubles divers (insomnies, digestion…) et même d’atténuer certaines allergies.
Phytothérapie, aromathérapie… La médecine douce regorge de solutions naturelles qui permettent de soulager et soigner toutes sortes d’affections. En gélules, infusions, poudres, huiles essentielles… Chaque problème a sa plante fétiche. Elles sont notamment très utilisées pour améliorer le sommeil, lutter contre le stress et la déprime. Les plantes sont une des solutions naturelles par excellence pour se passer d’une médication chimique.
Yoga, tai chi, qi gong… La médecine douce, c’est aussi tout un choix de pratiques de gym qui permettent d’améliorer la circulation de ses énergies, rééquilibrant ainsi le corps. Différentes postures, mouvements spécifiques et exercices de respiration permettent ainsi à celui qui les pratique d’accéder au lâcher prise. De plus, cela améliore la souplesse, l’équilibre, la concentration ou encore le sommeil.
Sophrologue, kinésiologie, méditation... Ces techniques de médecine douce adaptées à tout âge, apprennent à développer des pensées positives, à mieux respirer, en prenant conscience de son schéma corporel. Ainsi, on acquiert des techniques qui permettent de réguler le système nerveux, de gérer ses émotions et de se relaxer pour combattre l’anxiété.
Source : http://www.medecine-douce.netABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER
ou Comment créer les conditions d’une communication authentique et bienveillante
Il y a un peu plus d’une vingtaine d’années, j’étais alors une jeune enseignante qui cherchait des réponses aux questions que je me posais quant à ma façon d’être juste dans ma relation avec mes élèves, et d’instaurer dans le cadre qui était posé, une communication que je voulais être de personne à personne, et non seulement d’enseignant à enseigné. Je me suis alors tournée vers la lecture des travaux de Carl Rogers, de Thomas Gordon ou encore de Marshall B. Rosenberg, et j’ai ainsi découvert à travers ces trois grands noms de la psychologie, les secrets et vertus de la Communication Non Violente© (CNV).
La communication est ce qui nous permet d’entrer en relation avec l’autre, c’est ce qui nous permet de créer du lien, d’échanger, de nous exprimer, d’apprendre, de transmettre. Elle est l’expression orale, verbale, écrite, mais aussi corporelle par nos postures, nos gestes, les expressions de notre visage, de nos mains, de tout ce qui nous compose dans notre grande diversité.
Nous avons tous appris les règles de courtoisie, de politesse, et nous avons tous reçu des connaissances en grammaire, en conjugaison, en orthographe, mais aussi en histoire, en géographie, en mathématiques, en sciences, en langues étrangères, et selon nos orientations nous avons pu apprendre le langage informatique, commercial, marketing … Mais à quel moment avons-nous reçu un enseignement pour apprendre à communiquer sur nos ressentis, nos émotions, à explorer et à identifier nos besoins, à exprimer nos demandes et nos attentes de façon claire, efficace, authentique, respectueuse de soi et de l’autre ?
Déchiffrer le processus de communication, comprendre les jeux et les enjeux qui se jouent dans l’échange verbal, entendre au-delà des mots les non-dits, les souffrances, les blessures ; les accueillir avec empathie, prendre conscience de notre responsabilité dans l’échange, et mesurer le pouvoir de notre parole, sont quelques-uns des points essentiels qu’il nous faut comprendre et intégrer pour pratiquer et développer la Communication Non Violente© de façon consciente.
En tant qu’enseignante reconvertie, je ne peux que regretter ce vide laissé à l’apprentissage des principes d’une communication qui repose sur l’observation (d’un fait, d’une situation), l’expression (d’une émotion, d’un ressenti, d’un sentiment), la reconnaissance (d’un besoin derrière l’émotion exprimée), et la formulation (d’une demande ou d’une attente par rapport au besoin exprimé). Ceci est la base d’une communication respectueuse de soi et de l’autre.
Oui, je regrette le peu de place et d’intérêt porté à la vie intérieure de l’élève en tant que personne, et tout autant pour chaque acteur du système éducatif (enseignants, personnel d’éducation, de service …). Un enseignement exclusivement centré sur la connaissance intellectuelle peut-il être suffisant, satisfaisant, et répondre de façon adaptée à l’évolution de notre monde ? Je pose la question.
Combien de conflits, d’incompréhensions, de ruptures et parfois même de séparations pourraient être évitées si nous
acceptions de regarder et de repenser notre mode de communication ? Combien d’énergie pourrions-nous redéployer vers des aspects créatifs et joyeux de notre vie, en nous épargnant le gaspillage d’énergie à tenter de convaincre l’autre, à juger, à critiquer, à reprocher, à menacer, à punir ? Combien de moments de paix intérieure, de sérénité, de joie pourrions-nous retrouver dans une écoute ouverte, un dialogue constructif, créatif et bienveillant ?
La compréhension comporte un risque. Si je me permets de comprendre vraiment une autre personne, il se pourrait que cette compréhension me fasse changer. Or, nous avons peur du changement . Carl Rogers
La Communication Non Violente© et consciente peut sembler à certains simpliste, utopique, naïve voire impossible. Je peux le comprendre car lorsque nous sommes amenés à modifier nos comportements, nous avons toujours peur d’être dépossédés d’une part de nous-même à laquelle nous nous sommes identifiés, et sans laquelle nous craignons de ne plus nous reconnaître.
La compréhension comporte un risque. Si je me permets de comprendre vraiment une autre personne, il se pourrait que cette compréhension me fasse changer. Or, nous avons peur du changement . Carl Rogers
Nous nous sommes identifiés à certains de nos comportements que nous avons-nous-mêmes fabriqués, mais qui ne sont que des composants de notre personnalité que nous pouvons modifier à souhait.
Une personne qui par exemple est persuadée qu’elle ne peut se faire respecter qu’en élevant la voix, qu’en donnant des ordres, en proférant des menaces, et en distribuant des punitions aura beaucoup de résistances à changer sa forme de communication, car elle craindra de perdre l’ascendant sur l’autre. Si cette personne s’ouvre à une autre façon de communiquer, elle sortira d’un fonctionnement sans doute emprunté à son éducation, elle se libérera de sa peur de ne pas être respectée, et gagnera en confiance et en autorité naturelle. Car l’autorité ne se gagne pas par la peur ou la menace exercées sur l’autre, mais par le respect que l’on inspire en étant soi-même dans le respect de l’autre.
La Communication Non Violente© et consciente est tout le contraire de la négation de soi et de ses besoins, au bénéfice de ceux de l’autre ou des autres. Lorsqu’elle est comprise et intégrée, cette forme de communication nous ouvre un vaste champ de liberté pour exprimer ce que nous sommes, ce que nous ressentons, ce que nous sommes en mesure d’accepter ou pas, au regard de ce que sont nos besoins du moment, et de proposer à l’autre une solution ouverte ou de poser une action, une décision juste au regard d’une situation qui nous concerne et nous engage.
C’est d’ailleurs ce que nous faisons à longueur de temps, mais le plus souvent en ayant l’impression de devoir nous justifier comme si nous étions en faute, ou avec le sentiment que nous contraignons l’autre, que nous lui imposons notre point de vue, ou notre décision. Et lorsque nous ne parvenons pas à exprimer notre ressenti, notre besoin, ou lorsque ceux-ci ne sont pas accueillis, pas entendus, nous gardons au fond de nous notre déception et notre frustration qui se transforment en colère, et que nous vomissons plus tard sous forme de reproches au goût de rancune, à la moindre occasion qui se présente.
Nos malentendus sont des mal-écoutés qui résultent eux-mêmes de mal-exprimés, de mal-dits et de non-dits. Nous pouvons apprendre à parler à la fois avec sensibilité, force et vérité. Thomas d’Ansembourg
Difficile de ne pas reconnaître que dans bien de nos relations, nous laissons s’installer les conditions du conflit par défaut d’une communication vraie. Nous parlons, parfois beaucoup, de tout, surtout des autres, de ce qui est extérieur à nous. Dans le cadre de nos activités professionnelles auxquelles ne l’oublions pas nous consacrons une grande partie de notre temps, à travers nos relations sociales, mais également dans nos échanges avec nos proches (conjoint, enfants, famille, amis …), nous échangeons des informations, nous commentons beaucoup, questionnons, donnons des ordres, adressons des critiques, des reproches, nous prévoyons, planifions, nous organisons, nous gérons le quotidien, la logistique, les finances …. Nous sommes dans une relation ou l’échange verbal a principalement une fonction d’utilité sociale, et qui est donc essentiellement tournée vers l’extérieur.
Peut-être pouvons-nous y voir l’empreinte laissée dans notre mémoire de quelques petites phrases entendues dans l’enfance, et qui d’une certaine façon ont conditionné notre parole, comme par exemple, parler pour ne rien dire, ne sert à rien ou encore si tu n’as rien d’intéressant à dire, autant te taire.
Même si les relations familiales ont beaucoup évolué en l’espace de quelques décennies, Il n’y a pas encore si longtemps dans les familles les enfants étaient rarement invités à s’exprimer pendant les repas. Beaucoup d’entre nous portons l’héritage d’une éducation où il n’était pas bien de se plaindre, de demander, d’exprimer ses besoins, ses préférences, ses désirs, ses émotions. Quant à l’école, elle aussi a contribué à faire que notre parole soit mesurée et juste, sous peine d’être l’objet de moqueries ou de s’entendre dire si c’est pour dire une bêtise, tais-toi.
Parler de soi, de ses ressentis, de ses souffrances et blessures, exprimer ses besoins, ses aspirations profondes, n’est donc pas chose à laquelle nous avons été invités, préparés, et il n’est donc pas simple, naturel, facile de le faire dans le cadre de notre vie quotidienne. Le fait que nous ayons besoin de recourir à une thérapie, un accompagnement, un groupe de parole pour pouvoir mettre des mots sur nos maux, du sens sur nos émotions, de la clarté dans notre vision, montre à quel point nous ressentons le besoin de combler la déficience d’une communication où le JE peut s’exprimer, être accueilli, entendu pour ce qu’il est, sans nous sentir jugés, critiqués, évalués, ou bien encore coupables, et sans que nos propos soient soumis à des interprétations erronées, et souvent peu empreintes de bienveillance.
Tout être est une île, au sens le plus réel du mot, et il ne peut construire un pont pour communiquer avec d’autres îles que s’il est prêt à être lui-même et s’il lui est permis de l’être . Carl Rogers
La Communication Non Violente© et consciente nous invite à recentrer notre attention sur nous-même, à nous relier à nos qualités de cœur, à nous réapproprier notre JE, de façon à accueillir le Tu avec bienveillance, et d’ouvrir un espace de liberté et d’expression au NOUS. Son approche est simple mais non simpliste, elle repose sur des principes qui se résument en 4 mots clés : observation, sentiment, besoin, demande.
Observer sans évaluer, sans juger ni critiquer
Nous observons de façon neutre un comportement, un fait une situation concrète qui affecte notre bien-être. Nous ne cherchons pas à décoder ce que nous observons, ni à l’interpréter, ce qui reviendrait à donner au fait observé la couleur de nos peurs, de nos déceptions, de nos espoirs, de nos projections, et donc d’ôter à l’observation toute forme de neutralité.
Cette observation neutre, nous invite à prendre conscience de nos mécanises de pensées (jugements, croyances, préjugés, à priori), de nos automatismes verbaux (oui mais, tu-tu-tu, c’est toujours, c’est jamais, c’est encore, aucun/e, tout ou rien, l’usage de l’impératif), de nos habitudes comportementales (déresponsabilisation, désengagement, attaque, défense, timbre de voix, expression du visage, bouderie, mutisme).
Par cette première porte qu’est l’observation neutre et la prise de conscience, nous pouvons accéder à la seconde qui est l’écoute de nos sentiments suscités par la situation vécue.
Identifier et exprimer ses sentiments sans responsabiliser l’autre, sans interpréter
Il est fréquent d’observer la différence d’approche lorsque l’on répond à cette question : Comment te sens-tu ? ou Que ressens-tu face à ce que tu vis (ou face à telle situation) ?
(A) Je sens qu’il faut que … Je sens que ça ne sert à rien de… Je sens que nous n’allons pas … J’ai le sentiment que je dois … J’ai le sentiment d’aller dans le mur, d’être transparent, inexistant, de ne jamais y arriver. Je me sens sans talent.
(B) Je me sens incompris. Je ne me sens pas reconnu, Je me sens délaissé, rejeté, manipulé.
(C) Je me sens fatigué. Je me sens détenu, confiant, rassuré… Je suis déçu de mes résultats. Je me sens inquiet, submergé, découragé.
Lorsque nous parlons de nos sentiments et que nous croyons engager le JE, nous commettons parfois une confusion entre ce que notre mental perçoit comme étant un sentiment, mais qui relève plus de la pensée ou de l’opinion (A), entre les sentiments qui sous-tendent une responsabilité imputable à l’autre même si celle-ci n’est pas explicitement exprimée (B), et enfin entre les mots qui expriment un état d’être, un sentiment mais cette fois exempt de responsabilité projetée sur l’autre (C)
Le sentiment au même titre que l’émotion est un moyen précieux pour nous de reconnaître qu’un de nos besoins n’est pas satisfait, voire plusieurs. L’une et l’autre fonctionnent comme des avertisseurs, des signaux qui nous invitent à nous poser, à regarder en nous ce qui demande à être entendu et qui ne l’est pas. Si nous prenons ce temps pour ressentir à l’intérieur ce qui se passe, nous nous évitons d’entrer en réaction contre ce qui est à l’origine de notre mal-être, et nous pouvons ainsi désamorcer ce qui pourrait nous entraîner vers un conflit, une dispute, une querelle.
Apprendre à distinguer le vrai sentiment, de la pensée ou du sentiment-interprété est essentiel pour aller vers la 3ème étape du processus de communication. Tant que je suis dans l’impossibilité ou l’incapacité de nommer mes sentiments et d’en saisir ma responsabilité, je ne peux pas laisser émerger mes besoins non satisfaits qui se cachent derrière l’inconfort de ce que je vis.
L’ajouterai ici, qu’au moment d’exprimer nos sentiments nous sommes parfois amenés à constater la « pauvreté » de notre vocabulaire ou l’imprécision des mots que nous employons pour décrire un sentiment ou une émotion.
Vous trouverez à la fin de cet article un document que vous pourrez télécharger Des mots pour oser se dire, tiré du livre de Thomas d’Ansembourg, et qui vous offrira des listes d’adjectifs pour exprimer avec précision vos sentiments.
Identifier nos besoins et les exprimer, sans les projeter sur l’autre
Nous avons souvent une connaissance erronée et très partielle de nos besoins fondamentaux, que souvent nous confondons à des envies passagères, ou que nous ignorons tout simplement, parce que pendant longtemps il nous a été répété que s’occuper de ses besoins était une attitude égoïste, et que la générosité consistait à comprendre et à répondre aux besoins des autres avant de s’occuper des nôtres.
Autre croyance largement répandue et qui découle de la précédente, est de croire que l’autre est celui ou celle par qui nos besoins doivent être satisfaits. De là, nous imputons à l’autre la responsabilité de nos besoins non satisfaits ; la défaillance de l’autre fait de lui ou d’elle un coupable tout trouvé.
Si nous prenons le temps de prendre un peu de distance par rapport à ce schéma sur lequel nous avons bâti la plupart de nos relations, nous pouvons nous demander comment pouvons-nous être dans une écoute vraie et adaptée des besoins des autres, si nous n’avons pas cette qualité d’écoute pour nos propres besoins ? Comment pouvons-nous être disponibles et bienveillants pour les autres, si nous ne le sommes pas vis-à-vis de nous-même ? Comment pouvons-nous aimer l’autre et l’accueillir dans ses contradictions et sa diversité, si nous ne nous sommes pas accueillis nous-mêmes dans nos différences ?
La nature humaine est faite de telle sorte que nous avons des besoins fondamentaux à différents niveaux de notre être. Je pourrai dire que tous ont une fonction spécifique, et que tous concourent à notre maintien en vie, à notre développement physique, psychique, affectif, à notre intégration sociale, à notre réalisation par la reconnaissance de nos valeurs, et l’expression de notre identité, de nos talents, à l’accomplissement de notre Être dans sa dimension spirituelle. Je ne cite là que dans les grandes lignes les multiples fonctions de nos besoins. Je consacre toute une partie de mon programme* à décrire ce que sont nos besoins essentiels et à l’importante d’y répondre de façon la plus adaptée possible.
Il est de nos besoins comme de nos sentiments, si nous ne les avons pas identifiés, il nous est très difficile de les nommer, et donc de les satisfaire de façon adéquate. Et comme nous sommes fortement imprégnés de la croyance que c’est à l’autre à répondre à mes besoins, sans que nous ayons même à les exprimer, eh bien nous avons-là les conditions réunies qui nourrissent la déception, la frustration, la colère, la tristesse, le conflit, l’incompréhension, le désespoir, le renoncement, la culpabilité.
La non reconnaissance de nos besoins est ce qui rend très souvent la relation de couple difficile, voire ce qui empêche certaines personnes de s’engager pleinement dans une relation, par peur de devoir satisfaire les besoins de l’autre. Au niveau du couple ce sont souvent les besoins de sécurité affective (et/ou matérielle), de reconnaissance, de respect, d’amour, d’estime de soi, d’affirmation de soi, qui se jouent pour chacun dans la relation. Cette peur de se perdre dans la relation, Thomas ’Ansembourg la résume parfaitement dans cette phrase qui vient nous chercher dans notre propre challenge !
Comment être soi sans cesser d’être avec l’autre, comment être avec l’autre sans cesser d’être soi ?
Lorsque nous observons que nous avons des comportements excessifs (sur-activité ou procrastination), des addictions (travail, achats compulsifs, alcool, drogues, tabac, médicaments), ou que nous entretenons des relations toxiques, des dépendances affectives, nous devons comprendre que ces comportements masquent des besoins essentiels, de base ou fondamentaux, qui ne sont pas satisfaits. Il arrive que nous refusions de voir nos déséquilibres intérieurs, soit parce que nous ne sommes pas prêts à affronter une réalité qui ne nous convient pas mais face à laquelle nous nous sentons impuissants, soit pour éviter de nous saisir de notre part de responsabilité dans ce que nous vivons et nourrissons.
Le seul fait de pouvoir nommer nos besoins marque souvent le début d’un processus de libération et de reconnaissance de nos dysfonctionnements. La parole aide à libérer une tension contenue parfois depuis très longtemps, qui intérieurement nous mine, alourdit l’énergie de notre environnement, et menace à tout moment d’éclater.
Enfin je voudrai souligner un point qui peut aider toutes les personnes qui se retiennent encore d’exprimer leurs propres besoins, craignant d’être étiquetées d’égoïstes. Lorsque nous nous donnons à nous-même l’autorisation de dire nos besoins dans une communication bienveillante, ouverte, constructive autant pour soi que pour l’autre et pour la relation, nous ouvrons un espace de liberté, dans lequel l’autre sait qu’il peut lui aussi exprimer ses besoins, et qu’ils seront accueillis sans jugement.
Exprimer notre besoin à l’autre – Formuler une demande précise, positive et ouverte (négociable).
Avez-vous remarqué que lorsque nous désirons parler de nous, de ce qui nous affecte, nous blesse, nous dérange, nous avons souvent du mal à utiliser le JE, c’est-à-dire à parler en notre nom, sans passer par le Tu-accusateur-responsable ou coupable de ce que JE vit.
Ressentez-vous ou entendez-vous la différence entre :
Dans la première formulation (A) les sentiments (fatigue, tristesse, solitude) sont nommés, ainsi que le besoin (équité et justesse), derrière lequel on devine que cette personne considère que la répartition de la gestion familiale n’est pas équilibrée, que trop de choses reposent sur ses épaules, et que cette situation ne répond pas à son besoin d’équité. Elle propose une action (en parler), et ouvre sa requête en demandant à son interlocuteur ce qu’il pense de sa proposition. Un besoin peut en cacher un autre. Si nous investiguions davantage nous pourrions découvrir que derrière le besoin d’équité et de justesse se dissimulent d’autres besoins, comme celui de la reconnaissance (de l’engagement et du dévouement pour sa famille) ou du respect de soi (de ses besoins, de ses valeurs).
Dans le seconde formulation (B) la personne n’exprime pas les sentiments qu’elle ressent. Quant à ses besoins, elle ne les nomme pas directement mais en transfert la responsabilité à l’autre, sous forme de reproches, d’évaluations à peine dissimulés (manque d’implication dans la vie familiale, absence, indisponibilité). Elle ne crée enfin aucun espace pour que la rencontre puisse se faire, puisque qu’elle ne fait aucune proposition ouverte. Cette formulation risque d’inciter l’autre à entrer en réaction, plus qu’elle ne l’invite à chercher une voie de conciliation dans laquelle il pourra exposer son point de vue, exprimer ses propres besoins, en vue de trouver une solution. Se sentant attaqué il pourra nier, fuir, riposter avec violence, s’enfermer dans un mutisme, adresser à son tour des reproches, des critiques, des accusations.
La formulation de notre demande est sans doute le point le plus délicat dans l’art d’apprendre à communiquer de façon bienveillante, positive et ouverte. Car cela suppose de dépasser un certain nombre de peurs liées au fait d’oser se dire ; peur de la réaction de l’autre, peur de ne pas être entendu, compris, accueilli dans notre besoin, peur d’être jugé, d’être rejeté, peur de nos propres réactions, peur de perdre l’autre, peur d’affronter notre part de responsabilité.
La voie la plus efficace que j’ai pu expérimenter à ce jour pour dépasser mes peurs, et oser m’affirmer dans ce que je suis, c’est de toujours identifier l’objectif ou l’intention qui m’anime dans quoique je fasse ou décide.
Si au moment de formuler notre demande nous sommes animés de la volonté de changer l’autre, de le contraindre à être ce qu’il n’est pas, ou de le faire plier à nos quatre volontés, alors notre demande à toutes les chances de ne pas être entendue, car l’autre ressentira cette intention et se fermera à notre demande.
Mais si l’objectif de notre demande est au service de la qualité de la relation que nous souhaitons vivre avec l’autre, si l’intention qui nous anime vise la satisfaction de nos besoins respectifs, les nôtres et ceux de l’autre (ou des autres dans le cas d’un groupe), si dans notre intention nous avons intégré d’accueillir avec empathie, le refus éventuel de l’autre, et d’écouter de ce qui l’empêche d’accéder à notre demande, alors cet accent de sincérité sera ressenti par l’autre et accueilli comme une marque de respect et d’amour.
Face à nos peurs, il n’y a qu’une réponse la vérité du cœur et de l’amour !
Aucun de nous n’aime recevoir des ordres ou que quelqu’un lui dise ce qu’il a à faire. Aucun de nous n’aime se sentir critiqué, jugé, évalué, menacé, réprimandé, manipulé, abusé. Aucun de nous n’aime se sentir culpabilisé ou qu’on lui fasse porter une responsabilité qui ne lui incombe pas. Rien que pour ces quelques raisons, nous avons à prendre soin de la qualité de notre communication, dans quelle que forme de relation que ce soit, à commencer peut-être dans notre relation à nous-même. Car l’empathie commence par le fait d’apprendre à s’aimer soi et à se respecter dans notre diversité, dans nos contradictions, dans notre lumière autant que dans nos ombres, sans nous juger, sans nous critiquer, sans chercher de responsabilité extérieure, mais en nous donnant les moyens et pour seul objectif, celui de d’être la plus belle version de nous-même.
Danièle Péralez – Accompagnante en développement personnel
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Prenez une pause bien-être avec le Shiatsu
Le Shiatsu, qui nous vient directement du Japon, est un soin manuel énergétique sur l’ensemble du corps, qui prend la forme d’un massage.
Son principe d’action est sensiblement le même que l’acupuncture : rétablir la libre circulation de l’énergie vitale dans l’organisme grâce à des pressions sur le trajet des méridiens.
Ce mot japonais possède d’ailleurs une étymologie parlante - Shi : doigts / Atsu : pression - une pratique qui permet de traiter par la pression des doigts.
Les bienfaits :
Le shiatsu ouvre la voie du bien-être. Il traite l’humain dans sa globalité et est tant efficace pour le corps que pour l’esprit.
Après une séance, votre énergie vitale, jusqu’ici bloquée, est libérée et peut enfin circuler librement. Les bienfaits sont immédiats et augmentent au fil des séances.
Les séances :
Une séance de Shiatsu dure environ une heure et coûte en moyenne 60 euros. Le praticien commence généralement par un bilan de vos déséquilibres et de votre état général, afin de vous traiter de la façon la plus adaptée. La séance se pratique habillée, en tenue confortable et légère, de préférence en coton.
Il est fréquent d’associer au Shiatsu des soins quantiques, qui sont des soins énergétiques en profondeur, ainsi que des massages aux huiles essentielles, afin de traiter une zone en particulier par exemple. Ces pratiques complètent et renforcent les bienfaits du Shiatsu.
Zoom sur le Shiatsu en entreprise :
De plus en plus de chefs d’entreprises sollicitent des praticiens. En effet, le constat a été fait que plus de 75% des visites médicales sont liées au stress. C’est d’ailleurs la première cause d’arrêts maladie. Le Shiatsu sur chaise se développe donc, spécialement conçu pour l’entreprise. Sous forme d’un massage de 15 minutes rapide et efficace qui relâche simultanément la personne, il permettrait d’accroître productivité et compétitivité !
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Sommeil agité ? 5 huiles essentielles pour bien dormir
Les changements de saison, le stress, la lune… Nombreuses sont les raisons qui nous empêchent de dormir ! Ces huiles essentielles, connues pour leurs nombreuses vertus, peuvent améliorer la qualité de votre sommeil :
Attention : L’utilisation de ces huiles est déconseillée aux femmes enceintes. Source : http://www.passeportsante.net
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Le double emploi est autorisé !
Ce n’est pas parce que les politiques ont décidé de s’interdire le cumul des mandats que nous ne pouvons pas améliorer notre vie en ayant deux emplois différents.
Comme beaucoup de professionnels de la relation d’aide, j’ai cumulé deux emplois durant plusieurs années avant de me lancer sur un seul métier. Durant tout ce temps j’ai amélioré mes revenus de 500€ à 1200€ mensuels en recevant 3 à 4 clients par semaine, le soir et le weekend, et en organisant des ateliers de temps à autre.
Cela me faisait vraiment du bien d’avoir, à côté de mon emploi alimentaire, une autre activité « passion ». Beaucoup d’entre-nous peuvent le faire. Que vous soyez dans le privé ou le public, le statut simple d’auto-entrepreneur vous est souvent autorisé et est enfantin à créer. Aucune charge est à prévoir et vous être totalement libre.
Alors si vous rêvez de faire un métier pour aider les autres, lancez-vous !
Suivez mes formations de Coach de vie, Hypnose et Sophrologue qui sont adaptées aux gens qui travaillent. Individuelles, elles sont possibles à distance par skype ou à mon cabinet.
Je serais continuellement à vos côtés pour vous accompagner.
N'attendez pas que les choses changent comme par magie. Devenez acteur de votre évolution!
Germain Roncari, accompagnement, formations en coaching, hypnose et sophrologie à Montpellier
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Dépasser ses appréhensions
Parler une langue étrangère est souvent source de blocages. Les mauvais souvenirs d'étudiants sont lointains mais les complexes perdurent. Et pourtant, le besoin de parler en anglais ou de comprendre cette langue se font sentir lors d'un voyage à l'étranger ou pour des besoins professionnels, tout simplement.
Mais parler une langue étrangère, c'est avant tout devenir quelqu'un d'autre. Voilà la principale raison. Et ce n'est pas anodin.
Pourquoi ?
Le cerveau est conditionné par la langue maternelle. Lorsque nous parlons dans une autre langue, les erreurs que nous commettons proviennent de ce formatage. Plus nous apprenons jeunes, plus il est facile d'habituer le cerveau à des stimulations linguistiques pérennes. Les adultes n'aiment pas faire des erreurs. Elles sont souvent assimilées - à tord- à de la négligence, à un manque de concentration ou à des difficultés de mémorisation.
Retrouver le plaisir d'apprendre
Pour retrouver ce plaisir, il est nécessaire d'accepter un apprentissage différent basé principalement sur l'identification et la compréhension de ses erreurs.
Je peux vous y aider. Je constate trop souvent des méthodes qui proposent un travail sur des simulations de dialogues ou de situations de langage. Mais lorsque les personnes vivent une vraie situation d'échanges linguistiques, elles sont souvent démunies car elles n'entendent pas le dialogue appris en cours.
Commençons par le b-a ba et étudions les mécanismes de l'anglais. Fascinée par les langues, j'aime partager ma passion et mon amour du français et de l'anglais. Je propose donc d'oser se lancer, sans jugement.
Régularité et interactions, mes deux atouts
Les cours collectifs que je propose dès la rentrée de septembre 2017 ne dépasseront pas 5 étudiants. Mon souhait est que chacun se sente à son aise pour oser. J'aime être disponible et je tiens à consacrer suffisamment de temps pour chaque personne.
Le niveau sera débutant/intermédiaire de façon à impulser une réelle progression et davantage d'aisance. Ce petit groupe se réunira tous les mercredis en période scolaire, de 18h à 19h, du 13 septembre 2017 au 6 juin 2018, soit 30 séances.
Ready ?!!!
Professeur d’anglais en bretagne avec Maryline Burdin, Atout Langues
Professeur d’anglais en bretagne avec Maryline Burdin, Atout Langues
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Réflexologie plantaire : Les pieds, représentations miniatures du corps
La réflexologie est une pratique qui considère qu’il est possible d’agir sur les différents organes et de rééquilibrer le flux d’énergie qui traverse le corps, en stimulant des zones clefs.
Origines
Loin de la médecine occidentale traditionnelle, la réflexologie se base sur l’énergie du corps et son pouvoir d’auto-guérison. Les pieds, souvent négligés dans notre culture, y sont considérés comme une partie du corps qui sauvegarde la santé.
D’ailleurs, ce traitement par pression sur des points réflexes au niveau des pieds, est connu en Chine et en Inde depuis plus de 5000 ans. En effet, 2500 ans avant J-C., les médecins chinois avaient découvert qu’une énergie circulait dans le corps de façon permanente, en passant par des trajets précis appelés méridiens. Une découverte qui a permise l’identification des points sensibles du corps, et leurs pouvoirs d’apaiser les tensions et de rétablir l’équilibre énergétique dans le corps.
Aujourd’hui, cette technique est devenue une médecine douce très utilisée. Le réflexologue travaille ces zones de réflexes avec ses pouces et ses doigts, en agissant ainsi sur les organes par ces massages des pieds, sur lesquels il est dit que la totalité du corps humain est représenté. Pour cette technique, le corps est divisé en 10 zones longitudinales (les organes du côté gauche du corps sont représentés sur le pied gauche, et réciproquement).
Quels bienfaits ?
Bienfaits physiques
Les bienfaits de ce massage de la voûte plantaire sont nombreux : il dynamise l'organisme, harmonise les fonctions vitales, libère le stress et les tensions nerveuses, soulage les tensions du dos et autres douleurs, améliore la circulation sanguine ou encore, décontracte les muscles.
Bienfaits psychiques
Le bien-être apporté par la réflexologie plantaire est également psychique : elle amène une sensation de détente grâce à ses effets de décontraction mentale et d'évacuation des émotions négatives. De plus, le traitement comporte des propriétés préventives, grâce à son action de régularisation de l’organisme avant l’apparition de signes pathologiques. Il est notamment très efficace pour se préparer aux changements de saisons.
Contre-indications
Cette pratique est cependant contre-indiquée en cas de présence d’une inflammation ou d’un traumatisme des pieds, de problèmes cardiaques récents ou encore en cas de début de grossesse.
Au fil des séances, les toxines sont éliminées grâce au regain d’énergie sanguin et énergétique. Bien-être et vitalité sont alors rapidement au rendez-vous. Selon l’ancienneté de vos troubles et de leurs causes, les effets peuvent se faire ressentir rapidement. Les douleurs disparaissent progressivement, et dans tous les cas, vous sortirez de votre séance apaisé !
Source : http://sante-medecine.journaldesfemmes.com
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Tour du monde du bonheur, interview "C'est quoi le bonheur pour vous?" réalisée par Julien Peron directeur de l'agence de communication Neo-bienêtre. Après des études paramédicales puis une spécialisation en psycho-pédagogie de l'enfant, Florence Binay découvre la sophrologie à laquelle elle se formera durant sept ans dans deux écoles caycédiennes différentes puis dans la branche de la sophrologie dynamique.
Elle est aujourd'hui spécialisée dans le conseil en techniques de bien-être, relaxation, sophrologie, méditation de pleine conscience, gestion du stress, coaching, et mouvements oculaires.
Elle forme de futurs sophrologues et intervient auprès de centres de formation adultes aux métiers de la petite enfance.
Par ailleurs, elle a créé en 2001 l'Espace Détente et Sophrologie, qui propose des accompagnements personnalisés aux particuliers, entreprises ou associations.
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Il y a du changement dans le monde médical ! En 2017, la méditation sera, pour la première fois en France, enseignée en Faculté de Médecine.
Santé et méditation : une combinaison efficace enfin reconnue
“ Méditation et sciences cognitives sont deux disciplines qui peuvent apporter beaucoup l’une à l’autre ”
Les dernières recherches en neurosciences et sciences cognitives, les différents rapprochements entre adeptes de la méditation et chercheurs scientifiques, avaient déjà démontré depuis plusieurs années que la méditation était efficace pour notre santé ! Elle nous permet, entre autres, de réguler nos émotions, d’améliorer notre attention, de réduire notre stress, et est autant bénéfique pour notre corps que pour notre esprit.
Il était donc tout à fait logique qu’elle soit enseignée en faculté de médecine ! En France, c’est cela à l’Université de Strasbourg que cela se passe. Déjà en 2010, celle-ci intégrait la méditation en tant qu’option. Sept ans plus tard, motivée par des résultats convaincants et positifs, l’Université de Strasbourg a mis en place un diplôme universitaire intitulé « Médecine, Méditation et Neurosciences ».
Cette initiative a été lancée par John Kabat-Zinn, un docteur en biologie moléculaire et le fondateur de la clinique de réduction du stress. Pour ce médecin, le stress est le grand mal de notre société, la source de tous nos maux. Pour le combattre ou du moins le prévenir, rien de mieux que la méditation, autant pour les patients que les médecins !
Une aide pour les patients et pour les soignants
Les médecins peuvent utiliser la méditation avec tous leurs patients améliorer les traitements. Cette pratique permet notamment un accompagnement dans les traitements longs, et peut aider à les rendre plus tolérables. En oncologie, par exemple, le Docteur Jean-Gérard Bloch, intervenant dans cette formation, l'assure : pour traiter un cancer du sein, la méditation apporte des améliorations très nettes. La méditation permet ainsi de modifier son rapport à la maladie.
De plus, c’est un véritable outil qui peut rendre de grands services aux futurs praticiens ! Les étudiants apprennent à combattre leur stress et à développer plus d’empathie et de qualité de présence et d’écoute avec leurs patients.
Concernant le D.U. "médecine, méditation et neurosciences", l'Université strasbourgeoise est pionnière en France. La formation dure 145 heures, sur deux mois et coûte près de 2.000 euros.
Bien que les études étaient déjà très claires sur les effets positifs de la méditation sur la santé, cela renforce la légitimité de cette pratique dans un pays où les idées reçues sont encore bien ancrées. C’est une très bonne nouvelle pour le bien-être de tous
Source : https://zentonik.fr
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Bibliothérapie : Des livres pour soigner les maux
“ Vous prendrez 10 pages matin, midi et soir ! ”
Pratique souvent méconnue en France, la bibliothérapie existe depuis plus d’un siècle outre-Manche. Que ce soit dans la médecine ou dans la psychologie, de nombreux spécialistes adoptent cette pratique qui consiste à prescrire des livres plutôt que des médicaments !
Mieux se connaître grâce aux mots des autres
Karine Brutin, docteure en Lettres est l’auteure de l’Alchimie thérapeutique de la lecture, des larmes au lire. Cet ouvrage paru en 2000 est le fruit de ses expériences dans des institutions alliant soins et études auprès d’étudiants en souffrance. Elle y explique pourquoi la littérature peut soulager les maux :
“ La littérature est thérapeutique parce que les représentations offertes réveillent ce qui en nous est endormi ou ignoré, ressuscitent des morceaux d’histoire, des fragments de souvenirs, des effluves de sensations oubliées quand elle ne vient pas mettre en mots notre expérience immédiate. Le thérapeute magique qui guide cet accès mystérieux à nous-même est l’écrivain.”
Apprendre à tourner la page
Vous l’aurez compris, vous n’avez pas forcément besoin d’une ordonnance pour faire de la bibliothérapie. En se promenant dans une librairie ou dans une bibliothèque, le lecteur peut trouver lui-même le livre qui lui fera du bien. Cependant des conseils avisés peuvent toujours être utiles parmis le choix impressionant d’ouvrages dont nous disposons aujourd’hui, et de plus en plus de professionnels se forment à cette pratique, notamment à travers la bibliothérapie créative. Ce courant initié par l’auteure Régine Detambel, auteure de Les livres prennent soin de nous, pour une bibliothérapie créative, propose notamment des séances de lecture collective à haute voix, suivies d’ateliers créatifs autour du récit de soi.
Trois types d’ouvrages sont utilisés en bibliothérapie
Et c’est d’ailleurs exactement sur ce phénomène que se penchent les adeptes de la bibliothérapie : se mettre à la place de l’autre pour stimuler l’empathie, la compassion, l’altruisme ou à l’inverse le rejet, la colère, le dégoût… Susciter des émotions et montrer au lecteur-patient qu’il n’est pas seul à éprouver ce sentiment ou à avoir vécu cette situation, et que des solutions existent !
Source : http://www.slate.fr
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L’Énergie du Bien-être… Se sentir parfaitement bien dans son corps et dans sa tête !
C’est le challenge que nous essayons de relever chaque matin, sans toujours y parvenir…
Et si les mystérieux « soins énergétiques » pouvaient nous y aider ?
Les médecines douces ou alternatives sont de plus en plus prisées. Ce n’est pas un hasard… Notre corps et notre esprit aspirent à autre chose dans cette vie trop bien formatée !
Le Magnétisme et la Sophrologie ont acquis leur notoriété, mais il existe d’autres techniques énergétiques, à l’instar du Reiki, de la Sonothérapie, la Kinésiologie, les Fractals Haddad ou les Soins reconnectifs, qui peuvent être d’un grand secours sur la douleur, le stress, la fatigue, l’anxiété, mais aussi pour libérer des blocages physiques et émotionnels et toutes sortes de peurs récurrentes. Ou encore, pour renforcer et stimuler le système immunitaire en accompagnement, par exemple, des séances de radiothérapie ou de chimiothérapie, permettant ainsi à l’organisme de réamorcer un processus d’auto-guérison défaillant.
Nicole Drevet est une spécialiste de ces techniques de développement personnel et soins énergétiques qui agissent sur tous les plans physique, émotionnel, mental, spirituel… et qui sont parfaitement complémentaires à la médecine traditionnelle. Elle nous propose de nous accompagner à « aller mieux » afin de retrouver bien-être, vitalité et santé, détente, harmonie, sérénité et confiance…
Accordez-vous une « Pause Détente » avec la Sophrologie !
Gérer le Stress et les Émotions, Évacuer les tensions inutiles, Gagner en confiance, concentration, Retrouver une dynamique énergétique et une harmonie corps/esprit, un apaisement physique et psychique pour ainsi améliorer ses performances au travail et dans son quotidien…
Méthode de Bien-être et de Relaxation basée sur la respiration, la détente musculaire, des exercices corporels doux et la visualisation positive. La pratique de la Sophrologie va permettre de renforcer nos propres capacités et ressources personnelles, et développer l’équilibre et l’harmonie entre nos émotions, nos pensées, nos comportements…
Sonothérapie et Soins Énergétiques alternatifs
L'art de soulager grâce aux bienfaits des Bols « chantants » par leurs Sons et Vibrations thérapeutiques… ou par imposition des Mains avec la pratique du Magnétisme curatif et du Reiki… La Sonothérapie, ou Toucher par les Sons®, est basée sur la bio-résonance corporelle du son et sur son ressenti vibratoire. C’est par analogie vibratoire que les Bols « chantants» entrent en résonance avec notre corps et vont permettre d’activer, rééquilibrer et harmoniser nos systèmes musculaire, respiratoire, énergétique, endocrinien, lymphatique, digestif… Atténuer les troubles liés au système nerveux, et Renforcer notre système immunitaire efficacement…
Cultivez votre « Bien-être » avec la Magie des Sons et des Vibrations grâce à la Sonothérapie !
Les Diapasons thérapeutiques de fréquences HZ et les Bols tibétains ou Cristal de Quartz vont intensifier la bio-résonance corporelle du son par son ressenti vibratoire, et ainsi pouvoir stimuler notre structure osseuse, nos plexus neuro-glandulaires (appelés chakras), et tous nos organes, muscles, tendons, nerfs, mais aussi les cellules, molécules et atomes qui nous constituent. Le son est comme un ricochet, il augmente ou affaiblit l’état énergétique, modifiant cette vibration.
Les bienfaits et propriétés curatives sont nombreux... Soulager les douleurs diverses, tensions musculaires/articulaires, états de stress/anxiété, burn-out, fatigue, insomnies, migraines, blocages émotionnels. Retrouver son équilibre, ou simplement le besoin de faire une « pause détente » et vous ressourcer ! Par cette vision holistique de la santé, et la pratique de ces techniques thérapeutiques qui considèrent chaque personne dans sa globalité, Nicole Drevet vous propose une complète et réelle Harmonisation Énergétique, qui va permettre à l’organisme de retrouver un bon équilibre, et maintenir une santé parfaite!
De quoi se sentir bien au quotidien et favoriser un état d’harmonie permanent familial et social... et de bien-être physique, mental et émotionnel tout naturellement !
Comptez 55€ la séance individuelle d’une heure.
Prise en charge possible par votre Mutuelle.
Ces méthodes ne se substituent en aucun cas à la Médecine traditionnelle, elles restent complémentaires.
Sur rendez-vous 06 20 79 72 87
Cabinet paramédical au 17 rue Pierre et Marie Curie 69680 Chassieu (Bus 28 + 68 - Arrêt Les Grandes Terres - route de Genas)
Cabinet secondaire au 46 rue Gambetta 69330 Meyzieu (Bus 85 - Arrêt Gambetta/Picasso ou Tram T3 à 15mn)
Nicole Drevet
Sonothérapeute - Master Spécialiste en Sophrologie Caycédienne
Praticienne en Thérapies Énergétiques (Magnétisme curatif, Reiki, Kinésiologie, Praticienne en soins reconnectifs (Reconnective Healing) et La Reconnexion, Fractals Haddad)
Siret 819 562 679 00012 – Code NAF/NACE 8690F
https://www.neobienetre.fr/annuaire-therapeutes-bien-etre/nicole-drevet-sophrologue-et-sonotherapeute-a-chassieu-et-meyzieu/ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER
Pleine Lune : Entre mythes et réalités…
Même si l’on sait aujourd’hui que les loups-garous ne se mettront pas à hurler les soirs de pleine lune, elle a de réels effets sur la nature, et très certainement sur l’homme et ses rythmes biologiques.
Insomnies, accouchements, enfants excités, menstruations… La pleine lune rythme inévitablement nos vies. Ce phénomène a été de nombreuses fois constaté, notamment par le corps médical, qui même s’il ne trouve pas de vraies explications, est forcé de constater les effets de l’astre nocturne sur les hommes.
Une vrai repère…
Depuis la nuit des temps, et dans toutes les cultures et religions, les astres instaurent un rythme. La lune est associé à un mouvement dans l’univers, une promesse de vie.
A l’époque où l’électricité n’existait pas, ni les 35 heures, ni les rythmes artificiels créés par le monde moderne, le quotidien des hommes était rythmé par les différentes étapes de la lune ! L’agriculture notamment, respectait rigoureusement un calendrier lunaire, pour les semailles et pour les récoltes. Nous connaissions l’heure grâce au soleil, et le jour de la semaine grâce à la lune.
Entre légendes…
Si l’on s’en tient aux diverses études scientifiques, il est tout à fait impossible de prouver les effets de la pleine lune. Les statistiques tendent à démontrer que toutes les légendes ne sont nées que de la superstition.
Alors comment expliquer les nombreux témoignages de professionnels, qui expliquent par exemple que les maternités sont débordées les nuits de pleine lune et que les policiers sortent plus souvent en intervention ?
L’hypothèse de la « mémoire sélective » a ici était avancée : nous pourrions avoir tendance à mieux mémoriser les événements particuliers survenant un soir de pleine lune, en associant la cause à l’effet.
Et une réalité indéniable…
Que nous y croyons ou pas, des modifications se produisent tout de même les soirs de pleine lune, comme des « insomnies générales », des enfants agités…De plus, les impacts sur les marées, la barrière de corail, les animaux…sont eux bien réels.
Une étude réalisée par des zoologues explique : « Donc ces animaux sont clairement influencés par les cycles lunaires au point d’intégrer ces aspects dans leur patrimoine génétique et de les reproduire même lorsque les conditions, comme celles du laboratoire, ont radicalement changé ».
Alors pour éviter de défendre un ésotérisme absolu ou un scientifisme obtus, nous pouvons, à partir de cette étude, imaginer que l’être humain possède lui aussi la mémoire ancestrale d’une ère où toute sa vie était conditionnée par le cycle lunaire. La pleine lune réveillerait alors chaque mois les souvenirs enfouis dans ses gènes d’un temps où l’homme devenait soit prédateur (violence et agressions) ou proie (insomnie et angoisse).
Mythes et légendes trouvent tous racine dans des vérités, dont le sens peut nous échapper, tant ésotériquement que scientifiquement. Ces croyances appartiennent à chacun, et si vous sentez des modifications chez vous en rapport avec le calendrier lunaire, renseignez-vous plus précisément pour vous caler sur son rythme !
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Il nous arrive de traverser des moments chargés d’émotions que l’on préférerait ne pas ressentir…la peur, la colère, la tristesse, le dégoût…parce que les sensations qu’elles provoquent dans notre corps ne sont pas très agréables, voire insupportables sur le long terme. Nous souhaiterions uniquement ressentir la douce sensation de la joie dans notre corps mais la vie nous réserve souvent des surprises et nous devons nous y adapter.
Chaque émotion s’accompagne de réactions physiologiques conscientes et inconscientes. Lorsque nous sommes en colère par exemple, nous pouvons ressentir le bouillonnent de notre corps, notre rythme cardiaque s’accélère, notre ventre se noue et notre esprit se brouille… nous ressentons une envie incompressible de nous jeter sur l’objet de notre colère ou bien nous nous renfermons et nous ruminons notre rancœur.
Le même processus se met en place pour la tristesse. Si nous sommes affectés par un être cher ou par une situation qu’il nous est impossible de changer, nous ressentons notre cœur se serrer, une angoisse sournoise teintée de désespoir s’installe. Notre ventre est en vrac, nous n’avons plus faim ou au contraire nous nous jetons sur la boite de chocolat pour compenser ce vide.
Bien entendu toutes ces émotions font partie de la vie et même de notre survie car elles nous aident souvent à prendre la bonne décision face à un danger ou à changer quelque chose dans notre environnement pour une plus grande qualité de vie.
Les réactions décrites plus haut ne sont que la face visible de l’iceberg car à l’intérieur de notre corps les réactions d’adaptation foisonnent, il s’agit de réponses de stress, le corps se serre, le cœur s’accélère et les hormones de stress s’en donnent à cœur joie. Il est tout à fait normal que notre corps réagisse aux situations que nous rencontrons, en revanche rester dans cet état de tension permanent est épuisant pour notre corps, notre mental et dangereux pour notre santé. Savez-vous que la plupart des personnes passent 70% du temps en état de stress !
Alors, si nos émotions sont responsables de nos réactions physiologiques chroniques et que celles-ci peuvent altérer notre santé sur le long terme, alors la meilleure des préventions santé/sérénité est d’apprendre à gérer nos émotions… « Elémentaire mon cher Watson » !
Mais la pensée positive ne suffit pas pour cela, il faut changer notre état émotionnel, notre énergie vibratoire. Il faut se mettre en cohérence comme le démontre les résultats de nombreuses études en Neuroscience. Toutes les techniques qui vont permettre de modifier notre état émotionnel sont bénéfiques pour notre bien-être et notre santé ; la cohérence cardiaque, la sophrologie, la méditation…Toutes ces techniques vont faire baisser le taux de cortisol en favorisant la production de DHEA (hormone de réparation tissulaire) et vont renforcer nos défenses immunitaires.
Mais voilà… qui pratique au quotidien toutes ces techniques naturelles pour être bien et développer ses capacités d’adaptation avec force et sérénité ? Les raisons souvent évoquées pour ne pas prendre soin de soi sont les emplois du temps trop chargés, l’envahissement des nouvelles technologies, les réseaux sociaux, la vie familiale….
Je vais donc vous parler aujourd’hui d’une technique facile et rapide à mettre en œuvre (plus d’excuse pour ne pas pratiquer, ce n’est pas plus long que le brossage de dents…). Je veux parler de l’EFT (Emotional Freedom Techniques) qui est une technique de libération émotionnelle, un outil universel pour la guérison selon Gary Craig son fondateur.
L’hypothèse de Gary Craig : « La cause de toute émotion négative provient d’un blocage dans le système énergétique du corps ». Les pensées négatives créent une interférence dans notre système énergétique (similaire à ce que produit l’électricité statique dans une TV, une cellule ou la réception d’un signal WiFi), ce qui entraine une réponse physique ou émotionnelle.
La correction de ces déséquilibres, en tapotant sur certains points sur le corps, apporte un apaisement très rapide. Il est spectaculaire de constater que la plupart des problèmes disparaissent en quelques minutes !!! Oui en quelques minutes ! Tout le travail consiste à bien identifier la cible à traiter et ensuite déconditionner une à une les émotions reliées aux événements de notre vie, j’en reparlerai.
De nombreuses études publiées dans des revues scientifiques de haut niveau comme l’APA (ass psychologues américains), ont démontré l’efficacité de l’EFT. L’une d’elles en 2016 traite de l’EFT sur le stress et l’anxiété des infirmières*.
L’EFT fait partie de la psychologie énergétique, une famille de méthode :
Il existe environ 30 méthodes de psychologie énergétique (Chiatsu, TAT, Remap…), l’EFT est la plus connue et répandue, environ 10 millions de personnes pratiquent régulièrement l’EFT dans le monde. La psychologie énergétique ne date pas d’hier, on retrouve beaucoup de travaux sur la physique quantique et l’énergétique dans les travaux de Yung et Freud pour expliquer leurs théories.
La Psychologie énergétique conjugue des interventions cognitives (par exemple une exposition imaginaire à un souvenir traumatique ou la visualisation d’une performance) avec des interventions pour rééquilibrer les composantes de la matrice vibratoire humaine (méridiens, chakras, biochamp), en vue d’obtenir rapidement des résultats positifs et optimaux d’ordre psychothérapeutique, comme par exemple supprimer des émotions négatives associées à des pensées ou bien atteindre un objectif de performance professionnelle ou sportive.
A la différence d’autres approches de soins, avec l’EFT, le patient/client finit par être son propre thérapeute. Le praticien lui fait partager une technique afin qu’il la maîtrise et puisse s’auto-traiter – sauf dans des cas complexes bien sûr. C’est comme une course de relais !
A qui s’adresse l’EFT ? à toutes les personnes qui rencontrent les problèmes comme :
Pour aller plus loin, je vous propose :
- de tester une séance EFT par Skype – contact laurence.bonhomme@anxietestress.fr pour rendez-vous.
A votre équilibre,
Laurence Bonhomme Thérapie Cognitive Comportementale dans le Rhône
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