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« Primum non nocere » « D'abord ne pas nuire » Hippocrate
L'aphonie a différentes causes.
Elle peut venir d'une hygiène de vie approximative ( voir l'article précédent). Les raisons de l'aphonie peuvent venir aussi d'autres facteurs. En cas de fatigue, elle peut s'expliquer plus en profondeur, par un problème hormonal. Si l'on tire trop sur la thyroïde, la glande essentielle qui porte sur les activités générales de l'individu, cela peut avoir des conséquences néfastes sur les cordes vocales.
Par ailleurs, les cordes vocales peuvent être fragilisées par la pollution sonore ou de l'air. Si la personne côtoie souvent des lieux publics, au début, s'il n'y a pas encore beaucoup de monde, elle parle à son interlocuteur avec une voix peu puissante. Au fur et à mesure que ce lieu se remplit, elle est amenée à parler plus fort du fait du bruit ambiant. De ce fait, elle force sur sa voix qui se fatigue. Pour que l'interlocuteur l'entende, il faut que sa voix soit 5db au-dessus du bruit parasite. Cela peut être très néfaste pour les cordes vocales.
S'il y a un changement de température brusque, cela sera néfaste à la santé du corps et des cordes vocales.
L'état de santé de l'homme est tributaire du climat. En plein été, s'il fait chaud dehors et qu'à l'intérieur, l'endroit est climatisé, la voix va s'altérer. L'équilibre de l'humidification des cordes vocales n'aura pas eu le temps de s'adapter. S'il fait froid et que l'on marche dans la rue en parlant, l'exposition des cordes vocales aux rigueurs du climat assèche les voies respiratoires.
Dans les lieux publics, salles de cinéma, salles de concerts, salles de conférences, dans les trains, dans les classes ou dans les bureaux, un équilibre de la température et de l'hygrométrie et une climatisation adéquate sont des paramètres qui protègent au mieux la stabilité vocale. Mais trop souvent la climatisation est trop forte. La ventilation remue les poussières des cinémas ou autres lieux et l'allergène provoque un nez qui coule. Un œdème des fosses nasales s'installe et le nez est obstrué !
Cette allergie aura deux conséquences. La première, c'est une gêne respiratoire et donc une gêne d'humidification des cordes vocales avec des sécrétions de glaires, des mouchages et des raclements. La seconde, plus sournoise, est un déséquilibre de la muqueuse nasale et pharyngée qui reste gonflée. C'est la rhinite allergique qui peut créer une congestion vasculaire.
Cet ensemble de facteurs fragilise le corps et peut amener le début des maladies comme des rhino-pharyngite ou des laryngites.
En attendant la suite de cet article, je vous annonce que je fais un concert de soins pour fêter le Printemps à Nantes, à l'Atelier du Coteau le 20 mars et deux jours de stage le 2 & 3 avril en Ardèche, à La Fée Nadou suivi d'un concert de soin les deux jours ! Pour plus de renseignements, n'hésitez pas à me contacter !
Le 20 mars se sera l'équinoxe 🙂 Un équinoxe est un instant de l'année où le Soleil traverse le plan équatorial terrestre ; il change d'hémisphère céleste. Ce jour-là, le Soleil passe alors exactement au zénith sur l'équateur terrestre. De belle énergies en perspectives 🙂 Cette journée d'Équinoxe est assimilable au jour de l'an au regard de l'astrologie, et nous donne ainsi de grandes possibilités pour faire naitre de nouveaux projets, sans attendre dans leur mise en œuvre. Merci la vie, merci les synchronicités, tout sera fluide. Le destin nous tend des perches porteuses de succès. Pas de secret, pour cela il est nécessaire d'être dans l'action. Il n'est pas pensable d'espérer avoir des résultats si nous ne sommes pas dans le mouvement.
3 jours après se sera la pleine lune qui agira comme un véritable catalyseur d'idée. Tout ira vite, très vite. C'est d'ailleurs le cas ces dernières années. Alors prenez soin de vous, prenez du temps pour vous (corps et esprit) afin de surfer sur la vague. Il est temps de mettre à bien les projets et idées qui vous tiennent à coeur. Pourquoi attendre? Le temps passe tellement vite :).
Voir l’article : Comment réaliser mes rêves, par Julien Peron?
Nous l’avons vu lors d’un précédent article, le champ vibratoire de notre terre s’accélère, opérant sur nous de puissantes charges.
Aussi il convient de :
-se reposer régulièrement
-prendre soin de soi
-être attentif et écouter son corps
-se relaxer et/ou méditer
-se masser régulièrement
-se rapprocher souvent de la nature (forêt, mer, lac, étang, montagne etc.)
-se responsabiliser quand à son alimentation
-faire du sport
Ce n’est que le début, tout va de plus en plus vite, alors prenez soin de vous !
N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions.
Julien PERON – Fondateur et directeur des sociétés Neo-bienêtre et Neorizons
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Une chose est sûre : il est plus facile d’atteindre un résultat en y croyant très fort plutôt que l’inverse. Les grands sportifs nous le démontrent comme les artistes : ils savent démontrer un acte de foi et prendre des risques pour atteindre leur objectif comme si aucune autre alternative n’était envisageable.
Cet acte de foi est une des clé de la réussite. Plus facile à dire qu’à faire je vous l’accorde !
Alors voici 5 autres façons de changer le cours des choses pour mieux réussir votre vie.
1. Identifiez le vrai problème
Certaines personnes changent de conjoint, d’associé, de travail, de lieu… pensant que ce sera mieux après ! Mais au fond quel est leur vrai problème ? Est-ce vraiment leur conjoint, leur emploi ou leur lieu de vie ?
Pour reprogrammer votre succès, vous devez identifier la véritable source de votre problème et y remédier en toute cohérence.
2. Faites le contraire des autres
La plupart des gens font la même chose que les autres. Imiter fait partie des compétences de l’être humain : l’enfant apprend à parler, à jouer, à rire... par imitation de ses proches ! Rien de mal à imiter les autres si toute fois vous choisissez délibérément qui imiter selon qui vous voulez devenir et ce que vous voulez réaliser dans votre vie.
Une autre clé du succès est de s’entourer de personnes qui représentent ce que vous voulez. Mais la plupart du temps, les gens font tout comme les autres sans prendre le recul nécessaire de savoir si c’est constructif pour eux. A compter d’aujourd’hui, ne suivez plus les mauvaises nouvelles que les médias diffusent en masse, changez vos habitudes et appliquez les idées qui vous viennent à l’esprit.
3. Demandez de l’aide à ceux qui réussissent vraiment
Savez-vous comment je choisis mes mentors ? En fonction de qui ils sont et de la vie qu’ils mènent. Si cela correspond à ce que je souhaite alors je me rapproche d’eux. Même histoire quand j’ai besoin d’un conseil financier ou immobilier : je choisis mon interlocuteur en fonction de ce qu’il a réussi dans ce domaine. Inutile d’aller voir votre beau-père qui n’a pas un sous sur son compte pour demander un conseil financier… Cela parait évident, mais je suis sûre que vous avez déjà osé !!! Agissez en cohérence même dans le choix de vos conseillers.
4. Prenez soin de vous
Pour réussir, vous devez maintenir un état d’esprit d’athlète sinon la peur, le doute et toute autre excuse seront plus fortes que vous et saboteront vos projets. Pensez-vous qu’un athlète de haut niveau passe plus de temps à s’occuper des autres que de prendre soin de lui physiquement et mentalement ? Vous devriez trouver la réponse sans que je l’écrive 😃
Réussir puise beaucoup d’énergie et c’est probablement pour cette raison que le plus grand nombre de gens sur terre ne « réussissent » pas : il est parfois plus facile de rester dans sa zone de confort et de laisser le temps passer plutôt que de se donner les moyens d’y arriver.
5. Utilisez la puissance de votre inconscient
Vous avez peut-être déjà entendu parler de la méthode Coué ? Ou encore de la pensée positive ? Toutes ces techniques sont basées sur le même principe : vous devez incarner dès maintenant la réussite ! Vos pensées, vos actions, vos émotions et vos ressentis doivent être en cohérence avec ce que vous voulez réussir. Car ce sur quoi vous focalisez, s’amplifie.
Répéter des affirmations le plus souvent possible peut fortement vous aider. Par exemple, si vous voulez perdre du poids pour vous sentir plus séduisante, répétez-vous sans cesse : « je suis mince et séduisante » et vous verrez que votre corps automatiquement s’adaptera à votre état d’esprit... Si du moins vous croyez à la réalisation de votre affirmation !
Ombeline Becker, experte auprès des femmes - et quelques hommes spirituels prêts à sortir de l'ego -déterminées à cesser d'être "comme il faut" pour ne plus passer à côté de leur vie.
Dans le détachement se cache la sagesse de l'incertain. Cette sagesse nous libère des entraves crées par le passé, par le connu. Elle ouvre la porte de la prison qu'a construite notre conditionnement au passé, en acceptant d'entrer dans l'inconnu. Dans le champ de tous les possibles, nous nous abandonnons à l'esprit créatif, au chorégraphe de la danse de l'univers. - Deepack Chopra -
Il est des moments de grâce qui vous font toucher du doigt le sens de la Vie et la beauté de notre Monde.
Voici quelques jours que je ne touche plus terre ! Et pour cause, j’ai embarqué avec des amis sur le catamaran Carambole, pour un charter de 10 jours qui nous mène de Le Marin en Martinique, jusqu’à Tobago Cays, île paradisiaque des Grenadines.
Ce voyage est venu me chercher. J’avais projeté de partir en Inde du Nord en février, quand un ami m’a proposé de partager le charter qu’il avait organisé pour sa famille. Je n’avais que peu de temps pour prendre ma décision : l’Inde ou les Grenadines ?
Quelque chose en moi me disait que le voyage en Inde ne se ferait pas. J’ai choisi d’écouter et de suivre mon intuition ; ce sera Saint Vincent et les Grenadines. Quelques semaines plus tard, l’organisatrice du voyage en Inde m’informait que le voyage n’aurait pas lieu car le groupe ne s’était pas constitué !
J’ignorais tout du déroulement de ce charter car mon ami désirait garder la surprise pour les 6 passagers qui allaient partager l’aventure.
Avant de partir c’est comme si tous les voyants s’étaient mis au vert. Sur le fil du rasoir je suis parvenue à terminer l’écriture d’un programme d’accompagnement, et j’ai accueilli juste avant mon départ 2 nouvelles demandes de coaching!
Tout semblait me dire Vas-y, pars et profite l’esprit libre, de ce voyage.
Emotionnellement je me sentais à la fois sereine face à la fluidité avec laquelle les choses se mettaient en place, et excitée à l’idée de vivre une première expérience de navigation.
Je regardais mon tableau de vison et souriais devant cette photo d’un paquebot naviguant sur les eaux turquoises. Il y a longtemps que je désirais faire une croisière vers des destinations exotiques et des mers chaudes. Dans cette intention j’avais donc déposé ce désir symbolisé par cette photo, sans rien préciser de plus quant à la destination ou la date. Je savais pour autant, le paquebot-building navigant avec à son bord plus de 2000 personnes n’était pas la formule idéale dont je rêvais.
Ma demande était là posée sur un tableau que je regardais régulièrement en ressentant par anticipation les émotions de joie que ce moment m’apporterait.
Pensée + visualisation + intention + lâcher prise = une proposition de charter en catamaran en mer des caraïbes, avec 8 personnes équipage compris!
Mais le libre-arbitre nous laisse toujours la possibilité de dire oui ou de dire non. Il en tient de notre décision et de notre responsabilité ; c’est à nous de ressentir si le moment est juste pour vivre tel ou tel événement.
Je réalise une fois de plus que la subtilité du principe de résonance et de manifestation repose en grande partie, sur l’intention et le lâcher prise. Comprendre ce principe, c’est d’abord admettre que notre champ de conscience est limité par ce que nous connaissons (en référence à notre histoire, à nos croyances, à ce que nous croyons être des limites), et ce que notre cerveau peut imaginer comme possible.
Si je n’avais compris cela, je me serai sans doute contenté de croire que la seule façon de vivre l’expérience de la mer était via une formule croisière, et je n’aurai pu croire que l’Univers allait répondre à ma demande au-delà de ce que je pouvais imaginer.
Confions nos rêves et nos désirs à l’Univers et laissons-le y répondre à sa manière !
Chaque jour, chaque instant je m’émerveille et remercie le Ciel de ce qui m’est donné de voir, d’entendre, de ressentir, de vivre.
Au-delà des plaisirs des sens, ce voyage est aussi l’occasion d’une expérience totale de lâcher-prise.
Il est vrai que les circonstances le facilitent grandement: décalage horaire, dépaysement, prise en charge de l’intendance par un équipage efficace et attachant ; une belle harmonie dans le groupe que nous formons. Je n’ai aucune idée du jour, ni de la date, ni de l’heure. Je ne cherche pas à savoir quel est le programme de la journée, ou du lendemain, je me laisse totalement porter, bercer, émerveiller par la mer, le vent, le soleil, les temps de navigation, les baignades, la découverte de fonds marins.
Totalement déconnectée, sans téléphone, ni ordinateur, ni mail … tous mes sens, toute ma conscience et toute mon attention sont centrés sur ce que je vis. L’énergie de la mer est si forte qu’elle me semble prendre le dessus sur le mental ; c’est comme si ma capacité à penser, à réfléchir était en sommeil. La seule activité mentale que je conserve est la lecture ; et là encore c’est une autre invitation au voyage.
Jamais je n’avais ressenti à quel point il peut être facile et agréable de lâcher-prise. Cette expérience me fait toucher du doigt que je peux lâcher le contrôle sur mon environnement, et faire confiance en ce qui advient, tout en ressentant sérénité, joie et gratitude profondes.
Je prends conscience qu’au-delà des circonstances très favorables de ce voyage, la puissance énergétique de la mer associée à une végétation riche en essences et apaisante, jouent un rôle de facilitateur dans ce processus d’abandon que je vis.
Il y a quelques années de cela aurai-je su tirer toute l'essence de ce voyage ? Me serai-je autorisée à vivre chaque instant avec autant d’intensité et de joie ? Aurai-je su m'accorder le droit de vivre ces moments sans aucun sentiment de culpabilité ? N'aurai-je pas craint de perdre ou de louper quelque chose en n’étant pas présente devant mon ordinateur ? Aurai-je su tout simplement apprécier cette liberté et cette conscience d'Être ? La réponse est sans aucun doute, non.
Je suis assise à l’avant du bateau face à ce magnifique coucher du soleil sur la mer, et je me dis que je suis à ma place ici et maintenant ; que l’Univers a sans doute de bonnes raisons de m’avoir amenée là où je suis. Une partie de moi connaît le pourquoi, mais j’aime à penser que d’autres raisons me seront révélées le moment venu.
Entre l'identité, le caractère, la personnalité, le Moi, le Soi, l’ego il faut bien reconnaître qu'à moins de s’intéresser de près au développement personnel, il n’est pas évident d'attribuer à ces mots une signification qui parle à tous et dans laquelle chacun peut se reconnaître.
C'est en croisant ces mots un nombre incalculable de fois dans des sources différentes, que je me suis approprié chacun de ces termes. Mon propose n'est donc pas ici de couvrir tous les champs sémantiques de ces mots, mais de vous partager le cadre de référence que je leur donne, aussi bien dans mes écrits que lorsque j'accompagne une personne.
Peut-être avez-vous déjà lu ou entendu l'expression suivante les petits JE de l'ego en vous demandant quelq sont ces JE et peut-être même avez-vous été tenté de lire ou d'entendre les petits jeux de l'ego !
Lorsque nous arrivons au monde nous ne naissons pas avec le conscience du JE; celle-ci apparaît au cours de notre développement physiologique, psychique et mental. Notre JE est directement impacté par influence du modèle familial et social dans lequel nous grandissons. Dans les premières années de sa vie, l'enfant n'a pas accès à la conscience identitaire; il se développe sans savoir s'il est une fille ou un garçon, en ignorant son nom et son prénom et tout un tas d'autres choses liées à son identité; l'enfant se fiche de savoir qui il est, il Est tout simplement.
Ce niveau de conscience du JE identitaire l'enfant y accède plus tard par la parole d'abord au sein de la cellule familiale d'abord puis à l'école ensuite . Le JE identitaire est celui à travers lequel nous nous définissons selon notre sexe, nos noms et prénom(s), notre filiation, nos traits physiques, nos date et lieu de naissance.
Au fil des années nous ajoutons à ce JE un statut social; je suis étudiant, pharmacien, plombier, infirmière, sans emploi, je suis l'époux/l'épouse de ...., je suis le père/la mère de ...... . De l'identité civile on passe à l'identité sociale qui va nous confère un statut, un rang, une reconnaissance dans la société; celle-ci fait que l'on est accepté ou pas, reconnu ou pas dans certaines classes et certains réseaux.
Le JE identitaire nous positionne au niveau social.
Le second JE est le JE de l'expression mentale de notre personnalité. Ce JE se construit lui aussi depuis l'enfance et évolue au fil de notre existence. Pour parler de la personnalité que l'on associe souvent au caractère pour évoquer nos qualités et nos défauts, j'aime prendre l'image des étiquettes ou des postit que l'on colle sur le réfrigérateur pour bien fixer ce qui ne doit pas être oublié. Ainsi dès la naissance et parfois même avant, on nous colle des postit qui disent à peu près ceci: c'est un bébé agité déjà dans le ventre, ce sera sûrement un nerveux ou une nerveuse; il a le même double menton que l'oncle Henri; tout le caractère de sa grand-mère; il fait rire tout le monde en classe, on va en faire un clown; personne ne veut jouer avec elle, c'est une boudeuse; elle n'aime pas l'école, on ne sait pas ce qu'on va en faire.
Bien sûr que certaines de ces phrases ont l'air tout à fait anodines et inoffensives. Mais souvent entendues, répétées, ajoutées les unes aux autres et prononcées par des personnes qui souvent nous sont chères, ces phrases finissent par devenir des vérités pour celle ou celui qui les reçoit. Notre inconscient s'imprègne et engramme toutes ces étiquettes, et de façon consciente ou non, l'enfant va s'employer à adopter des attitudes qui correspondent aux étiquettes qu'on lui a collées.
Même si intérieurement, le jeune enfant de 7 à 9 ans sait qu'il n'est pas ce qu'on dit qu'il est, il va se fondre dans le personnage du boudeur, du joyeux, du paresseux, du volontaire, du difficile, du docile, du colérique, de l'obéissant, de intelligent, du limité ... . Il fera bien quelques tentatives pour exprimer quelle est sa vraie nature mais face à ses parents qu'il aime, respecte et craint, face à des maîtres qui ont autorité sur lui, il y renoncera vite car il ne se sentira pas écouté et encore moins compris.
On commence à voir pourquoi le JE authentique que j'appelle aussi le Moi profond, l'Être intérieur va progressivement mais de façon certaine, s'effacer, se dissimuler derrière divers masques; celui du gentil, du méchant, du courageux, du peureux, du fonceur, du craintif, du timide, du leader, du suiveur, de l'aimant, de l'insensible, de l'autoritaire, de l'indifférent, de l'orgueilleux, de l'envieux ... . Comme dans la Comedia del Arte nous habitons des personnages à travers lesquels s'expriment différentes facettes d'une personnalité que nous nous sommes fabriquée.
Pour résumer le JE ou l'Ego de personnalité ou encore le Moi, est cette personne que nous devenons au fil du temps en ré-action aux messages que nous avons perçus dans l'enfance, mais aussi en fonction de nos intentions, de nos besoins de protection, des circonstances et situations que nous vivons, et des personnes que nous fréquentons.
L'Ego de personnalité est ce que nous croyons que nous sommes mais qui n'est en fait que la partie visible de l'iceberg. Il est ce que nous nous donnons à voir de nous-mêmes, ce que nous donnons à voir aux autres, et ce que les autres nous renvoient de nous-mêmes par effet miroir.
Ce serait une erreur que de limiter notre Être à cette seule forme d'expression qu'est l' Ego de personnalité souvent perçu de façon négative, et que l'on l'assimile à l'orgueil, à la fierté, à la suffisance.
On parle de gros ego lorsque qu'une personne a tendance à exprimer haut et fort sa personnalité, lorsqu'elle manifeste une forte estime d'elle-même, ou au contraire d'un faible ego pour parler d'une personne qui montre peu de confiance et d'estime d'elle-même.
Mais qu'il y a t-il derrière les masques des personnages de l'orgueilleux, et du timide? Peut-être bien une seule et même personne qui dans l'enfance n'a pas été suffisamment vue, reconnue, valorisée, encouragée par l'un de ses parents (ou les deux), et qui a développé une réponse différente et personnelle pour masquer sa blessure.
En fonction de notre sensibilité émotionnelle nous allons mettre en place dans l'enfance des réponses pour nous protéger de ce qui nous fait mal (sentiment d'abandon, de rejet, de trahison, d'injustice, d'humiliation).
Dans l'exemple de l'orgueilleux et du timide, le premier aura besoin d'affirmer hautement ce qu'il est, il essaiera d'avoir toujours raison, il cherchera à ce qu'on le voit, qu'on l'entende, qu'on le reconnaisse, il se challengera souvent pour prouver aux autres et à lui-même sa valeur. Tandis que le timide adoptera une attitude de repli sur lui-même, il préférera se faire oublier des autres, il recherchera la sécurité avant tout, il n'aimera pas prendre de risques, ni s'exposer aux regards et à l'appréciation des autres.
Ces exemples nous invitent à la prudence lorsque de façon souvent hâtive nous avons tendance à qualifier et à juger les autres au premier abord. Ce que nous percevons d'eux n'est qu'une expression infime de qui ils sont. Cela peut ou ne pas nous convenir, mais nous pouvons toujours avoir à l'esprit qu'il ne s'agit que d'un masque que la personne porte, et laisser une porte ouverte pour en découvrir d'autres facettes.
L'Ego ou le Moi se construit et se nourrit essentiellement comme nous venons de le voir, de ce qui est extérieur à nous (étiquettes, conditionnements, croyances, peurs ...), tandis que notre Soi lui se nourrit de ce qui est logé au plus profond de nous. Il est la partie immergée de l'iceberg.
Notre Soi est cette part de notre Être qui n'a pas besoin de la connaissance pour savoir. Il est la mémoire de notre Âme, il est notre conscience.
Lorsque nous désirons avoir une réponse à question qui est importante pour nous, c'est vers notre Soi que nous devons nous tourner.
Le Soi émane de la Source originelle - du Tout, de l'Univers, de Divin, de la Création selon le mot qui convient à chacun - et reçoit d'elle de façon continue l'Energie créatrice, l'Energie universelle.
Cette énergie est présente en tout ce qui Est, quelle que soit sa forme, sa matière ou la dimension dans laquelle est se manifeste. C'est de cette même Energie qu'est constitué l'Univers; elle est l'essence même de la Vie par le pouvoir créatif qui est le sien. Sans l'existence de cette Energie, aucune forme de vie (végétale, animale, humaine) ne serait possible sur Terre.
L'Energie universelle est présente en nous que l'on en ait conscience ou pas, elle se diffuse à l'intérieur de tout notre corps physique jusque dans nos moindres cellules, mais aussi au-delà de nous à travers nos différents corps subtils, que je vais appeler l'aura pour ne pas entrer ici plus dans le détail. Entre le coeur et la glande thyroïde, vers le milieu on peut ressentir un petit creux derrière lequel se trouve le thymus; on l'appelle aussi le chakra du Coeur sacré. En portant notre conscience à ce niveau nous pouvons ressentir physiquement l'énergie de notre Soi, le souffle de Vie de notre Âme.
Comme pour tout ce que vous lisez ou entendez, ici même ou ailleurs, il ne vous est pas demandé de croire, il vous est juste offert la possibilité de faire l'expérience d'une autre perception de qui vous êtes, et de vous proposer une autre grille de lecture sur votre relation à la Vie et au Tout.
C'est pourquoi je vous invite à essayer de vous poser, de prendre un temps de silence, un temps de méditation pour ressentir en vous si ce que vous lisez vous parle ou non. Lors d'une méditation vous pouvez demander à ressentir votre Coeur sacré, à vous relier à lui et à y recevoir toute la Lumière de la Source nécessaire pour vous sentir en conscience présent à vous-même, présent à votre Soi.
Notre Soi est notre Moi authentique, notre Moi profond, il est le Je Suis, le I am.
Notre Soi ne juge pas, ne critique pas, ne condamne pas, ne compare pas, il nous aime d'un amour inconditionnel, tel que nous sommes, et nous guide toujours vers ce qui est le plus juste pour nous, à condition toutefois que nous le lui demandions!
Mais me direz-vous en quoi le fait de me relier à mon Soi m'aide t-il à mieux vivre?
Le Soi peut être considéré comme un moyen de ressentir au fond de soi plus d'harmonie, de paix, de joie, d'amour, de gratitude, de connexion à tout ce qui nous entoure et d'alignement sur qui nous sommes vraiment.
Lorsque je sais que j'ai en moi une réserve d'amour, de confiance, d'écoute, de soutien inépuisable et totalement désintéressée; lorsque je sais que je peux me tourner vers mon Être intérieur et y puiser tout ce qui m'est nécessaire pour dépasser mes peurs, guérir mes blessures, réparer mes manques, trouver du courage; lorsque que je sais que je peux me relier à mon Coeur sacré et lui demander de me guider, d'éclairer mon chemin lorsque je doute; lorsque je sais tout cela je ne me sens plus seul(e) dans la Vie; je Suis la Vie. Je me sens inconditionnellement aimé(e) pour ce que je Suis et je peux alors avancer en conscience et en confiance sur mon chemin de Vie.
On a tendance à rendre l'Ego surtout celui de l'autre, responsable de nos difficultés relationnelles, et à chercher à en prendre le contrôle. Cette voie n'est pas celle qui mène à la transformation et à l'amélioration de nos relations. Ce n'est pas l'ego qui pose nous problème mais son excès en trop ou en moins.
La fonction du mental est d'analyser, de rationaliser, de comparer, d'évaluer, d'ordonner, de juger, d'imaginer, de concevoir. Il confie ce travail à notre cerveau, et entretient ainsi la dualité entre le bien et le mal, le devoir et l'envie, le coeur et la raison, le trop le pas assez, il nous oppose souvent aux autres, mais aussi il crée en nous des conflits intérieurs entre notre Ego et notre Soi.
Notre Ego nous l'avons vu repose sur un système de croyances et de conditionnements à partir desquels nous nous sommes bâtis des certitudes. Or le mental n'aime pas remettre en question ses vérités, alors il entre en résistance, il se ferme, s'oppose, nie, cherche à dominer l'autre, parfois même s'impose avec force et violence. C'est dans l'expression de cette résistance au changement que l'ego se montre le plus excessif, voire dangereux pour nous-mêmes et les autres.
C'est quand l'Ego est le plus éloigné de notre Soi, de notre Coeur sacré, qu'il devient orgueil et empêche toute évolution de notre Âme.
Si nous nous laissons enfermer par notre ego, si nous le laissons diriger nos pensées, nos paroles et nos actes; si nous sommes en permanence en train de nous cacher derrière un masque, un personnage; si nous ne nous laissons jamais aller à Être ce que nous sommes, un Être authentique avec nos forces et notre vulnérabilité, nos convictions mais aussi nos doutes, alors nous devenons la marionnette, l'objet, l'otage de notre ego. Nous nous privons de toute possibilité de contacter la part la plus vraie de notre Être, celle qui contient notre Vérité, celle qui nous mène à la pleine réalisation de qui nous sommes et de ce que nous sommes venus vivre dans cette incarnation.
L'Ego fait partie de nous-mêmes, mais nous ne sommes pas notre Ego. Il s'agit pour nous de le reconnaître lorsqu'il se manifeste et de le remettre à sa place lorsqu'il se montre un peu trop envahissant.
Nous disposons d'un excellent sonar pour nous indiquer à quel moment il nous faut être vigilants; ce sont nos émotions. Selon l'état dans lequel vous vous sentez face à une situation ou en présence de personnes, vous pouvez instinctivement savoir quel masque vous portez, quel personnage vous jouez. Si cela vous est agréable, facile, vous procure de la joie, du plaisir, du bien-être, vous motive, vous enthousiasme, vous êtes alors dans l'authenticité, aligné sur vous-même, dans votre Soi relié au coeur.
Si au contraire vous ressentez du désagrément, de la contrainte, de la peur, de la colère, de la jalousie, de la déception, de la frustration, de la peine, c'est que la situation que vous vivez est venue réveiller quelque chose que vous avez à régler, à dépasser avec vous-même (l'autre n'est que le reflet de moi-même). Si vous n'en avez pas conscience, vous allez laisser votre ego dicter votre réaction, et c'est là que les choses peuvent tourner au conflit intérieur ou extérieur. Le conflit est l'expression de quelque chose qui en nous refuse de céder.
Combattre l’ego, chercher à le nier, à l'étouffer ne ferait que lui donner plus de force et de résistance. Au contraire nous avons tout à gagner à vivre en équilibre et en harmonie avec lui. Notre personnalité et notre créativité n'auront que plus d'espace et de liberté pour pouvoir s'exprimer librement et de façon authentique.
En ouvrant en vous un chemin vers le Coeur sacré vous permettez à votre ego de se ré-harmoniser et de s'équilibrer dans l'amour, le respect et la confiance vis-à-vis de vous-même. Vous permettez à votre Âme de réparer, de comprendre, de réaliser ce pour quoi elle a fait le voyage.
On a tort de vouloir opposer le Coeur (Soi) et le Mental (Ego) ils sont parfaitement capables d'unir leurs voix, et nous, d'entendre leurs messages. Leur union est notre force, elle est ce qui nous tient debout à la fois parfaitement ancrés dans la réalité de la Vie, et reliés à la Source originelle, au Tout.
Pour terminer je voudrais proposer quelques questions-réflexions à celles et ceux qui décideront de regarder leur Ego en face et de se mettre en chemin vers leur Soi, pour unir les deux !
- Revisitez vos croyances sur différents sujets tels que la famille, l'amour, l'argent, le travail, l'éducation, le couple, l'amitié ...
- Voyez lesquelles de vos certitudes vous ont souvent opposé aux autres, ces certitudes sont-elles les vôtres ou vous ont-elles été soufflées ?
- Soyez observateur et prenez conscience de ce que vous induisez dans vos relations aux autres à travers vos pensées, vos paroles et vos actes.
- Demandez-vous comment vous percevez la réalité et quelle interprétation en faites-vous.
- Montrez-vous aimant pour vous-même, reconnaissez vos forces, acceptez vos faiblesses, félicitez-vous, encouragez-vous.
- Accordez-vous le droit à l’erreur sans crainte d'être jugé ou de perdre la face.
- Soyez à l’écoute de vos vrais besoins ; ceux qui vous procurent de la joie, de l’amour, de la paix intérieure.
- Apprenez à reconnaître vos torts et exprimez-les aux autres avec simplicité et sans culpabilité.
- Libérez-vous de ce que vous tenez pour vérités, avec lesquelles vous ne vous sentez plus aligné, en accord.
- Limitez vos buts égotiques pour vous ouvrir à des projets qui vous relient aux autres par le cœur.
- Neutralisez vos attentes par rapport aux autres en tenant compte de qui ils sont, et sans chercher à les changer ou à les convaincre que vos idées, vos points de vue valent mieux que les leurs.
- Osez porter la contradiction sans agressivité, affirmez vos opinions avec assurance.
- Faites preuve de souplesse plutôt que de rigidité. La souplesse ne veut pas dire soumission ou abnégation.
- Gardez-vous du faux dévouement désintéressé qui ne vise qu’à servir vos propres intérêts et à satisfaire votre ego de façon subtile.
- Pour maintenir un ego de bonne taille ! pensez à vous demander, Est-ce que je me traite bien ? Suis-je juste dans cette relation ? Ai-je fait de mon mieux ? Comment puis-je m’améliorer ?
Nous n’imaginons pas la puissance curative du pardon, ni comment il nous aide à nous libérer du passé et nous offre la jouissance de vivre pleinement le moment présent.
Mais qu’est-ce que le pardon ? Comment arriver à pardonner ce qui semble impardonnable ? Qu’avons-nous à pardonner aux autres, et à nous-mêmes? Comment recevoir et accueillir le pardon ? Je ne prétendrai pas ici couvrir ce vaste et profond sujet, mais tout au plus vous partager quelques réflexions qui ouvriront peut-être auprès de certains, la porte du pardon.
Pardonner va bien au-delà du fait d’accepter de simples excuses par politesse, éducation, convenance, ou pour tout autre raison s’appuyant sur des principes, ou croyances. Lorsque le pardon n’est pas porté par une authentique et profonde intention de re-co-naissance, de paix, d’amour, il ne peut être bien vécu ni par celui qui croît le don-ner, ni par celui qui croît le recevoir.
Le pardon passe par le lâcher-prise.
Certains personnes mettent des années à pardonner, voire quittent ce monde sans y être parvenu, souvent pour l’unique raison de n’être pas parvenu à lâcher –prise.
Désirer pardonner ne suffit pas ; il faut accepter de reconnaître que personne n’a ni tort ni raison, que le mal que l’on a pu ressentir n’est que l’écho du mal que l’autre a lui/elle aussi ressenti, que derrières les paroles prononcées, ou les actes commis se cachent des blessures qui ne sont ni reconnues, ni entendues, ni guéries ; c’est aussi accepter que nous sommes tous porteurs de mémoires qui ne nous appartiennent pas et dont avons à nous libérer pour avancer sur notre propre chemin de Vie.
Le pardon ne peut se vivre si l’une ou l’autre des personnes concernées reste accrochée, attachée à ses peurs : peur de perdre sa fierté, sa dignité, son orgueil ; peur que l’autre n’accepte le pardon, peur de souffrir à nouveau.
En faisant le choix de ne pas pardonner, je ne m’expose plus à revivre la même chose. Du moins est-ce ce que je crois !
C’est ainsi que l’on entend souvent des phrases comme : « je pardonne mais je n’oublie pas, ou bien, moi, je pardonne mais que personne ne me refasse plus jamais ça ».
Ce pardon là, n’est pas un pardon qui vient du cœur, mais du mental ou de l’ego, donnons-lui le nom qu’on désire ; ce qui est sûr c’est que ce pardon là ne mène pas à la guérison de la blessure qui a été réveillée.
Si une personne nous trahi par exemple, il est fort possible que nous nous disions que jamais plus nous ne ferons confiance à cette personne ; voire, il nous deviendra peut-être très difficile de faire confiance à qui que ce soit. Quel dommage, car à côté de combien d’autres belles rencontres risquons-nous de passer !
Et si au lieu de penser ainsi, nous nous demandions à nous-mêmes : quelle confiance est-ce que je me fais à moi-même ? En agissant ainsi ne suis-je pas moi-même en train de me trahir ? J’attends des autres le respect, la fidélité, la confiance, mais suis-je moi-même en train de me donner à moi-même ce que j’attends de l’autre ou des autres en général ?
Dans la confusion de ce que devrait être le pardon et la façon dont chacun de nous le vit, non seulement nous entretenons ce qui nous fait du mal, ce qui nous fait souffrir, mais aussi nous fermons la porte à ce qui nous permettrait de guérir de blessures anciennes.
Le non-pardon nous relie et nous tient attachés, à des incidents de notre vie souvent survenus il y a longtemps, et que nous continuons de ressentir comme des injustices, même si celles-ci n’appartiennent plus au présent.
On peut alors se demander d’où nous vient cette tendance qui semble irrépressible à nous faire souffrir ? Pourquoi nous employons-nous autant même de façon inconsciente, à entretenir des luttes intérieures au lien de chercher à nous en libérer ?
Le pardon est une libération pour nous-mêmes autant que pour celui ou celle à qui nous l’offrons ; il nous aide à mettre fin au recyclage incessant de la colère et de la culpabilité, qui souvent vont de pair. Le pardon libère notre cœur et rend possible la floraison de l’Amour authentique.
Mais pour parvenir à offrir notre pardon à l’autre, il faut commencer par se l’offrir à Soi.
En lisant ces lignes, certaines personnes vont peut-être penser : mais, moi je n’ai rien à me pardonner, sous-entendu : je ne fais de mal à personne ; je veille à ne blesser personne ; à faire du mieux que je peux pour aider les autres ; je suis honnête, courageux/se … . Tout ceci est sans doute vrai, et pour autant, oui même ces personnes ont à se pardonner.
Tout d’abord nous avons tous à nous pardonner de nous juger et de juger notre vie. Nous passons notre temps à porter un jugement sur tout. Nous n’appelons pas cela jugement, nous préférons le nommer avis. Mais il n’empêche que c’est toujours au regard de nos propres valeurs, de nos croyances, de nos certitudes, et de notre ego que nous formulons des avis souvent très sévères sur ce que nous sommes, sur ce que faisons, sur ce nous ne réussissons pas, sur nos manques, sur nos limites, sur nos émotions, sur nos réactions, sur nos faiblesses …. .
Si nous manquons terriblement d’indulgence et d’amour pour nous-mêmes, comment pouvons-nous en témoigner aux autres ?
Et puis il y a ce que nous portons du fait de l’histoire de l’humanité, et que l’on appelle les mémoires collectives, et celle de nos vies antérieures. De tout ceci bien sûr nous n’en avons pas conscience, mais nos cellules elles, en ont gardé la mémoire dans notre ADN. Nous avons à nous pardonner pour qui nous avons pu être ou faire dans nos précédentes vies. Ces mémoires font partie de nous ; elles se manifestent à travers des situations qui se présentent et parfois se répètent, jusqu’à ce que nous comprenions qu’il nous faut les dépasser, afin d’évoluer vers plus de paix intérieure.
Le pardon nous permet d’avancer vers une meilleure connaissance de qui nous sommes vraiment. Lorsqu’il vient du cœur le pardon nous offre la possibilité de faire l’expérience de notre véritable Essence. Le pardon comme acte d’Amour pour Soi est sans doute la meilleure voie de guérison de nos blessures passées personnelles et collectives.
Lorsque nous sommes parvenus à nous pardonner à nous-mêmes, alors seulement nous pouvons pardonner vraiment aux autres.
Le pardon a le pouvoir de guérison de notre vie intérieure autant que de notre vie extérieure. En changeant le regard que nous posons sur nous-mêmes et sur notre vie, nous changeons instinctivement notre regard sur les autres. Nous ne les voyons plus avec les mêmes yeux car nous avons changé nos filtres. Ce ne sont pas les autres qui ont changé, ni leur vie, ni les situations, mais bien notre façon de percevoir tout ce qui nous entoure.
Lorsque nous apportons la paix sur nos conflits intérieurs, les conflits extérieurs disparaissent dans le même temps.
Imaginez ce que serait notre planète si tous ses habitants se libéraient des vielles blessures, injustices, trahisons, humiliations subies par les uns et les autres.
Imaginez si nous pouvions tous nous pardonner pour les guerres, les affrontements et autres préjudices commis qui durent depuis des siècles et des siècles, au nom de différences de races, d’opinions ou de religions.
Imaginez ce que serait votre vie si pour chacune de vos relations vous parveniez à pardonner avec amour à vos parents, frères et sœurs, autres membres de votre famille, conjoints, relations amoureuses passées, amis, collègues, employeurs, professeurs, personnages publics….. Pardonner également peut-être pour un accident, une offense, un délit dont vous avez été victime. Vous pardonner à vous-même pour vos pensées, vos paroles, vos sentiments, vos comportements passés et présents. Pardonner pour ce qu’individuellement et collectivement nous faisons subir à la Terre, aux animaux, à la nature.
Lorsqu’on prend le temps d’y réfléchir, la liste est longue de tout ce à quoi il nous serait profitable d’accorder notre pardon. Inutile de se précipiter et moins encore de se sentir coupable, cela ne ferait qu’allonger la liste !
L’essentiel n’est-il pas d’en prendre conscience, et de prendre la sage décision, de faire chaque jour un pas de plus pour s’approcher de la nature profonde du pardon.
Du plus profond de notre Cœur, nous pouvons choisir la Paix, nous pouvons choisir l’Amour, nous pouvons choisir le Pardon.
Pour aller plus loin je vous invite à découvrir le Ho'oponopono une pratique de pardon qui nous vient de l'Océan Pacifique https://youtu.be/jPXMp7fe-As?t=5
- Vous vous sentez fatigué(e) et que vous avez des troubles du sommeil (difficulté à vous endormir, réveils nocturnes ou précoces, …)? - Vous avez tendance à vous sentir à fleur de peau (émotivité excessive, susceptibilité, colère) et/ou à ressentir un manque de motivation en général? - Vous êtes en surpoids? - Vous avez régulièrement des crises de pulsions alimentaires (sucrées ou salées… même si le sucre est souvent le vainqueur…)? - Vous vous trouvez une petite mine : cheveux ternes, boutons sur la peau (trop grasse ou trop sèche), ongles cassants, cernes, …
Avez-vous déjà pensé à faire une cure de détox? La définition est très large et l'offre sur le net tout autant: cure de jus, article plus où moins complet vous proposant un "régime" à base de concombre en décembre, jeûne intermittent, stages jeûne et randonnée...
Certaines de ces pistes parmi les plus intéressantes sont souvent celles qui demandent d'avoir le temps de s'offrir quelques jours voire une semaine de pause.
Or il est tout à fait possible de combiner cure personnalisée et efficace et vie quotidienne: c'est tout l'avantage du programme en ligne Permis de détox!
L'avantage connu de la détox est de permettre à l'organisme d'éliminer la surcharge de toxines, de relancer ainsi certaines de ses fonctions parfois ralenties par ses dernières. La détox reminéralisante offre l'avantage d'un regain d'énergie mesurable assez rapidement, et peut avoir de nombreux bénéfices secondaires comme:
- Un meilleur sommeil - Une amélioration de la peau (régulation des boutons, teint plus clair) - Une diminution souvent significatives des troubles "inflammatoires" quels qu'ils soient (douleurs digestives, articulaires, migraine...) - Un ventre plat!
Si une détox n'a en soi rien de magique ni de miraculeux, elle demande une réelle implication et un engagement de corps et d'esprit afin d'être menée à bien... Et c'est tout l'aspect positif de suivre un programme comme Permis de détox, à la fois bienveillant et résolument positif!
Etabli sur deux semaines, ce programme vous permet de mettre en place:
- une semaine de préparation et de personnalisation de la cure: en fonction de votre problématique, mais aussi de la saison, de vos goûts, vous pourrez établir vos recettes personnalisées, prendre le temps de faire vos courses et réaliser les exercices préparatoires qui vous permettrons d'être fin prêt le jour j à vivre
- Une semaine de cure de détox reminéralisante adaptée, pendant laquelle vous serez soutenu et encouragé à distance au quotidien!
Le meilleur moment?
C'est évidemment celui où vous en ressentez le besoin! C'est donc tout simplement maintenant si cet article vous a parlé 🙂
Inscrivez-vous sans plus tarder!
Une question à propos du programme, besoin d'éclaircissements? Vous trouverez peut-être la réponse qu'il vous faut dans la F.A.Q. du programme!
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Se découvrir, trouver l'harmonie en soi, se débarrasser de nos idées pré-conçues qui parfois nous desservent, demandent une implication et motivation réelles.
Et beaucoup pensent encore, qu'il faut pour cela, faire plus, ajouter plus, chercher à l'extérieur de nous, agir en fait comme dans notre mode de vie ordinaire.
Je vous propose, au contraire, de ne rien faire. Du moins, rien qui puisse vous agiter ou vous demander plus...
En fait, la seule chose que vous ayez à faire justement est de vous rendre sur notre chaîne Plus proche de Vous et de bénéficier gratuitement de nos vidéos de croissance personnelle.
Je vous rejoins chez vous au travers de l'image et partage une vision différente de pensées et d'agir, non pas pour changer l'extérieur, mais simplement pour changer vous.
Et ceci en éliminant petit à petit tout ce qui limite votre accès au bien-être et à la paix intérieure.
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Pour ma part, je suis ravie de vous retrouver bientôt,
Nelly
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Ostéoporose et progestérone naturelle
Qu’est ce que l’ostéoporose ?
l’ostéoporose est une maladie caractérisée par une fragilité excessive du squelette due à une diminution de la masse osseuse et à l’altération de la micro-architecture osseuse (présence de trous dans l’os)
Il n’y a actuellement aucun médicament qui peut reconstruire l’os sans effets secondaires. Seule l’hormonothérapie basée sur des hormones bio-identiques représente une façon naturelle à la formation osseuse (ostéoblastes) et ralentir la formation des ostéoclastes (destruction osseuse).
Il a été clairement établit que c’est la progestérone qui agit sur la formation osseuse et non les oestrogènes qui eux ralentissent la destruction osseuse (ostéoclaste) d’où le manque de progestérone naturelle pendant la pré-ménopause soit 10-12 ans impliquerait une ostéoporose dès l’âge de la ménopause
Il est judicieux de prendre de la progestérone bio-identique pour reconstruire les os (ostéoblaste) et d’y joindre de la vitamine D3 naturelle en hiver (manque de soleil)
D’après le Dr John Lee c’est l’utilisation de lait de protéines animales qui provoque une baisse de calcium, Plus vous mangez de protéines, plus vous excrétez de calcium dans votre urine. Les statistiques indiquent que les os des végétariens se décalcifient la moitié moins que ceux des personnes qui suivent un régime à haute teneur de protéines avec de grandes quantités de viande et de lait. Donc inutile de se complémenter en calcium afin d’éviter une ostéoporose
Prévention de l’ostéoporose
-Mangez des céréales complètes et des légumes frais (particulièrement à feuilles vertes) et peu de viande rouge. Evitez : féculents raffinés-sodas-tabac
-Prendre régulièrement de la vitamine D3 naturelle surtout en hiver où nous sommes le moins exposées au soleil (c’est le soleil qui fixe la vitamineD)
-Prenez des minéraux, du magnésium, du zinc
-Pratiquer un sport permet de stimuler la masse osseuse
Appliquer chaque soir, avec une pause selon si vous êtes en pré-ménopause et en ménopause, de la crème à la progestérone naturelle bio-identique.
La progestérone naturelle Dr John Lee est bio-identique elle s’applique le soir car c’est une hormone calmante
Il est déconseillé d’utiliser des progestatifs de synthèse car ils sont inférieurs à la progestérone naturelle bio-identique et ont des effets indésirables dont certains particulièrement dangereux.
Arrivées à l’âge de la ménopause beaucoup de femmes ont déjà subi une perte osseuse considérable (20 à 30%)
Les femmes se trouvant en pré-ménopause (38-40 ans) ont des cycles anovulatoires donc elle ne sécrètent plus suffisamment de progestérone durant ces cycles paraissant normaux. Cette absence de progestérone si elle n’est pas complémentées par de la progestérone naturelle bio-identique, inhibe l’activité des ostéoblastes et fabriquent moins de tissu osseux. L’équilibre est ainsi rompu entre les oestrogènes et la progestérone . Le Dr John Lee a appelé sa crème « balancing cream »L’ostéoporose sévit déjà malgré un taux adéquat d’oestrogènes
La seule manière de renverser le processus c’est en rémédiant au déficit en progestérone par de la progestérone naturelle bio-identique et non d’œstrogène qui auront qu’un effet bénéfiques légers sur la destruction osseuse (ostéoclaste) et aucun effet sur la construction osseuse (ostéoblaste)
L’adage prend ici tout son sens : « Prévenir vaut mieux que guérir »
Julien Peron était avec Déborah Donnier et Nathalie Lefèvre aux académies de la santé naturelle.
Les Académies de la Santé naturelle proposent, grâce à l’intervention de spécialistes issus de disciplines thérapeutiques diverses et complémentaires, de nombreux outils qui permettront aux professionnels un meilleur accompagnement de la douleur et de l’inflammation. belle journée.
Julien Peron était avec Julien Venesson aux académies de la santé naturelle pour le documentaire "C'est quoi le bonheur pour vous?". Journaliste scientifique- Auteur- Consultant- Formateur professionnel en nutrition- Conseiller scientifique
Julien Venesson auteur du livre "Paléo Nutrition nous dit : l'objectif n'est pas de revenir au temps des cavernes, c'est impossible, il s'agit simplement de prendre conscience de ce que nos ancètres nous ont légué afin d'optimiser notre état de santé et nos performances physiques. Les choix alimentaires dans le livvre ne sont pas forcément Paléo, ils correspondent aux meilleurs choix possibles parmi l'offre disponible au XXI ème siècle, ceux qui permettent de se rapprocher au plus près de l'alimentation du Paléolithique. Il est impossible de manger 100 % Paléo au XXIème siècle, tout comme il est impossible de vivre Paléo.
https://www.neobienetre.fr/cest-quoi-le-bonheur-pour-vous/
Aujourd'hui, la plupart d'entre nous ont une respiration de "survie". Quand nous nous appliquons à maîtriser notre souffle, celui-ci devient un moyen efficace qui nous place au-delà de nos croyances, de notre vécu pour s'ouvrir à la Vie. La respiration consciente (Rainbow) est un processus simple et puissant qui vise à soulager les tensions musculaires, traverser nos blocages, soulager les peurs, les angoisses, dépasser la compulsivité du mental, se détendre, se relâcher, accéder au bien-être et la santé. Il est un fait acquis par les scientifiques que le psychique et le physique s'influence mutuellement et a des répercussions sur la santé et le bien-être de chacun.
"Montre-moi comment tu respires, et je te dirai qui tu es" . En effet, il y a plusieurs tendances respiratoires. Les principales sont les suivantes: respiration thoracique, respiration de l'estomac, aucune respiration dans le bas-ventre, la respiration inversée, l'apnée, la respiration " syndrôme de Casper". Chaque tendance respiratoire reflète, dans les grandes lignes, certains aspect de notre personnalité, de notre vécu et de notre relation à la Vie. Dans le processus respiratoire, il est important de tenir compte de la personne dans sa globalité, de là où elle en es, de sa culture, de ses croyances, de son vécu, et....des besoins du corps immédiat. En respirant, on utilise le mental comme outil s'alliant à l'intelligence et aux besoins du corps. Dans nos habitudes respiratoires, nous faisons exactement l'inverse. Le mental est dans un mode constant de performance qui épuise le corps. Pour illustrer cela par une image, c'est qui si votre tête est à un endroit et votre postérieur se trouve 3 km derrière votre tête. La tête et le corps doivent être au même endroit pour être de aligner.
Notre respiration habituelle nous étouffe et empêche l'éclosion de la personne ! Difficile à croire mais c'est ainsi. A la naissance déjà, le cordon ombilical est coupé trop tôt. Il doit être couper quand le placenta se détache du ventre de la maman. Il faut se rappeler que nous sommes des mammifères. Et qu'instinctivement, il y a des infos qui se transmettent dont une qui a son importance : le bébé doit savoir qu'il est temps pour lui de respirer par lui-même. Cette information ne se transmet pas quand le cordon ombilical est coupé trop tôt. On aide au développement de la personne dès qu'il naît par un bon accompagnement du bébé et de sa respiration. Même si d'autres paramètres entre en compte, c'est sur l'expérience de sa naissance que le bébé va s'appuyer pour grandir et s'épanouir. Le bébé expérimente de la violence quand le cordon est coupé trop tôt. Je rencontre tellement de personnes qui ne savent même pas qu'ils ne respirent pas, ou qu'ils peuvent respirer.
La respiration et son rythme doivent toujours rester dans l'équilibre. Le rythme est masculin et le souffle est féminin. En grec, le souffle est nommé pneuma. Cela veut dire Esprit. En respirant en conscience, l'équilibre masculin et féminin est travaillé ainsi que la partie gauche et droite du corps, la relation que nous avons avec notre corps, avec le mental, avec nos émotions, avec nos sensations sont aussi transformée. Souvent, le mental vit la confusion entre sensations et émotions. Le mental ne comprends pas la respiration. C'est trop subtil pour lui. Il l'accepte quand il réalise que ça lui fait du bien. La respiration permet au mental, à un moment donné, de décrocher, de distinguer sensations et émotions sans rentrer dans un état de panique.
Pour moi, l'inspir est le cadeau de Dieu à l'Homme, et l'expir c'est le cadeau de l'Homme à Dieu parce qu'il est enrichi de et par l'Homme.
«Si plus de terriens comprenaient le pouvoir de la respiration, ils feraient un effort conscient pour changer leur manière de respirer. Si plus de terriens changeaient leur manière de respirer, il y aurait moins de maladies, plus de bonheur, de richesse et de prospérité sur la planète car la respiration est la clé.» Extrait du livre: «We the Acturiens» Milanovich
Boostez votre préparation aux examens grâce aux :
-soins énergétiques de la Médecine Traditionnelle Chinoise (auto-massages)
-associés aux outils majeurs de la P.N.L. (Programmation Neuro Linguistique).
Apprenez à :
-Mieux communiquer.
-Apprendre à vous fixer des objectifs.
-Comprendre les situations stressantes ou déstabilisantes et chercher des solutions pour les neutraliser.
-Modifier des émotions désagréables: émotions, timidité, peurs…
-Mettre en valeur ses forces et ses motivations pour enrichir l’estime de soi, s’affirmer ou parler en public.
-Faciliter les apprentissages et la mémorisation.
-Pratiquer vos auto-massages pour faire face au stress ou coups de pompe : certains points des méridiens d’acupuncture peuvent être massés par soi-même afin de s’équilibrer mentalement et physiquement, sans effets secondaires.
Que veulent dire ces 3 lettres P.N.L. ? Programmation Neuro Linguistique. Cette méthode de développement personnelle a été élaborée par R. Bandler et J. Grinder, aux Etats-Unis, dans les années 1970, à partir des travaux scientifiques émergents à cette époque, tant dans les domaines de l’informatique, des neurosciences et de la psychologie.
Les 3 mots évoquent une métaphore : le cerveau humain, à l’image d’un logiciel informatique, peut être « Programmé », c’est-à-dire modelé dans un but déterminé, en faisant appel à des ressources cérébrales parfois inexploitées (Neuro) et en veillant aux effets positifs du langage (Linguistique). Les principaux fondements de cette méthode s’appuient sur les résultats obtenus par Milton Erickson, praticien et enseignant de l’Hypnose thérapeutique, dont les effets bénéfiques ont été largement démontrés.
C’est une méthode pratique fondée sur l’OBSERVATION des comportements et du langage. La PNL vous sert à mieux vous connaître vous-même, à mieux observer et comprendre les autres, à définir des objectifs, à construire une stratégie d’action.
Pour quel public ? Enfants et adolescents.
Séances individuelles : 2 h les séances se déroulent sous la forme d’un entretien et d’exercices simples permettant l’autonomie du consultant.
Tarifs : 50€
« Primum non nocere » « D'abord ne pas nuire » Hippocrate
Qu'est-ce qui explique ce phénomène ?
Les causes peuvent être multiples.
La principale est la fatigue. Un cycle de sommeil est composé d'un stade 1 puis stade 2 dit « sommeil léger », d'un stade 3 et 4 nommés « sommeil lent profond ». Environ quatre-vingt-dix minutes plus tard, le sommeil paradoxal commence. Ce cycle se répète quatre à six fois selon la durée du sommeil. Le sommeil lent profond occupe la plus grande partie des premiers cycles.
Chaque personne a son rythme biologique de sommeil. Mais face à certaines obligations comme les horaires de travail contraignants ou le rythme de la vie familiale, il arrive que les horloges biologiques indiquent qu'il est temps d'aller se coucher sans que cela soit possible de le faire.
De cette fatigue découle tout le reste.
Si on regarde bien la logique des choses, cette fatigue va amener un stress occasionnel qui peut devenir permanent si on n'y prête pas attention. Ce stress peut amener à parler plus fort et à être moins attentif à la manière dont poser la voix.
Si à cela s'ajoute le fait de fumer, les cordes vocales s'en trouvent très affaiblies.
Avec la fatigue et le stress, en général, on est moins motivé pour cuisiner et on se dirige plus facilement vers des plats cuisinés, des pizzas ou des sandwiches que vers des crudités. Et il y a aussi la plupart du temps, consommation de café. Et là, les choses se compliquent. En effet, un petit noir permet de se donner un coup de fouet mais ce qui se passe physiologiquement est tout autre. À l'ingestion d'un café, le corps réagit en bloquant la digestion pendant deux heures.
Cela peut avoir des incidences sur les cordes vocales.
En attendant la suite de cet article, je vous annonce que je fais un stage de voix et deux concerts de soins les 12 & 13 mars prochains, à Culan dans le Cher et un concert de soins pour fêter le Printemps à Nantes, à l'Atelier du Coteau le 20 mars.
Pour plus de renseignements, n'hésitez pas à me contacter !
Les arts martiaux vecteurs de paix
Quand je présente la pratique des Paceri comme un art martial en recherche de non violence, je vois souvent de l’incompréhension dans le regard de mon interlocuteur.
« Mais tous les arts martiaux apprennent à ne pas se battre et à se contrôler » me rétorque t’on.
Au delà de l’imaginaire mythique du grand guerrier zen, je dois bien reconnaitre que cette proposition porte une part de vérité, mais je sentais bien qu’un biais la rendait incohérente avec l’approche que je privilégie.
Ce biais m’est apparu aujourd’hui lors d’un entrainement méditatif en mouvement sur la plage.
De tous temps les arts martiaux se sont rapprochés de « voies spirituelles » et de techniques mentales et méditatives, en ce que celles-ci permettaient une gestion efficace du stress et de l’émotion. Or, on sait que ceux-ci sont préjudiciables au discernement et que leur maitrise permet une prise de recul qui rend moins réactif. Combiné à une somme d’entrainement qui renforce son sentiment de sécurité l’artiste martial est moins enclin à s’engager dans l’affrontement.
Dès lors m’apparu le fait qu’il y a une grande différence entre retarder ou arrêter l’entrée en guerre et vouloir pacifier.
Dans le premier cas il s’agit de retarder l’engagement avec en arrière plan mental «Si tu dépasse telle limite, tu vas voir de quel bois je me chauffe, Je t’éclate la tronche … » Il y a une rupture d’action avant et après la limite, ces actions ne sont pas de même nature. Ce n’est pas pacifier c’est garder la même occurrence de violence mais réussir à la différer.
En tant que chercheur de paix notre démarche est quelque peu différente, elle consiste a construire un arrière plan mental qui privilégie à chaque étape du conflit la recherche de paix. Les techniques de pacifications font partie du bagage du chercheur de paix ; si la tension et la menace sont plus fort, le Paceru s’engage plus fortement pour ramener la paix jusqu'à si il le faut mettre l’autre hors d’état de nuire.
A l’inverse du premier cas il n’y a pas discontinuité de comportement mais une linéarité basée sur le retour à la paix. Dans ce processus le Paceru peut monter dans une réponse très forte comme il peut l’instant d’après redescendre en tension. Le protagoniste est seul responsable de ce qui va lui être opposé.
Pour illustrer ceci voici une métaphore.
Je suis face à un bambou, si je le pousse doucement il me reviendra doucement, si je le pousse fort il me reviendra avec force dans le visage je peux alors choisir ce que je veux. Le bambou ne veut que rester dans son état de bambou. Voire à retablir une relation pacifique entre nous. C’est ce que nous cherchons à cultiver.
Je crois que la paix illustrée traditionnellement par les arts martiaux ressemblerait plutôt à ceci
Je suis face à un bambou, si je le pousse doucement il ne bougera presque pas, mais si je le pousse fort, vient s’abattre sur moi un grand chêne que je n’avais pas prévu. Le bambou n’était qu’un leurre.
Je ne critique pas cette stratégie qui a une efficacité, mais qui n’est pas le choix que nous faisons.
Nous voyons donc combien le chercheur de paix va devoir s’appuyer sur :
-Le renforcement d’un arrière plan mental qui ouvre la porte à la paix à chaque instant ; un arrière plan qui dit : « je te respecte et te demande d’être respecté » « plutôt que si tu veux me faire mal, je vais te détruire » une demande contre une injonction. La première ouvre un nouvel accord de distance possible, la seconde provoque immanquablement une résistance ou une soumission qui ne règle rien.
-La régulation des émotions seule voie du discernement
-L’entrainement à la proportionnalité et la justesse de son action.
Si ces fondamentaux sont présents au cœur de la pratique, tout art martial peut être un art de pacification. Ce qui semble plutôt une bonne nouvelle.
Est-ce un mirage ? Je ne le crois pas parce que nous savons déjà faire cela.
Imaginez des circonstances ou l’un de vos proches suite à trop de soucis, de tensions « pête les plombs » , il casse tout et dans sa colère en devient même menaçant pour son entourage.
Il est probable que vous soyez amené à intervenir pour vous protéger, mais également pour le protéger. Votre action sera sans doute empreinte de fermeté, de vigilance mais aussi d’amour car vous ferez tout pour ne pas casser le bras, les dents, ou éclater un genou a une personne que vous aimez. Il est probable également qu’à l’ instant où il se calmera, vous relâcherez votre étreinte sans vous départir de votre vigilance.
Les moyens d'action sont forts et nécessitent : fermeté, engagement, vigilances, compétences. Mais dans le même temps l'intention est le retour à la paix, et le sentiment profond d’arrière plan est l'Amour.
Cet exemple parait il incongru et farfelu ?
L’objectif du chercheur de paix est de cultiver cela et élargir cette capacité à toute relation conflictuelle. C’est le but de notre entrainement
Art relationnel : I Paceri “les chercheurs de paix”
Aujourd'hui Julien Peron était avec Isabelle Filliozat pour le documentaire "C'est quoi le bonheur pour vous?". Isabelle Filliozat est psychologue clinicienne et psychothérapeute depuis 1982. Depuis plus de vingt ans, elle accompagne adultes et enfants dans leur cheminement vers davantage de liberté et de bonheur.
Elle est l’auteur de plusieurs livres dont son grand succès L’intelligence du cœur (1997) ou encore Je t’en veux, je t’aime (2004) et Il n’y a pas de parent parfait (2008).
Elle a aussi crée les premiers programmes de M-coaching pour le magazine Psychologies sur Orange.
Elle a fondé l'école des Intelligences Relationnelle et Émotionnelle en 2005.
https://www.neobienetre.fr/cest-quoi-le-bonheur-pour-vous/
L'Estime de de soi est l’image ou la perception que vous avez de vous-même dans les différents domaines de votre vie.
L’estime de soi désigne le jugement ou l’évaluation que vous faites de vous-même en rapport avec vos propres valeurs, cela signifie que lorsque vous réalisez une action que vous considérez congruente, cohérente, par exemple faire quelque chose que vous vous êtes engagé à faire plutôt que de le remettre au lendemain, vous en sortez valoriser. Et lorsque vous évaluez que l’une de vos actions est contraire à vos valeurs par exemple le fait de vous être emporté dans une situation alors que vous savez que vous aviez la capacité à rester calme, vous baissez dans votre estime. On parle aussi d’amour propre.
D’une part, l’une des solutions pour faire grandir votre amour propre, est l’acceptation de vous-même tel que vous êtes. Ce qui ne signifie pas que vous renoncez à évoluer, ce faisant vous accepterez alors le principe que vous êtes un être perfectible, faillible, avec ces forces et ces faiblesses, alors vous porterez plus facilement sur vous-mêmes un regard plus tolérant.
D’autre part, Votre niveau d’estime pour vous-même n’est pas fixe mais se construit au quotidien en réponse à vos actes. Il est donc nécessaire d’apprendre à réagir plus facilement aux situations d’une façon que vous croyez fondamentalement bonne et positive pour vous-même et pour les autres.
La congruence est la correspondance exacte entre vos comportements et ce que vous pensez, en d’autres termes, vos actes reflètent vos valeurs. L’inverse de cette congruence, de cette cohérence est l’incongruence.
Bien que l’estime de soi et la confiance en soi soit intimement lié. La confiance en soi est davantage en rapport avec vos capacités plus qu’avec vos valeurs.
Filmé à TEDxParis le 28 novembre 2013 à la Gaîté Lyrique. Matthieu Ricard, est un moine bouddhiste, interprète du Dalaï Lama, auteur, traducteur, photographe et fondateur de l'association Karuna-Shechen qui développe plus de 130 projets éducatifs, médicaux et sociaux pour les populations déshéritées de la région himalayenne. Après un voyage en Inde en 1967 où il rencontre de grands maîtres spirituels tibétains, il termine son doctorat en génétique cellulaire en 1972 et part s'installer définitivement dans la région de l'Himalaya. Riche de sa double culture spirituelle et scientifique, cosignataire de plusieurs publications scientifiques Matthieu Ricard est membre de l'Institut Mind and Life où il contribue à l'étude des bienfaits de la méditation sur le cerveau.
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