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On ne dira jamais assez les liens étroits qu’entretiennent corps et esprit. De même qu’un corps calme est plus à même d’abriter un esprit calme. Le lien fonctionne dans les deux sens. D’abord l’esprit agit sur le corps. C’est ce travail que tente de faire par exemple Thierry Jansen auprès des patients souffrant d’un cancer. Chirurgien et psychotérapeute, il travaille non seulement sur les médecines douces mais surtout sur notre propre pouvoir de nous protéger de la maladie et de la combattre. Il pense que chaque maladie est multidimensionnelle et qu’elle peut avoir une composante psychique. Ensuite le corps agit sur l’esprit – l’un enveloppe l’autre -, et agir sur le physique est plus aisé que d’agir sur le mental. Le corps étant l’élément physique de notre être, il est nécessaire, si l’on veut créer le calme intérieur, de mettre ce corps en état de calme. Même artificiellement dans un premier…

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Parler de sophrologie, c’est aussi parler de cette conscience qui existe en soi, comme une étincelle intelligente qui existe de manière intemporelle, au-delà de l’histoire de nos pensées et de nos émotions, ce qui nous fait vivre et exister à la vie. Certains philosophes ou psychologues parleraient bien de l’être essentiel, de psyché ou encore d’âme, pour décrire cette conscience naturelle de l’humain, ce qui nous fait vibrer et rayonner dans nos projets, l’idéal qui nous mène et qui nous motive. En musique, ne dit-on pas de l’âme d’un violon, la petite pièce en bois qui se trouve à l’intérieur du corps du violon, que c’est elle qui fait vibrer le son. Sans elle, le son ne sortirait pas ! La sophrologie, par le cheminement qu’elle propose avec soi, permet de créer des espaces clairs de conscience intérieure, pour que puisse émerger avec facilité ce qui correspond à notre raison d’être…

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C’est une des étapes décisives de l’éveil du petit enfant. Des jeux, comme « Jacques a dit », et des comptines, comme « Savez-vous planter les choux? », sont pratiqués fréquemment dans les crèches et les écoles maternelles. Avoir conscience de son corps est fondamental dans la construction de soi. Pourtant, de nombreux adultes semblent avoir perdu de vue cette conscience fondamentale de soi. Prendre (ou reprendre) conscience de son corps, c’est prendre conscience de la réalité des choses: une enveloppe de chair, dans un monde physique. C’est la première manière d’être au monde, d’exister simplement. Être un corps et rien qu’un corps, c’est la finalité de la méditation, qui mène au calme intérieur. Mais comment faire? Observer dans un premier temps. se regarder dans une glace. Qui suis-je? Un visage, un corps qu’il fait décrire plutôt que s’empresser de juger ou de critiquer. Notre corps est notre présence objective, le connaître et l’accepter…

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La maîtrise de notre respiration occupe une place importante dans le contrôle de notre état d’esprit, en particulier pour passer de l’agitation au calme. Moduler sa respiration peut être une manière de diriger ses pensées. C’est ainsi que la respiration entre en jeu dans la méditation. Pour faire le calme en soi, il peut suffire de se concentrer sur la respiration dite abdominale. Peu à peu, lorsque nous nous exerçons, elle devient naturelle, et par son caractère, répétitif et profond, elle nous berce et nous apaise. Comme un mantra, dont le principe est d’être répété jusqu’à l’étourdissement, la respiration nous permet de rentrer en nous. C’est alors notre propre corps qui donne le rythme. D’ailleurs, nous utilisons la respiration comme point de repère, car elle est facilement audible, mais nous pourrions tout aussi bien utiliser les battements de noter coeur. C’est ce que font certains yogi ayant une capacité d’écoute…

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La sophrologie, c’est aussi apprendre à reconsidérer son rapport au temps. Aujourd’hui, le rythme du temps ne nous invite pas au calme et à la plénitude intérieure. S’installer dans un espace de conscience lors de la pratique des exercices de sophrologie en dehors du temps, permet de mettre entre parenthèses la pression de ce temps, ce qui a un effet naturellement reposant sur soi, facilitant la clarté dans ses idées ainsi qu’une pause physiologique du corps, en dehors du sommeil. Le temps, c’est aussi sa tridimensionnalité. Le présent, le futur, le passé. Le présent est important parce que c’est là où tout se joue, tout se vie. Si nous sommes trop dans l’anticipation des choses ou trop dans la nostalgie des évènements passés, nous nous limitons dans ce que nous pouvons vivre maintenant, dans les discussions, les rencontres, ou encore dans les activités menées, qu’elles soient professionnelles ou de loisir….

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Nous avons tendance, par facilité, à privilégier une respiration « du haut » de la cage thoracique, c’est-à-dire une respiration qui ne mobilise que les épaules. C’est la respiration minimale, sans profondeur, qui utilise la partie haute des poumons et n’oxygène notre sang et donc notre cerveau que de manière partielle. Une respiration poussée se produit par un mouvement de haut en bas du diaphragme, libérant toute la place pour l’oxygène., jusqu’au fond de nos poumons, provoquant un massage naturel des organes internes. Ce massage est bénéfique pour l’ensemble de l’organisme. Le bien-être provoqué par une respiration pratiquée correctement est un élément essentiel du calme intérieur: il apaise le corps et assure son bon fonctionnement, éloignant au moins cet embarras-là pour nous permettre de nous consacrer à l’essentiel. La respiration par le diaphragme, que l’on appelle aussi « respiration abdominale » ou  » respiration énergétique, est celle que nous pratiquons naturellement quand nous dormons:…

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La respiration est la seule fonction corporelle dont il est impossible de se passer au-delà de 11 minutes de suite. Respirer c’est vivre. Simplement pace que le souffle est la preuve que nous sommes vivants. C’est la première chose que nous faisons en sortant du ventre de notre mère: nous prenons notre inspiration, puis poussons un cri ex expirant. Sauf exception ou accident, nous le faisons de manière instinctive du premier au dernier jour de notre vie. La respiration est le premier échange, le plus important, entre nous et le monde: avec l’air, nous faisons entrer un peu du monde en nous, que nous rejetons une fois que nous avons utilisé la partie nécessaire à notre organisme. Une respiration profonde et suffisante permet d’approvisionner notre cerveau en oxygène. C’est cela qui nous maintient en conscience. La respiration est un des piliers du yoga. Tout naturellement d’ailleurs, face à des situations de stress,…

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Parler de sophrologie, c’est d’abord parler de prise de conscience, de soi, de son corps, de ses sensations, de ses émotions, de tout ce que l’on peut capter à son propos. La sophrologie représente une manière d’apprendre à devenir observateur de ce qui se passe en soi, de manière à mieux répondre à ses propres besoins. Cela commence par savoir repérer ce que le corps vit dans ses sensations internes (intéroceptives), la faim, la soif, la température, le mouvement de l’énergie, le bénéfice de l’air qui entre dans le corps pour l’oxygéner et qui en ressort, pour évacuer les déchets comme le gaz carbonique. C’est aussi repérer les sensations proprioceptives, la position du corps dans l’espace, sa manière de se déplacer, son équilibre. Se place-t-il souvent dans des postures qui favorisent les tensions, augmentant ainsi la consommation d’énergie calorifique stockée par les muscles et par voie de conséquence, la fatigue ?…

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Le calme intérieur n’est pas une notion très à la mode. Dans nos vies, c’est plutôt l’agitation qui est de mise. Mais pourquoi donc essayer d’atteindre le calme? D’abord, parce que le calme intérieur rend plus heureux. Cela peut paraître simple voire simpliste de le dire, mais le bonheur est ce que nous recherchons tous, malgré tout. Nous ne nous y prenons peut-être pas de la bonne mani!re, mais malgré l’agitation et le stress ambiant, c’est la recherche du bonheur qui nous anime. Ensuite, parce qu’adopter le calme intérieur est l’attitude qui permet de vivre pleinement sa vie, d’être là au moment présent, pleinement disponible. Il permet d’être en meilleur santé également. Source la bible des méthodes antistress. ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER

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Le lâcher-prise, par son apparence audacieuse, peut passer pour de la désinvolture, car il remet en cause des habitudes qui ne sont pas forcément injustifiées, des règles de vie qui répondent à certains besoins et à des fonctionnements préétablis. Il remet en question un mode de vie auquel on s’est habitué. Le lâcher-prise fait voler en éclat une routine qui peut être rassurante et le changement est souvent perçu comme effrayant. Évidemment, au fond, le lâcher-prise n’est ni cavalier, ni désinvolte. Changer un acquis pour la vie autrement, remettre en cause ce qui a toujours existé, c’est simplement tenter de se concentrer sur l’essentiel, à savoir: quel est le sens de tout cela? Source la bible des méthodes antistress. Accédez à des avantages exclusifs chez nos partenaires aux quatre coins du monde ! Passionnés par les thématiques du bien-être, des médecines douces, du développement personnel et de voyages éco-responsables? Friants de bons…

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Le lâcher-prise est comparable à un muscle. Comme un muscle entraîné qui continue à brûler des calories même au repos, le lâcher-prise exerce une activité alors qu’il semble en état d’inertie: même lorsque l’on n’est pas conscient de le solliciter, s’il est bien entraîné, il travaille en permanence et, de ce fait, change non pas un seul domaine de l’existence, mais tous. Ainsi, le lâcher-prise devient une réel état d’esprit. C’est une pratique qui se nourrit d’elle-même. Cela signifie qu’elle demande peu d’efforts, seulement celui de l’impulsion initiale (ainsi qu’une petite dose de persévérance pour les plus coriaces). Ensuite, elle devient parfaitement naturelle. Comment siffler le coup d’envoi d’une vie plus sereine? Il suffit bien souvent de changer un élément de son existence, pour peu qu’il soit assez stratégique. Lâchez prise avec ses habitudes permet de voir sa vie autrement et de faire en sorte que d’autres choses changent. Source…

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L’estime de soi est la capacité à s’évaluer dans un contexte. L’estime de soi, c’est l’image que chacun a de lui-même. C’est la faculté de se comparer à soi-même plutôt qu’aux autres. C’est aussi notre capacité à nous aimer, à ressentir et à juger notre propre valeur selon un certain contexte et des critères qui appartiennent à chacun d’entre nous. Dans notre société, se sera par exemple notre appréciation de nous-même par rapport au fait que nous soyons assez travailleurs, ou de bons parents, ou des amis fidèles, etc. C’est l’évaluation de notre aptitude à honorer les rôles de noter vie. L’estime de soi s’oppose à l’orgueil, qui est une capacité à se mesurer aux autres, donc à chercher un résultat en se comparant, sans se soucier de sa propre force, de son équilibre, ni de son bien-être. L’estime de soi est pour tous une alliée, souvent méprisée à tort. Quelqu’un…

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Face à la vie stressante que nous menons, il est parfois difficile de nous sentir bien. Nous devons mener de front notre vie sociale, professionnelle et familiale et il est souvent bien compliqué de prendre du temps pour se retrouver. Nous dépensons beaucoup d’énergie à vouloir tout contrôler, tout maîtriser. Nous sommes parfois inquiets, tendus, agités, débordés, fatigués. Peut-être est-il temps de nous occuper un peu de nous-mêmes et de vivre la vie qui nous correspond. Essayons de retrouver notre calme et notre sérénité: lâchons prise 🙂 Source La bible des méthodes antistress. Accédez à des avantages exclusifs chez nos partenaires aux quatre coins du monde ! Passionnés par les thématiques du bien-être, des médecines douces, du développement personnel et de voyages éco-responsables? Friants de bons plans, réductions, cadeaux et autres goodies ? 

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La respiration est le moteur de l’énergie puisqu’elle guide sa circulation dans les méridiens de l’organisme. Afin d’en évaluer sa profondeur et la régularité, allongez-vous sur le dos, un coussin derrière la tête, et placez un objet sur votre ventre pour constater ses mouvements. Si l’objet se soulève peu, c’est que votre respiration est trop superficielle. Cela peut-être révélateur d’un état de stress. Aussi, accordez-vous quelques instants dans cette position. Et en concentrant votre attention sur l’objet, respirez de plus en plus lentement, en gonflant un peu plus le ventre à chaque inspiration et en le dégonflant autant à l’expiration. Attention, si les capacités respiratoires sont principalement dépendantes de l’énergie du poumon, d’autres éléments peuvent influencer la qualité de la respiration, comme l’énergie du triple réchauffeur, celle de la rate ou du gros intestin. Pensez également, à dégager votre nez, associé aux poumons dans la fonction de la respiration. Pour…

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Selon la physiologie énergétique, le corps de l’être humain est constitué de différentes formes d’énergies: l’énergie ancestrale et l’énergie sexuelle que nous détenons à la naissance, et l’énergie originelle qui régit les échanges énergétiques. Celle-ci régit les transformations des énergies provenant du monde extérieur, soit celles qui sont issues des  aliments qui nous assimilons ou de l’air que nous respirons. Une fois transformées, ces énergies nourrissent les autres énergies, permettant à l’organisme de se renforcer. L’énergie de l’air est bien évidemment liée à l’énergie du poumon. Celle-ci est véhiculée à travers le méridien du poumon qui circule le long de la face interne du bras, de la naissance de l’épaule jusqu’au pouce. Sur le plan physique, le poumon est liée à l’appareil respiratoire, au nez et à l’odorat. Par la respiration, il participe activement au renouvellement énergétique, donc à la qualité du souffle vital: en inspirant, il nourrit tout l’organisme de l’énergie pure…

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Dans les termes « qi gong », « qi », que l’on définit couramment par énergie, peut se traduire également par « souffle vital », c’est dire toute l’importance que la discipline accorde à la respiration. Le Qi gong, comme toutes les disciplines qui reposent sur une physiologie énergétique, tient compte de l’esprit tout autant que le corps, considérant un lien puissant entre ces deux entités: toute perturbation de l’organisme engendre des troubles psychiques. Et inversement, des émotions trop fortes ne peuvent qu’aggraver les dysfonctionnements organiques déjà présents. Aussi, l’air est une des sources principales d’énergie. Une respiration insuffisante entraîne donc un affaiblissement général, non seulement du corps, mais aussi de l’esprit. Le Qi Gong utilise le travail de la respiration pour dénouer les tensions du corps, et libérer l’esprit du stress: les exercices s’effectuent au rythme de la respiration, qui doit être profonde et la plus régulière possible. Il vous faudra donc réapprendre à respirer pour bénéficier des…

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En pratiquant le Ho’oponopono, on essaie de rester relié au temps présent pour se connecter à la réalité vraie, en nettoyant les mémoires passées, en lâchant prise face aux craintes de l’avenir. On vit le moment présent tel qu’il se présente, sans précipitation, sans réaction hâtive, sans émotion fugace. Juste en profitant de tout ce qui nous entoure, les personnes, mais aussi les lieux, la nature…tout ce qui est censé faire la beauté du monde dans lequel on vit; tout ce qui fait notre réalité sans qu’on prenne le temps de la voir. Mais il faut surtout essayer d’être sans attente. De l’autre, de soi. Cela n’implique pas nécessairement l’inaction, mais de rester à l’écoute de ce qui nous entoure. Lâcher prise, souffler, poser ses valises, prendre de la distance, du recul par rapport à un évènement qui vient de se produire afin de laisser le temps aux meilleures solutions…

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Se poser. Oublier sa montre. Ne plus courir. Ne plus être dépendant de l’horloge. Prendre  le temps de prendre du temps. Si nombre d’entre nous aspirent à souffler, à prendre du temps pour soi, nos vies rythmées à 100 à l’heure nous en empêchent bien souvent. Le réveil, déposer les enfant à l’école, ne pas rater son train, partit plus tôt pour éviter les embouteillages, ne pas perdre de temps à la caisse du supermarché, courir récupérer le petit dernier à la crèche, rendre le dossier au patron le jour J… Toutes nos activités, nos habitudes sont réglées, minutées. Tout se résume à calculer, en faire un maximum en un minimum de temps. Et le faire bien qui plus est. Alors avoir du temps ne serait-il que le luxe de quelques privilégiés. Ou ces privilégiés prendraient-ils eux-mêmes le temps? Pour changer les choses, ne faut-il pas commencer par leur accorder le temps…

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De nos jours la vie ressemble plus à une course contre la montre qu’à un long fleuve tranquille qui s’écoulerait paisiblement. On court après le temps, pour ne pas en perdre, pour en gagner, jusqu’à souvent oublier de vivre l’instant présent. Notre vision moderne du monde est indissociable de la notion de temps. Il est admis dans nos sociétés qu’il s’écoule au sein d’un espace stable. Alors que les Indiens et les Grecs n’y voyaient qu’un phénomène cyclique (le renouvellement des saisons), le temps a fini par prendre une dimension linéaire (vectorielle) avec la tradition biblique, surtout chrétienne. Un point zéro d’où part une ligne (une flèche) vers le futur et une ligne vers le passé. Cette notion n’en demeure pas moins difficile à définir tant elle relève d’approches différentes. Ses approches peuvent être sociales, psychologiques, religieuses…mais la notion la plus souvent retenue dans notre société est celle du temps…

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C’est donc sur un terrain déjà préparé philosophiquement que la méditation transcendantale a posé ses principes. L’idée forte de Mahesh Prassad Varma a été de promouvoir ces valeurs en leur adossant tout l’attirail spirituel de l’hindouisme. Probablement né en 1917 en Inde, il a consciencieusement brouillé les pistes de son histoire personnelle afin de bâtir sa légende: disciple d’un brahmane qui l’a formé spirituellement, il a aussi étudié la physique à l’université d’Allahabad, dans une région du nord de l’Inde, limitrophe au Népal. À la fin de ses études, il fait le voeu de suivre les enseignements spirituels et religieux qu’il a reçus, mais il ne peut succéder à son maître en raison de sa caste de naissance: il ne peut accéder au titre convoité. Il décide alors de poursuivre sa carrière spirituelle en portant ses enseignements en dehors des circuits traditionnels de l’hindouisme. Fini les retraites dans les monastères, il se…