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Les aliments que l’on nous vend n’ont jamais été aussi beaux, lisses et abondants. Jamais comme avant, les frontières se sont rapprochées au point de pouvoir trouver les mêmes fruits et légumes toute l’année, de provenance différente bien sûr et au point que l’on ne sait plus quels fruits et légumes correspondent à quelle saison.Jamais donc, l’offre n’a été si abondante mais au prix d’aliments carencés en vitamines et minéraux, au même titre que l’écrasante majorité de la population. Quelles en sont les raisons ?
Les progrès de notre civilisation nous ont laissés espérer que le temps et le budget passés à nous nourrir prendraient une place moindre dans nos vies. Il s’est donc imprégné dans l’inconscient collectif cette idée que la part du budget consacré à l’alimentation devait baisser et l’on considère normal de rogner sur cette partie et consacrer une plus grande part de notre budget aux sorties, aux produits High-Tech et aux vacances. A ce titre ce sont les personnes les moins favorisées qui, par souci légitime de dépenser moins, achètent les produits de moins bonne qualité.
Certains d’entre nous quel que soit leur budget, se nourrissent en excès de chips, de pizzas ou de sandwichs, de purées en sachet, de pâtes blanches, de riz précuit et blanc, de barres de céréales, de baguettes blanches, de plats préparés…. Ces aliments n’apportent que des calories, voire des calories vides et presque aucun des matériaux nécessaires à la construction et au fonctionnement de notre corps. Mais c’est pratique et rapide et représente une très large offre. Il n’y a qu’à regarder le rayon des yaourts. L’offre est tellement vaste qu’elle en donne le tournis pour s’y retrouver et on finit par choisir en fonction de la pub. Parmi les multiples choix qui s’offrent à nous et l’avènement d’une nourriture chimique la frontière est finalement de plus en plus mince. En a-t-on véritablement conscience ?
Contrairement à autrefois où tous ces produits industriels et agriculture industrielle n’existaient pas et où l’offre était simple, aujourd’hui le pire et le meilleur se côtoient et pire vs meilleur ne veut pas forcément dire coûts bas vs coûts élevés. Or Il est possible de bien se nourrir et pour un budget raisonnable et adaptable en fonction de chacun, à condition de vouloir prendre son alimentation en main, ce qui signifie prendre le temps de savoir quoi acheter et où, et passer un peu de temps à préparer ses aliments. C’est une organisation à trouver et à mettre en place. Cuisiner ne signifie pas réaliser forcément des plats compliqués. On peut faire simple, rapide, bon et nourrissant pour le corps, sans se priver de ce qu’on aime.
Alors je me doute qu’à la lecture de ce texte vous vous dites « ok on le sait tout ça mais on n’a pas le choix et je ne vais pas me disperser dans mes courses à courir à droite à gauche » ou « mais quand même elle exagère je mange beaucoup de légumes et je cuisine ». Bien sûr. Nous sommes tous différents et mon souhait à travers cet article est de poser une tendance. Et dans une moyenne il y a forcément des écarts. C’est à chacun de voir où il se situe.
Nous sommes responsables de notre façon de consommer et à qui nous donnons le pouvoir. Coluche a dit cette phrase connue qui circule beaucoup sur les réseaux sociaux « il suffirait que les gens n’achètent pas pour que ça se ne se vende pas ». C’est simple : au-delà de prendre soin de notre corps et d’assurer son fonctionnement optimal à travers ce que nous mangeons, nous avons le choix de « à qui nous donnons le pouvoir » et « la société dans laquelle nous voulons vivre et que nous pouvons façonner ». Les industriels s’adaptent, pour preuve la filière bio sur laquelle ils se sont précipités mais c’est à nous d’user de notre discernement et de faire nos choix. A l’ère de l’information l’ignorance est un choix. Néanmoins pour passer de l’intention au passage à l’acte il faut parfois un déclic, des efforts. Et les industriels et marketeurs le savent bien et créent la confusion. J'en reviens au rayon yaourts évoqué plus haut.
On ne sait plus, alors on va au plus simple, et puis « il faut bien mourir de quelque chose » diront certains et puis « l’air est pollué alors on ne peut pas tout éviter », alors « bon ce n’est pas si grave finalement pourquoi se prendre la tête ». Tout éviter non, on ne le peut pas.
Mais avoir le choix sur notre alimentation oui. Et autant mourir en bonne santé tant qu’à faire car on ne meurt pas forcément en mauvaise santé, hors accident évidemment. Il s’agit d’une croyance qu’en vieillissant notre santé s’affaisse. Or ce n’est pas une fatalité.
1/ Mangez peu et mangez de tout
Beaucoup d’Occidentaux mangent trop par rapport à leurs dépenses énergétiques, c’est connu.
Manger comme si nous travaillions aux champs comme autrefois alors qu’on reste assis toute la journée n’a pas de sens ! Nos organismes, déjà surchargés de toxines, sont débordés par la lourde tâche de devoir digérer une trop riche ration d’aliments de médiocre qualité. Ils se retrouvent en état de morbidité cachée ou à peine dissimulée : obésité, diabète, hypertension etc….
2/ Choisissez des aliments denses sur le plan nutritionnel
Dans la mesure du possible choisissez des aliments non transformés : des aliments entiers que l’on préparera. Les légumes prédécoupés et les salades en sachet ne sont pas à proscrire et valent mieux que pas de légumes du tout. Disons que la saveur ne sera pas la même. De la même façon qu’une tomate issue de l’agriculture ultra intensive espagnole et celle de notre potager n’aura pas le même goût ni les mêmes apports nutritionnels.
3/ Evitez les additifs
Surtout les produits qui en contiennent plusieurs : E330 etc. Ces noms barbares aux allures de noms d’autoroutes.
4/ Choisissez des céréales complètes ou semi-compètes
A faire tremper la veille (je reviendrai sur la nécessité du trempage dans un article dédié), du pain au levain. L’essentiel de l’offre des farines complètes et céréales complètes est bio. Il vaut mieux éviter les pains complets non bios car ils sont bourrés de pesticides.
Alterner pain et pâtes avec riz, quinoa, millet, légumineuses.
5/ Privilégiez les produits du terroir
Fromages au lait cru. Beurre au lait cru.
6/ Réduisez la quantité de protéines animales quotidiennes
Certains mangent de la viande 2 fois par jour c’est beaucoup trop et c’est un budget ! Choisissez des produits animaux provenant d'élevages à l'ancienne : en pâturage, nourris d'herbe ou poules picorant au sol.
On trouve également des protéines dans les légumes et les légumineuses (à faire tremper également).
7/ Réduisez les desserts sucrés et lactés-sucrés
Les remplacer par des fruits frais.
8/ Appréciez les matières grasses
3 à 6 cuillères à soupe de graisses originelles crues par jour (les doses dépendent de votre profil individuel). Il est délétère de trop vouloir les réduire. Les graisses nous sont INDISPENSABLES. Choisissez des huiles V.P.P.F. (vierge première pression à froid) et bio à défaut de connaître le producteur.
Evitez à tout prix les acides gras TRANS des huiles végétales hydrogénées et cuites (margarines, etc.).(Je ferai également un article dédié sur les graisses).
9/ Choisissez les modes de cuisson les plus doux et les plus rapides
Vapeur douce et wok. Oubliez le four à micro-ondes et la cocotte-minute
Ce ne sont que les grandes lignes des sujets sur lesquels je reviendrai en détail par section. Nous sommes ce que nous mangeons donc ce qui passe de notre assiette à notre ventre est loin d’être sans conséquence. Si une chose devait être retenue, c'est que nous avons la possibilité de savoir ce que nous mangeons et de faire nos choix en conséquence. C’est juste une question de curiosité et de volonté. Ensuite le reste se fait tout seul.
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La conscience, le mental et l’esprit.
Ces trois termes souvent confondus ou associés approximativement, sont à l’origine d’une grande confusion spirituelle responsable du déni de notre véritable nature.
Si nous parvenions à les définir correctement, nous opérerions un saut quantique important, voir définitif (leurs sens étant souvent détournés ou inversés).
Mais qu’est-ce exactement qu’un saut quantique ?
Là encore, nous avons besoin d’une définition pour savoir de quoi nous parlons.
Saut quantique :
C’est ce que nous appelons communément une prise de conscience. C’est une révélation soudaine d’une réalité cachée.
Souvent, nous avons l’impression que nous avions toujours su cela, qu’il s’agissait d’une vérité oubliée.
Ce n’est pas une déduction opérée à partir de contenus mentaux. Ce n’est pas en réfléchissant que nous pouvons faire un saut quantique. C’est en éliminant la confusion ou le brouillard mental et spirituel qu’apparaît une révélation. C’est comme faire de la place pour accueillir un invité. C’est dissoudre de la masse au sens physique du terme.
D’où vient cette révélation ?
De la Conscience de l’être ! …
L’être n’étant qu’une partie du tout qui n’est rien, du potentiel illimité, du champ quantique …
Pourquoi dit-on que c’est un saut ?
Parce qu’il y a élévation à travers les niveaux de conscience sans qu’il y ait déplacement. C’est immédiat, ça ne peut être recherché, espéré ou attendu, il n’y a pas de chemin à suivre ou d’exercice à faire, bien que souvent cette révélation suive à force de recherche. C’est un saut dans une autre dimension sans qu’il y ait besoin de franchir une distance.
C’est du style :
Le désir, l’attente, l’envie, l’impatience, sont des résistances qui bloquent l’apparition de ces révélations. Nous vivons souvent cela comme une contradiction, et c’en est effectivement une.
Pourquoi ?
Parce que le désir d’avoir une révélation provient du mental conscient ou inconscient.
Le mental n’est qu’un outil pratique pour résoudre les problèmes de survie quotidienne. Quand nous désirons une révélation, inconsciemment, nous attendons du mental (ne disposant pas de ce genre de réponses), qu’il nous éclaire.
En réalité, nous connaissons déjà la réponse et n’avons besoin d’aucune révélation extérieure. Ce "je" qui connait la réponse n’est autre que l’être que nous sommes. Et cet être a accès directement à la Conscience dont il est une division. La Conscience, (le tout qui n’est rien divisé en plusieurs êtres afin de jouer aux innombrables jeux de vie et de mission) révèle sa connaissance à travers l’être, quand le mental qui ne sait rien de ces sujets - arrête d’interpréter, de juger, d’évaluer ou de condamner - se tait enfin.
Nous passons de notre identité habituelle, Jeanne, Pierre, Myriam, Bob, etc … , (qui ne sont que des créations, des personnalités transitoires, crées pour remplir certaines tâches et inaptes pour d’autres) à "je suis !"
En physique quantique, les scientifiques parlent d’effet tunnel, voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_tunnel
Si nous comprenons cela – (nous n’avons pas nécessairement besoin dans un premier temps de le réaliser spirituellement, puisqu’en réalité nous le savons déjà) – nous voyons que notre approche du tout qui n’est rien, est inversée.
C’est très important de comprendre cela.
Qu’est-ce qui est inversé ?
Notre perception !
Nous percevons que la conscience émane de nous. Certains matérialistes, (si vous avez lu cet article jusqu’ici, vous n’en êtes pas), vont jusqu’à croire que la conscience est un produit du cerveau.
L’inversion réside ici : la conscience n’émane pas de nous, c’est nous, l’être, qui émanons de la Conscience, provenant de la pleine conscience qui et vide, le tout qui n’est rien et que pourtant nous sommes. Un paradoxe pour le mental.
La chose est tellement renversante que l’esprit résiste !
D’ailleurs, il n’aime généralement pas l’idée d’être rien, même s’il s’agit du tout.
Oui, il faut bien l’admettre, nous tenons à nos limitations …
Mais le résultat est le déni de notre véritable nature.
En fait, ce qui s’accroche aux limitations est le mental, ce n’est pas nous !
Aussi, si vous le voulez, examinons tout cela en utilisant une autre voie.
En définissant les mots suivants :
L’être, le mental et le corps.
La plupart des traditions admettent que nous sommes constitués de trois éléments principaux : le corps physique, le mental et l’être.
Un certain nombre d’autres éléments peuvent être distingués, tels que l’âme, le corps éthérique, l’astral, etc… Mais ces subtilités ne sont que différenciations ou niveaux de l’esprit, et si nous souhaitons définir les choses aisément, il est plus commode de s’en tenir aux trois éléments cités ci-dessous.
Voici mes propositions de définitions :
Le corps : organisme humain, animal, végétal ou minéral constitué principalement de cellules. Habituellement nous considérons l’humain constitués de tissus musculaires et conjonctifs attachés à un squelette d’os.
Le mental : lieu d’enregistrement des pensées, des souvenirs et des programmes. Par pensées, il faut entendre également les concepts et les idées. Par programmes, il faut entendre n’importe quels mécanismes de survie.
L’être : esprit individuel identifié à un corps physique ou spirituel, quels qu’ils soient, (corps humain, animal, végétal, minéral, éthérique, astral, etc … ), traitant et exploitant les pensées, concepts, programmes et idées stockées dans son mental.
Le corps, le mental et l’être sont des créations de l’être conscient, qui provient de la conscience absolue, pleine. Habituellement, nous parlons de la conscience au niveau individuel de la personne. Ce n’est pas la pleine conscience. C’est une conscience limitée aux perceptions de l’individu qui peut varier suivant le niveau d’éveil à sa véritable nature. Il est donc opportun de définir la pleine conscience.
La pleine conscience : le tout qui n’est rien, le potentiel illimité, le champ ou la matrice illimités au-delà de l’énergie-espace –temporel-matériel.
C’est ce que nous sommes fondamentalement, mais souvent nous ne le percevons que partiellement et cela nous amène à croire que nous avons une conscience personnelle. Ce n’est pas le cas !
Nous sommes des identités issues de la Conscience, qui se croient séparées d’elle.
N’importe quelle création est à l’intérieur de la conscience. Si nous acceptons et comprenons cela, il est inapproprié de dire : j’ai une conscience.
Qui serait donc ce "je" qui dit avoir une conscience ?
C’est ici que se produit l’inversion qui entraîne le déni de notre véritable nature et produit une régression quantique. Une chute au lieu d’un saut.
Pourquoi la conscience serait-elle à l’extérieur de nous ? En effet, quand nous disons : j’ai une conscience, nous posons clairement que nous ne sommes pas la conscience. N’étant pas la conscience, qui ou que sommes-nous ?
Qui est ce "je" qui dit avoir une conscience, un mental, un corps, une âme et tout un tas de possessions diverses.
Nous devrions donc dire : je suis conscience !
Si nous pouvons répondre à cette question, alors nous opérons un saut quantique important et renversant.
Le thriller "L’Implant", doublé d’un roman initiatique, surfe sur cette inversion de la perception. Une malédiction ou un complot infâme visant à réduire l'être à un humanoïde mortel : un implant serait responsable des crises de civilisation. Une équipe d’archéologue exhume sous la glace du Groenland, les vestiges d’une civilisation qui avait découvert les arcanes de cette conjuration et était sur le point d’intégrer sa véritable nature.
Dans son testament spirituel, elle nous livre ce secret …
"L’Implant", un roman de 450 pages à découvrir !
Et en attendant, je serais heureux de connaitre vos remarques et commentaires.
Daniel de St André
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Les Constellations Familiales permettent de mettre en évidence l’importance de la loyauté dans le maintien de la cohésion des familles et des groupes. La loyauté est l’élément de base sur lequel peut se construire la confiance entre individus et protéger les relations inter-personnelles. Elle garantit le lien avec nos racines, notre histoire, nos ancêtres quelque soient les évènements.
Elle assure le respect des valeurs partagées par le clan.
Pourtant la loyauté n’a pas que des effets positifs. Celle-ci peut devenir une prison inconsciente pour certaines personnes car elle dirige à notre insu nos choix afin de respecter les lois qui régissent le système auxquels l’individu appartient.
Il est pratiquement impossible de rompre ce lien de loyauté, par contre la mise en conscience des loyautés visibles et invisibles permet de prendre de la distance et de désactiver leur impact.
Définir la loyauté.
Mais que dit le «Le petit Robert»? Ce que j’ai lu est fort intéressant.
Loyauté: caractère de ce qui est loyal, fidélité à tenir ses engagements, à obéir aux règles d’honneur et de la probité. Voir les synonymes: droiture, honnêteté.
Loyal vient du mot légal et signifie qui est conforme à la loi, à ce qui est requis par la loi, qui est entièrement fidèle aux engagements pris, et qui obéit aux lois de l’honneur et de la probité. Voir les synonymes: fidèle, honnête, probe, dévoué.
Je retire de ces différents informations, un mot: FIDELITE!
Petite histoire de la loyauté.
Au Moyen-âge, chez les Francs, il n’était pas autorisé de quitter sa famille sauf si un tribunal le permettait. La famille ou parentèle assurait les droits d’héritage et de protection en échange de certains devoirs tels que prêter assistance en cas de besoin. La loyauté et la fidélité étaient indissociables, et garantissaient l’équilibre social. Ces loyautés étaient pratiquées au sein des familles mais également au sein de la structure hiérarchique sociale. Par exemple le vassal se devait d’être loyal et fidèle à son suzerain.
La famille occidentale a des racines profondes dans l’histoire de Rome, entre autres le mot famille vient étymologiquement du mot Familia qui est dérivé du mot famulus qui signifie esclave.
Dans l’empire romain, la famille est un ensemble d’individus vivant sous l’autorité absolue d’un paterfamilias. Cet homme avait droit de vie et de mort sur ses enfants, ses domestiques et ses esclaves. Sa femme restant sous l’autorité de son propre père. Ses enfants, ses esclaves et sa domesticité étaient tout simplement sa propriété privée. Il pouvait donc aussi les utiliser comme il le voulait et, entre autres, pour payer ses dettes. Revenons au Moyen-Age. La fidélité et la loyauté n’allaient pas forcément ensemble et c’est ainsi que des accords étaient passés entre les parties pour assurer la confiance et l’engagement à se protéger.
La fidélité demande promesse et serment et s’échange dans une forme de proximité relationnelle alors que la loyauté n’en a pas besoin.
Aujourd’hui, les familles recomposées sont un bel exemple de la capacité à dissocier loyauté et fidélité. La loyauté familiale continue de fonctionner alors que la fidélité n’a plus lieu entre le père et la mère.
La loyauté, question de survie.
Nous sommes tous des enfants loyaux même les plus rebelles d’entre vous qui me lisez et qui avez peut-être rejeté votre famille.
Nous respectons d’une manière ou d’une autre, consciemment ou inconsciemment, les lois qui régissent le système auquel nous appartenons. Le rejet des lois familiales ou sociales est une autre manière de continuer à les considérer comme centrales dans notre vie.
Nous sommes loyal pour une raison très simple: seul il est difficile de survivre dans un monde menaçant, dangereux et violent.
Il y a quelques milliers d’années vivre seul dans la nature pouvait s’avérer risqué. Les prédateurs n’attendaient qu’un moment d’inattention et de faiblesse pour se régaler de notre chair tendre.
L’être humain est fondamentalement social. Il a besoin d’appartenir à une tribu pour assurer sa survie; ce qui implique qu’il y a tacitement accord sur les règles qui régissent le groupe auquel nous appartenons. Les autres sont là pour nous et nous sommes là pour eux.
La dette de vie.
Lorsque nous naissons, nous avons reçu la vie de nos parents parfois au prix de grandes souffrances. Dans certains cas, la naissance a impliqué la mort de la mère, d’un frère jumeau ou d’une soeur jumelle. Le sentiment d’être redevable de cette vie est à la base de cette loyauté inconsciente. J’ai pu ainsi découvrir grâce aux constellations familiales que bien des personnes sabotent leur vie car elles se sentent coupables du décès de leur mère ou de leur frère ou soeur jumeau. Elles payent de leur vie pour cette vie perdue.
Quel lien avec la fidélité?
Revenons au mot fidélité, il signifie la capacité à être dévoué, à être attaché, et constant. La fidélité est un autre mot pour allégeance qui signifie obligation de fidélité et d’obéissance.
Quand nous étions petits nous avons appris que pour être accepté, il nous fallait obéir, être attaché, dévoué et constant. Lorsque nous étions obéissants, nos parents nous gratifiaient d’un sourire, d’un compliment ou ils s’arrêtaient de nous faire souffrir.
Entre notre naissance et 7 ans, l’enfant n’a pas la capacité d’être distant des informations qu’il reçoit. De plus il est principalement en état de conscience Alpha ( état hypnotique) ce qui le rend perméable à tous les messages envoyés par son entourage immédiat.
De nombreuses études démontrent combien les enfants battus restent attachés à leurs parents. Ils justifient les actes de leurs parents et en prennent la responsabilité.
Pour comprendre cela, revenons à l’histoire et à la période romaine, où le «Paterfamilias» avait droit de vie et de mort sur toute sa famille à l’exception de sa femme. Heureusement, les lois ont évolués mais en surface, et la croyance que ce qui se passe dans notre famille ne regarde personne continue à se transmettre.
L’enfant n’a alors pas d’autre choix que d’accepter le point de vue de ses parents et à ne pas le remettre en question pour survivre, exactement comme dans une dictature ou si l’on n’est pas d’accord on risque d’être tué. Il n’est pas la possibilité d’aller chercher de l’aide à l’extérieur de sa famille car il se mettrait en conflit de loyauté. C’est ainsi qu’il préfère prendre sur lui et souffrir en silence. Alice Miller, spécialiste de la violence contre les enfants et psychanalyste, a recherché dans l’histoire comment on traitait l’enfant et s’est aperçue que l’on a accusé pendant des millénaires l’enfant innocent pour ne pas accuser les parents. Afin de justifier cela, différentes théories ont été créées pour rendre acceptable cette violence contre l’enfant. Celui-ci apprend très vite que si ses parents le maltraitent c’est parce qu’il est «mauvais», que c’est lui qui provoque la violence, l’abandon, le rejet ou l’humiliation chez ses parents. Les enfants ne sont pas autorisés à se défendre de la violence des parents et sont alors obligés de supprimer et refouler les réactions naturelles à l’agression parentale comme les émotions de la colère et d’angoisse. Ce n’est qu’à l’âge adulte qu’ils peuvent décharger ces émotions très fortes, sur leurs propres enfants.
Loyauté aux absents et aux secrets de famille.
Le concept de loyauté peut se traduire par les attentes et les injonctions familiales qui se sont intériorisées lors d’événements importants tels qu’enterrrements, longues maladies, procès, faillites, etc... D’autres loyautés vont s’enraciner dans les non-dits, les secrets de famille, les "fantômes"ou les résonnances trans-générationnelles indéchiffrables.
Loyautés toxiques
Lors des divorces, l’enfant va s’identifier avec un des parents dont le comportement est le plus acceptable pour lui. Soit il rejoindra le parent-victime pour le protéger, soit le parent- persécuteur car cette place est plus confortable et plus valorisante. Pour certains enfants le parent-persécuteur est plus attractif car il ne souffre pas et contrôle la situation et parfois il vaut mieux être son allié.
Le paradoxe est que dans certains cas lorsque l’enfant rejoint la victime, il peut développer une loyauté inconsciente à l’autre parent et reproduire sans le vouloir les mêmes comportements, et vice versa.
S’il rejoint le parent persécuteur, il pourrait par loyauté devenir une victime afin de ressentir ce que le parent qu’il a rejeté ressent.
Les loyautés toxiques créent un sentiment de culpabilité et d’impuissance à solutionner une situation qui est complexe et hors de contrôle.
Cette culpabilité et ce sentiment d’impuissance va alors agir sur l’estime et l’amour de soi. Le sentiment de ne pas mériter une bonne vie va être à l’origine des choix de vie qui entraînera celle-ci dans une spirale sans fin d’auto-destruction, de dévalorisation ou de souffrance émotionnelle.
Comment en finir avec les loyautés toxiques?
Comme je le disais au début de cet article, cesser d’être loyal est très difficile surtout avec notre famille. Il s’agit des liens les plus puissants qui existent sur terre.
Heureusement, les Constellations Familiales offrent un processus rapide et doux qui permet de reprendre le contrôle de sa vie.
La mise en image 3D de son système et la représentation des enjeux relationnels grâce aux représentants permet de poser un regard nouveau sur les liens qui nous entravent dans notre évolution. Le fait de regarder sans jugements permet d’accepter ce qui est sans aucun blâme, et de mettre en lumière la solution qui a, en fait, toujours été là.
Pour ma part, j’ai pu observer que ce soit dans ma propre vie ou dans celles de mes clients que l’acceptation est un des processus de guérison les plus puissants. On peut l’appeler aussi Pardon.
Le fait de reconnaître que nous avons joué le jeu relationnel, de loyauté, est libérateur. Oui, nous avons dû jouer le jeu car il était question de survie. Aujourd’hui, nous ne sommes plus obligés de continuer à faire la même chose, à jouer le jeu. Nous avons grandi et nous pouvons arrêter de collaborer à la souffrance du système auquel nous appartenons. En acceptant de cesser de jouer le jeu, nous nous libérons ainsi que tous ceux qui faisaient partie du scénario. Un relâchement se fait alors sentir et chacun peut à nouveau reprendre sa vie en main.
Les Constellations Familiales.
Elles sont aussi appelées Constellations Systémiques des Familles et des Organisations. Cette approche thérapeutique de type phénoménologique a été créée par Bert Hellinger, il y a plus de 30 ans et est pratiquée partout dans le monde.
Elle consiste à «mettre en scène» une situation, un système, un problème. Ce processus de représentation permet au client de prendre de la distance par rapport à son histoire et révèle ainsi les patates chaudes cachées.
Le processus systémique permet de lâcher prise et de se tourner vers des solutions simples et contenues dans le système. Ainsi les loyautés toxiques peuvent être transformées, sans efforts, en soutien positif pour le client.
Nous recevons des enfants ou adultes soufrant de troubles autistiques, en sonothérapie et musicothérapie. La sonothérapie leur apporte une grande détente, relaxation profonde, relâchement musculaire etc…La pratique d’une séance par semaine a permis aux parents de constater la diminution de certains actes violents, de crises d’angoisse. Dans un cas, la réduction du traitement comme le Risperdale ou traitement pour le sommeil est possible.
Les stéréotypies sont absentes durant la séance.
Le déroulement d’une séance : entre 15 et 40 minutes selon la personne.
Les bols tibétains et les diapasons thérapeutiques sont choisis avec soin, adaptés au besoin de l’enfant ou l’adulte en séance.
Nous pouvons soulager des douleurs par l’application de diapasons qui diffusent une vibration particulière.
Pour les enfants ou adultes souffrant de troubles autistiques, la musicothérapie réceptive et active associée à la sonothérapie sont des outils très performants, nous ne soignons pas l’autisme, ni ne le guérissons, mais apportant par ces techniques plus de confort de vie, rétablissons des canaux de communication spécifiques et particuliers, et permettons aux émotions de s’exprimer dans un langage qui leur appartient.
pour en savoir plus:page face book , Musicothérapie, Sonothérapie et TED
La disponibilité et l’écoute du sonothérapeute , musicothérapeute est essentille pour accueillir l’enfant ou l’adulte dans sa globalité , lui permettant d’exister comme il est et l’aidant à progresser dans le respect de sa personne.
Cette année, nous organisons 2 temps de pause par mois , alternant relaxation sonore et méditation pour la Paix , vous pouvez venir nous rejoindre.
La première :
Méditation sonore pour la Paix est organisée le vendredi 11 Septembre 20h à la Maison du bien être et de la musique de Champagne, max 12 personnes, libre participation aux frais d'entretien de la salle. Vous pouvez apporter vos tapis ou coussins, je vous proposerais une méditation Siddi (d'inspiration indienne).
La Maison du Bien Etre et de la musique de Champagne
42 avenue René Caillé
17380 Champagne
MEDITATION POUR LA PAIX | 11 SEPTEMBRE | 20H |
RELAXATION SONORE | 25 SEPTEMBRE | 20H |
MEDITATION POUR LA PAIX | 9 OCTOBRE | 20H |
RELAXATION SONORE | 30 OCTOBRE | 20H |
MEDITATION POUR LA PAIX | 13 NOVEMBRE | 20H |
RELAXATION SONORE | 27 NOVEMBRE | 20H |
MEDITATION POUR LA PAIX | 11DECEMBRE | 20H |
Nature By Numbers est un court métrage d’animation 3D illustrant les principes et relations mathématiques telle que la suite de Fibonacci, le nombre d’or ou la triangulation de Delaunay dans la nature, sur des exemples aussi simple que des tournesols, une carapace de nautile ou encore les yeux d’une mouche. Réalisé par Cristóbal Vila.
Tous les films et documentaires ICI
n seulement quelques générations, l'Homme a profondément transformé son support de vie pour améliorer ses conditions de vie. Malheureusement, la pression insoutenable des activités humaines a rompu les grands équilibres naturels de la Terre.
L'Anthropocène serait donc une nouvelle période de l'ère géologique quaternaire et succéderait à l'Holocène daté de seulement - 11 600 ans. Rappelons que l'Holocène est une période interglaciaire qui a été particulièrement propice à l'expansion des sociétés humaines sur la Terre.
Aujourd'hui, pour la première fois, nous faisons partie de cette génération qui a la responsabilité de l'avenir de l'humanité. Nous pouvons encore prendre en main notre avenir mais il faut faire preuve de courage et d'inventivité. Voici le message de ce film de 3 minutes qui débute lors de la
Révolution Industrielle, il y a 250 ans.
Des images exceptionnelles des flux d'énergie (électricité, pipelines...), de communication (câbles sous-marins) et de transport (routes, voies ferrées, voies maritimes et trafic aérien) montrent la toile qui s'est tissée sur toute notre planète. De plus, des données sont surperposées sous forme d'un graphique, celles-ci montrent l'emballement de nos activités et de la croissance démographique à partir des années 1950.
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Wild-Touch a suivi le botaniste Francis Hallé en forêt tropicale. L’occasion de se faire expliquer ce qu’étaient les forêts tropicales, la canopée, le sous-bois, le mimétisme, le parasitisme, la communication entre les plantes, la reproduction des plantes...
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Acheter Maisons écologiques d'aujourd'hui
Vous voulez construire votre maison, ou simplement la rénover, l'agrandir, la rendre plus agréable, plus écologique, plus économe en énergie ? Mais comment choisir ? Quels matériaux, quelles techniques, quelle source d'énergie, quelle architecture, quels partenaires ? Ce livre vous invite à rencontrer 32 familles qui se sont posé ces questions avant vous et qui sont passées à la réalisation.
Elles vous font découvrir leur maison, par l'image, mais aussi en vous faisant partager leur démarche, leurs hésitations, leurs difficultés, et à la fin du compte leur bonheur d'habiter une maison construite, ou rénovée, selon les critères écologiques qu'ils avaient choisis. Qu'il s'agisse des matériaux, de l'architecture, ou encore du prix, l'éventail est très large. Cela va de la maison entièrement autoconstruite à celle livrée clés en main. De la maintenant classique maison en briques isolantes à la maison ronde qui tourne avec le soleil. Une somme d'expérience d'une formidable richesse, une source d'inspiration pour vos projets.
Il ne s'agit pas d'une mode passagère, mais bien d'une tendance de fond : l'économie du partage (sharing economy en anglais, du verbe share, partager) et la société collaborative sont en route. Le point de départ des nombreuses initiatives qui fleurissent en ce sens partout en France depuis 2010 ? Un constat : les biens que nous possédons (logement, place de parking, jardin, voiture, objets divers et variés, etc.) restent inutilisés la plupart du temps. Pourquoi ne pas les prêter ou les louer quand on ne s'en sert pas ? N'est-il pas plus simple et économique d'emprunter à d'autres ce dont on a besoin pour un temps limité ?
Essentiellement portées par l'évolution des usages d'Internet et par la crise économique, les possibilités ouvertes aujourd'hui par ces nouveaux modes de consommation trouvent un public de plus en plus large. Mais comment covoiturer, prêter son appartement, louer son lit bébé, revendre ou troquer ses fringues quand on est novice ? Si le partage fait sa révolution numérique, encore faut-il y voir plus clair dans la multitude de solutions qui s'offrent à nous pour (ré) apprendre à partager et entrer dans l'ère de la consommation collaborative.
Acheter Réapprendre à coopérer
Dans un contexte où le travail est synonyme de mal-être et de désarroi, où les «marchés» et quelques grandes entreprises semblent plus influents que les États, la coopération apparaît comme une voie essentielle pour retrouver les bénéfices d'échanges économiques, sociaux et culturels plus satisfaisants.
Et si l'on réapprenait à coopérer ?
A travailler ensemble et lutter contre la violence, le stress et les effets les plus néfastes de la structuration sociale et économique actuelle.
Cet abécédaire, synthèse de quinze années de travail sur la coopération, nous éclaire sur ses différentes dimensions économiques, sociales, psychologiques et philosophiques. Les personnes engagées en faveur d'échanges plus respectueux, comme celles qui cherchent d'autres voies pour un management de projets plus constructif et une gestion véritablement humaine des ressources, y trouveront quelques pistes majeures de travail. Les courtes chroniques présentées dans cet ouvrage permettront au lecteur d'approfondir sa réflexion sur la coopération et sa propre capacité à coopérer, en ouvrant successivement ou à son gré les différentes portes proposées. Ancien directeur de l'Union Régionale des SCOP de l'ouest, diplômé HEC, Hervé Gouil a crée le Cabinet de Développement Coopératif Anakena en août 2001. Membre fondateur de la coopérative Team Entrepreneur, école inspirée de l'expérience finlandaise de Tiimiakatemia, il forme, conseille et accompagne des dirigeants d'entreprises, des groupes de coopérateurs et d'acteurs de l'Économie Sociale et Solidaire, désireux de " mieux faire ensemble ".
Acheter La simplicité volontaire contre le mythe de l'abondance
Dans ce livre, Paul Ariès pulvérise avec brio les idéologies du progrès et de la croissance qui continuent à coloniser notre imaginaire. Son livre se situe dans la tradition du droit à la paresse, du vivre et travailler au pays, de l'éloge de la lenteur ou même de la pauvreté évangélique. Mais il va au-delà des thèses habituelles de la décroissance dont il est l'un des théoriciens. À partir d'une (re)lecture systématique de tous les courants des gauche, (socialisme utopique, libertaire, chrétien, marxiste officiel et hétérodoxe), il revient sur le combat qui oppose depuis deux siècles gauches productiviste et antiproductiviste.
Acheter Au source de l'agriculture, la permaculture
« Un plaidoyer pour la Terre… Et pour les hommes et les femmes qui la cultivent. S’appuyant sur les dernières découvertes scientifiques, l’auteur explore les sources de l’agriculture, et quand il y décrypte les croyances attachées à la permaculture et à l’agroécologie, c’est pour mieux sonder la nature humaine. Il s’interroge, il nous interroge : quel est le projet de notre espèce ?
Fort de ses recherches et enquêtes sur le terrain, Christophe Gatineau analyse la mondialisation des pratiques et des savoir-faire agricoles, y compris agro-écologiques. Il propose des orientations pour le développement d’une véritable agriculture permanente, une agriculture qui se maintient indéfiniment au même endroit par l’art de cultiver la terre pour la rendre fertile.
Un regard original et inédit sur nos pratiques et notre devenir. »
Acheter Vers l'autonomie alimentaire
La chaîne alimentaire de notre monde industrialisé est bâtie sur une dépendance sans précédent aux énergies fossiles : si l agriculture intensive a besoin de pétrole pour faire tourner ses machines et se fournir en engrais de synthèse, le secteur de la distribution en dépend également pour approvisionner les villes. Que se passera-t-il quand cette ressource désormais rare aura atteint un prix rédhibitoire, ou quand elle sera épuisée ? La population francilienne ne dispose par exemple que d à peine trois jours d autonomie alimentaire. Quant au contenu de nos assiettes, mieux vaudrait parfois n en rien savoir, tant le cortège de pesticides, d hormones et autres OGM qui y circulent nous empoisonne à petit feu.
Pourtant, chacun d entre nous peut retrouver le chemin de la terre, dans son propre jardin, mais aussi sur un balcon, une terrasse, dans un jardin partagé... Des expériences en France et dans le monde entier, comme à Detroit ou à Cuba, prouvent que, même en ville, on peut cultiver et nourrir sainement une grande partie de la population. Frédérique Basset a mené l enquête sur ces moyens de produire soi-même sa nourriture avec des méthodes douces pour la planète, sans effets secondaires pour la santé : son livre est à la fois un plaidoyer et un guide pour agir.
Pierre Rabhi a vingt ans à la fin des années 1950, lorsqu'il décide de se soustraire, par un retour à la terre, à la civilisation hors sol qu'ont commencé à dessiner sous ses yeux ce que l'on nommera plus tard les Trente Glorieuses. En France, il contemple un triste spectacle : aux champs comme à l'usine, l'homme est invité à accepter une forme d'anéantissement personnel à seule fin que tourne la machine économique. L'économie ? Au lieu de gérer et répartir les ressources communes à l'humanité en déployant une vision à long terme, elle s'est contentée, dans sa recherche de croissance illimitée, d'élever la prédation au rang de science.
Le lien viscéral avec la nature est rompu ; cette dernière n'est plus qu'un gisement de ressources à exploiter - et à épuiser. Au fil des expériences, une évidence s'impose : seul le choix de la modération de nos besoins et désirs, le choix d'une sobriété libératrice et volontairement consentie, permettra de rompre avec cet ordre anthropophage appelé "mondialisation". Ainsi pourrons-nous remettre l'humain et la nature au coeur de nos préoccupations, et redonner enfin au monde légèreté et saveur.
Acheter Le guide de la permaculture au jardin
Mode de culture mais aussi philosophie de vie, la permaculture est fondée sur une fine observation de la nature avec un objectif de grande productivité. Ce guide, irrigué par l'expérience de pionniers ayant expérimenté cette démarche en France et en Belgique, nous initie à ses méthodes. Pour des récoltes abondantes, y compris en ville !
Acheter La permaculture en pratique
Ce livre donne au lecteur tous les outils conceptuels et pratiques qui lui permettront de concevoir son propre projet de permaculture, quels que soient la taille du projet ou le climat. Les auteurs présentent en détail les principes de la permaculture et toutes les étapes du processus de conception, du rassemblement des données jusqu'à la réalisation d'un plan directeur. Illustré par de nombreux cas pratiques et plus de 250 photos et dessins, ce livre constitue une source d'informations incontournable pour tous ceux qui souhaitent faire de leur terrain un écosystème durable et résilient.
La permaculture c'est quoi?
Dans le cadre de la création de l'école de la vie https://www.neobienetre.fr/neo-bienetre-ecole-de-la-vie/, nous avons suivi pendant 10 jours une formation en permaculture.
La permaculture est une méthode de conception consciente de paysages qui mimes les modèles et relations observés dans la nature, visant à obtenir une production abondante de nourriture, de fibres et d'énergies pour satisfaire les besoins locaux. Les gens, leurs habitats ainsi que la façon dont ils s'organisent sont au centre de la permaculture 🙂
La permaculture est une méthode systémique et holistique de conception d'habitats humains et de systèmes agricoles inspirée de l'écologie naturelle (biomimétisme) et de la tradition. Elle n'est pas un mode de pensée mais un mode d'agir qui prend en considération la bio-diversité des écosystèmes. En outre, elle vise à créer une production agricole durable, très économe en énergie (travail manuel et mécanique, carburant...) et respectueuse des êtres vivants et de leurs relations réciproques, tout en laissant à la nature « sauvage » le plus de place possible.
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