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Nous en avons tous entendu parler, mais connaissons-nous vraiment les Chakras ? Ces centres énergétiques occupent une place fondamentale dans la théorie et la pratique du Yoga.
Littéralement, le mot "chakra" signifie "centre" ou "vortex". Les Chakras constituent les noeuds énergétiques et de haute signification symbolique du corps subtil. Cette expression désigne une des composantes immatérielles du corps humain ou, plus précisément, un des nombreux niveaux qui définissent la représentation de l'être humain selon la philosophie indienne. Ces niveaux vont du corps physique et visible jusqu'au corps de la béatitude absolue. Le corps subtil comprend les enveloppes invisibles de notre corps, celles qui vont au-delà du corps visible. Les principales sources sanskrites de philosophie yogique sont issues de 3 ouvrages dont de nombreux pratiquants ont entendu parler : Hatha Yoga Pradipika, Shiva Samhita, et Sat Chakra Nirupana.
A l'intérieur du corps humain, les Chakras sont multiples, mais les principaux et les plus connus sont au nombre de 7 : six situés le long de la colonne vertébrale, et le septième sur le sommet de la tête. D'autres Chakras, inférieurs et partagés avec le monde animal, se trouvent au niveau des genoux, des chevilles, des bras. Ils ne sont pas pris en considération chez les êtres humains, parce qu'ils représentent des niveaux évolutifs antérieurs et dépassés par le fait même d'être nés femme ou homme et non animal. Les Chakras font donc partie d'un parcours évolutif entrepris dans des vies précédentes, et à compléter dans des vies futures.
Ce point introduit un autre sujet délicat pour de nombreux occidentaux, rationalistes, athées ou adeptes d'une autre religion : la réincarnation. Cette notion ne devrait pas être interprétée de façon dogmatique, mais, encore une fois, comme une aide pour penser notre place dans le Temps et dans l'Univers. Voici 3 hypothèses de réfléxion sur la réincarnation :
Source : Esprit Yoga
La Stevia rebaudiana est une plante originaire du Paraguay et du Brésil. Elle est surnommée "la plante sucre" car elle est composée d'une famille de molécules : les glycosides de stéviol, qui ont un fort effet sucrant. Cet effet a été découvert il y a des millénaires par les indiens Guarani. Elle est aujourd'hui utilisée dans de nombreux produits afin de remplacer le sucre.
La Stévia existe principalement sous deux formes :
- La Stévia verte, obtenue à partir du séchage et broyage des feuilles. Elle a un fort goût de réglisse, et son effet sucrant est 10 à 15 fois supérieur à celui du sucre. Toutefois, n'espérez pas en acheter car elle n'est pas autorisée pour l'alimentation en France.
- La Stévia blanche, qui est sa forme la plus commune. Elle est obtenue après extraction des molécules de glycosides de steviol de la plante Stévia rebaudiana, et concentre un fort effet sucrant, environ 300 fois celui du sucre.
C'est donc la Stévia blanche qui nous intéresse, on peut la trouver sous quatre conditionnements différents : en poudre, soit pure ce qui est très pratique pour les desserts, soit mélangée à des agents de charge plus faciles à doser ; en liquide, pratique pour le café par exemple, car cela permet de doser goutte à goutte ; en pastille ; et en morceaux, les mélanges de sucre et de Stévia blanche permettent de réduire de moitié les calories ingérés tout en conservant le pouvoir sucrant.
La Stevia blanche en cuisine
Elle peut être utilisée avec tous les aliments et pour toutes les recettes. Mais attention aux dosages : 1g de Stévia représente 300g de sucre !
Afin de mieux doser, voici une petite astuce qui utilise une simple cuillère à café : 1 cuillère à café pleine représente 2,5g de Stévia, soit 800g de sucre. 1 cuillère à café rase représente 1,5g de Stévia, soit 400/450g de sucre.
La Stévia, le débat
Les détracteurs de la Stévia arguent que celle-ci peut être abortive ou qu'elle a un fort potentiel cancérigène, ce qui a été réfuté formellement par l'Organisation Mondiale de la Santé lors d'une étude menée en 2006. Certains nutritionnistes soulignent également que son fort pouvoir sucrant entretiendrait, voire développerait, le goût pour le sucre.
Les défenseurs de la Stévia rappellent qu'elle permet de baisser la consommation de sucre, qui est à l'origine de nombreux problèmes comme le surpoids, les maladies cardio-vasculaires, le diabète. La consommation régulière de Stévia peut entrer dans les régimes hypoglycémiques et favorise une bonne hygiène dentaire en bloquant les bactéries.
En définitif, la Stévia semble être une bonne alternative au sucre. Néanmoins, n'oubliez pas que le sucre est indispensable à notre organisme pour nous fournir en énergie.
Source : Santé Nat & Bio Oct/Nov/Déc 2012
Ne monnaye pas ta liberté, la liberté vaut mieux que tout l'or du monde. Think positive !
Toutes les pensées positives et citations inspirantes ICILa relation étroite existant entre stress et prise de poids est désormais admise et reconnue par la médecine traditionnelle. Il est rare de grossir quand nous sommes épanouies, sereins, valorisés, et quand nous nous accordons le temps nécessaire pour écouter nos réels besoins.
En revanche, quand nous sommes stressés, anxieux, ennuyés, fatigués, quand nous ne réservons aucune place aux loisirs et au repos, le corps commence à envoyer des signaux de malaise, et, parmi, eux la prise de poids. Pour garder le bon poids, il faut rester en contact avec soi-même, avec la partie de nous qui "gère" le métabolisme. Le yoga est une voie de reconnexion et donc une aide précieuse dans le rétablissement d'une balance métabolique, dans une perspective à la fois de prévention et de cure.
Ecouter son corps
Perdre le contact avec son propre instinct peut être facile, mais grâce à son action sur la conscience, le yoga nous aide à comprendre et à retrouver un nouvel équilibre psychophysique, ainsi qu'une nouvelle forme. La pratique, quand elle est effectuée avec régularité, nous permet non seulement de brûler le gras en excès, mais aussi de retrouver une meilleure conscience du corps. Nous apprenons à reconnaître ses signaux, à savoir quand nous sommes rassasiés. Le yoga nous aide également à trouver un rapport avec nous-mêmes dépourvu de jugements et de compétitivité. Pendant un cours de yoga, le corps devient un agréable cocon où retrouver une sensation d'accueillante légèreté, pour défaire les tensions et retrouver le contact avec nos sensations.
Le Cancer Research Center de Seattle a réalisé une étude clinique très instructive pour évaluer scientifiquement la corrélation entre pratique des asanas et perte de poids. Ce projet s'est étalé sur dix ans et a réuni 15 000 sujets, hommes et femmes de 45 à 55 ans, une tranche d'âge où la prise de poids est assez fréquente. L'échantillon étudié a pratiqué 30 minutes de yoga chaque semaine. Les résultats ont été très explicites. Les individus en surpoids ont perdu en moyenne 2,5 kilos sans les reprendre.
Nos alliés
Avec la pratique, nous apprenons à connaître la dynamique respiratoire et à la corriger. Dans la conscience du souffle, nous construisons le geste, la posture, la séquence justes. De nombreux asanas agissent directement sur les surrénales et la thyroïde, des glandes qui jouent un rôle important dans la régulation du métabolisme. Ceux qui approchent le yoga pour rétablir l'équilibre nutritionnel comprennent vite que c'est dans la pratique, quand on trouve une connexion entre pensée, souffle et corps, que les résultats sont les plus flagrants. En laissant de côté toutes sortes de jugements et de confrontations, le corps se libère et se transforme. Certaines formes de yogas dynamiques, comme le Vinyasa ou l'Ashtanga, permette de brûler davantage de calories. Même si les kilos à perdre sont nombreux, il vaut mieux approcher la pratique sans empressement et sans acharnement.
Sans oublier que la bonne humeur affecte directement notre homéostasie ; la première règle à suivre est donc de s'offrir le luxe de s'amuser. Le yoga ne doit jamais être un devoir, mais un plaisir à redécouvrir chaque jour.
Source : Esprit Yoga
Des médiums en observation
Des chercheurs de l'université Thomas Jefferson et de l'université de Sao Paulo au Brésil ont fait des recherches sur les flux sanguins dans le cerveau de médiums, 5 expérimentés et 5 novices. Ils ont injecté un traceur radioactif afin de caractériser leur activité cérébrale durant leur processus normal d'écriture puis durant la psychographie - une écriture automatique par laquelle les médiums sont censés recevoir des massages d'esprits de défunts durant leur état de transe. Chez les médiums expérimentés, un fonctionnement cérébral particulier a été détecté lors de la psychographie, avec une activité moindre dans la partie gauche de l'hippocampe, le gyrus supérieur droit et les lobes frontaux. Chez les moins expérimentés, au contraire, l'activité a augmenté dans les aires frontales, associées au raisonnement, au langage, à la résolution des problèmes, à la planification. Le résultat le plus intéressant est venu de l'analyse des échantillons d'écriture : ils étaient plus complexes lorsqu'ils avaient été obtenus avec la psychographie qu'en écrivant à l'état normal. Les médiums les plus expérimentés ont produit les textes les plus complexes, tout en ayant une baisse de l'activité dans les frontaux et temporaux. Normalement, cette activité basse aurait dû avoir pour corollaire des textes confus et brouillons. Le directeur de l'étude, Andrew Newberg, a estimé que les résultats de cette toute première recherche en neurosciences sur les capacités médiumniques étaient excitants.
L'imaginaire comme langage
Plongé dans un état végétatif depuis 13 ans à la suite d'un accident de voiture, Scott Routley, un Canadien de 39 ans, a réussi à communiquer avec ses médecins. Scott ne pouvant se servir que de son imagination, ils lui ont demandé d'imaginer une scène pour dire oui et autre pour dire non. En effet, ils avaient observé que selon la scène imaginée (une partie de tennis ou une déambulation à son domicile), ce n'étaient pas les mêmes zones de son cerveau qui étaient irriguées. En analysant son activité cérébrale face à une série de questions, less résultats se sont révélés probants, explique le neuroscientifique Adrien Owen, qui a piloté l'étude : "Scott a été capable de montrer qu'il avait un esprit conscient et pensant. Nous l'avons scanné plusieurs fois et le modèle de son activité cérébrale montre qu'il choisit de répondre à nos questions. Nous pensons qu'il sait qui il est et où il est." Toutefois, tous les patients ne sont pas capables d'une telle prouesse, qui illustre la complexité des rapports entre conscience et cerveau.
L'équipe de Neo-bienêtre vous recommande tous les mois des livres que nous avons lus, cette semaine "Le chat zen" de Kwong Kuen Shan.
« Une personne large d'esprit trouve ses aises même dans un endroit exigu. » Proverbe chinois
Détachés, indépendants, élégants, philosophes sûrement, et si les chats, mieux que quiconque, nous ouvraient la voie du Zen ? Kwong Kuen Shan, artiste chinoise, présente ici quarante de ses plus belles aquarelles, associées à des proverbes chinois, des enseignements de la tradition Zen, ainsi que des citations de Confucius.
Le sage veille tout particulièrement sur neuf domaines: il voit clairement; il entend distinctement; il parle avec sincérité; son maintient est gracieux; ses façons sont courtoises; il travaille en vue de gagner le respect; dans le doute il s'informe; en colère, il pense aux conséquences négatives de sa colère; lorsque la possibilité d'un gain se présente à lui, il réfléchit à sa moralité et à son intégrité. Think positive - Confucius
Toutes les pensées positives et citations inspirantes ICIL'aluminium est un métal toxique pour tous les êtres vivants, aussi bien pour les animaux que pour les végétaux. A fortes doses, l'aluminium est également mortel pour l'Homme. Il serait aujourd'hui responsable de plusieurs maladies, mais un remède efficace a été découvert : le silicium.
L'aluminium est un facteur important pour 3 maladies : la fibromyalgie, la maladie d'Alzheimer, et l'ostéoporose.
- Concernant la fibromyalgie, cette maladie n'existait pas il y a 20 ans, mais c'est le professeur Romain Gerardi qui a démontré que des dépôts d'aluminium sont présents dans les lésions dues à la maladie. Le silicium permet d'éliminer progressivement ces dépôts d'aluminium et soulage la douleur.
- La maladie d'Alzheimer est en pleine d'expansion, les projections statistiques montrent qu'en 2020 plusieurs millions de français en seront atteints. 2 lésions caractérisent cette maladie : la déformation de la protéine de Tau, et l'apparition de plaques beta-amyloïdes. Des travaux scientifiques internationaux montrent que ces lésions sont provoquées par l'aluminium. Or, le silicium permet d'en protéger notre cerveau, et corrige les protéines de Tau altérées qui retrouvent leur état initial.
- L'ostéoporose touche 50% des femmes et 20% des hommes à l'âge de 50 ans. Les spécialistes estiment que l'aluminium pourrait en être la cause. En effet, l'aluminium bloquerait une enzyme capitale dans la formation du collagène et des os : la prolylhydroxylase. Le sicilium viendrait éliminer l'aluminium de la prolylhydroxylase qui se remettrait à fonctionner correctement.
L'aluminium est très présent dans notre environnement, nous pouvons le retrouver dans des ustensiles de cuisine, l'alimentation (notamment dans les additifs alimentaires), l'eau du rubinet, certains médicaments (comme le gaviscon), et dans plus de la moitié des vaccins.
Comme vous avez pu le constater, le silicium est un très bon antidote à l'aluminium. Non seulement le sicilium protège le cerveau de l'aluminium, mais il augmente son élimination rénale et empêche son activité dans le sang. Le corps humain a besoin de 5 à 6 mg de silicium par jour pour bien fonctionner. Vous pouvez trouver le sicilium dans des compléments alimentaires, car notre alimentation en contient, malheureusement, de moins en moins. Toutefois, toutes les formes de silicium ne sont pas équivalentes. Préférez la prêle, qui est la meilleure source de silicium absorbable. Il est indispensable d'absorber le silicium de prêle à jeun, seul, en attendant 20 minutes avant d'absorber tout autre substance.
Source : Santé Nat & Bio Octo/Nov/Déc 2012
Envie de relations plus harmonieuses aux autres et à soi-même ? Les accord toltèques offrent un code de conduite simple et efficace pour y parvenir. Olivier Clerc nous présente la voie toltèque comme une véritable chevalerie relationnelle.
1. Avoir une parole impeccable - L'épée du chevalier
L'épée est une arme à double tranchant : elle peut protéger ou trancher des liens qui emprisonnent, mais elle peut aussi blesser et tuer. Pour devenir un chevalier relationnel, la première étape consiste à devenir conscient de votre parole et la maîtriser. Quelques questions à vous poser pour cela : Pourquoi je parle ? Pour faire du bien, pour faire rire, pour instruire, pour informer ? Ou pour des buts moins louables ? Que vont déclencher mes paroles chez les autres et en moi ?
2. Ne rien prendre personnellement - Le boucler du chevalier
Si quoiqu'il arrive, je n'en fais pas une affaire personnelle, les paroles des autres ne m'atteignent plus : j'ai un bouclier qui me protège de toute agression. Imaginez deux minutes comment serait votre vie si, quoi que pense, dise ou fasse autrui, cela ne vous atteignait pas et ne changerait rien à ce que vous sentez à l'intérieur de vous. Si vous deveniez complètement insensible à l'opinion d'autrui ? Quelle liberté ! Quel espace cela libèrerait en vous !
3. Ne pas faire de suppositions - La quête du chevalier
Tout chevalier qui se respecte a une quête. Quelle est-elle dans le cas présent ? C'est la vérité. Pour l'atteindre, il faut déchirer le cocon des suppositions, des croyances non vérifiées.
4. Faire toujours de son mieux - La règle du chevalier
Faire de son mieux signifie d'abord évaluer chaque jour quel est ce "mieux". Aujourd'hui, je suis en pleine forme, j'ai un emploi qui me plaît, une vie de couple heureuse, les enfants vont bien : bref, mon "mieux" est plutôt élevé. Mais peut-être que dans 6 jours ou 6 mois je serais malade, au chômage, ma partenaire m'aura quitté : mon mieux sera alors nettement plus "bas". Autrement dit, votre mieux est une variable quotidienne qui dépend de votre énergie physique, de votre moral et de votre santé. Faire de son mieux, c'est éviter le perfectionnisme qui nous pousse à trop en faire et finit par nous épuiser, c'est éviter le laxisme qui nous incite à ne pas en faire assez et nous accable de remords. C'est être dans le juste.
5. Être sceptique mais savoir écouter - Le heaume ailé du chevalier
Rédigé 12 ans après les 4 premiers accords, le cinquième vient renforcer le deuxième et troisième. Il nous protège des croyances infondées, et nous incite à sortir de la crédulité. Faites preuve d'une saine dose de sceptisisme, y compris vis-à-vis de ce que raconte votre mental, mais restez à l'écoute. Il ne s'agit pas de se fermer aux autres et à ce qu'ils disent. Les écouter, oui ; les croire sans discernement, non.
Source : Inexploré n°17
Spécialiste du comportement animal et directeur de recherche au CNRS pendant 50 ans, Pierre Jouventin fut autrefois conseiller au zoo municipal de Montpellier. Un jour, il reçu un appel du directeur de cet établissement l'informant qu'une portée de louveteaux venait de naître et qu'on allait devoir les euthanasier, faute de place.
Sachant que son épouse, Line, avait toujours rêvé d'élever un loup, ce passionné d'animaux alors âgé de 35 ans alla à l'encontre des principes : "Pour moi, adopter un animal sauvage et l'élever en captivité portait déjà atteinte à son intégrité, mais j'étais jeune et je voulais faire plaisir à ma femme." C'est ainsi qu'un jour de mai 1975, l'éco-éthologiste rentra chez lui avec une jeune louve âgée de quelques jours qu'il baptisa Kamala. "Un louveteau ne connaît pas son espèce de manière innée, c'est en voyant ses compagnons qu'il croit être cette espèce ; arrivant au milieu d'une population humaine, Kamala se considérait comme un humain." La famille Jouventin vécut plus de 5 ans avec Kamala dans un appartement de 100 mètres carrés situés en plein centre-ville de Montpellier au deuxième étage. Or, élever un loup dans un appartement "est considéré comme impossible par les spécialistes du loup", précise Pierre. "Il a fallu entrer dans la psychologie de la louve pour cohabiter harmonieusement. Cela m'a amené à découvrir des choses que personne n'avait jamais vues."
Ainsi Kamala avait pour habitude de tirer les membres de la famille du bout de ses dents dès que l'un d'entre eux s'approchait d'une fenêtre , d'un balcon, d'une baignoire, ou d'une piscine. Intrigué par ce comportement, Pierre Jouventin a compris que la louve interprétait ces situations comme des dangers potentiels et essayait de protéger "sa famille". Lorsque sa maîtresse se baignait en rivière, Kamala la ramenait vers la rive. "Ces comportements d'entraide entre les membres du groupe démontrent que, loin d'être l'ennemi héréditaire de l'Homme et la bête malfaisante que l'on dit, le loup est une espèce encore plus remarquable que ce que l'on savait. Il partage avec nous ce qui a longtemps été considéré comme le propre de l'Homme : l'altruisme", explique le chercheur qui précise que "cet altruisme n'existe que chez très peu d'espèces." "Cela remet en cause toute la culture occidentale basée sur la séparation entre l'Homme et l'animal. A force de considérer que l'Homme n'a rien à voir avec les animaux et la nature, et à force de les avoir tellement exploités, nous nous retrouvons aujourd'hui dans une impasse. En réalité, nous faisons partie de la famille animale. Nous sommes des animaux extraordinaires."
Source : Inexploré n°17
Combien d’entre nous recherchent la sérénité intérieure ? Combien d’entre nous briguent l’expérience de ce sentiment profond, nous installant ainsi dans un endroit de tranquillité, au-delà de l’ouragan de nos vies ?
La plénitude ! Le reflet d’un plein en soi, un sentiment d’entièreté vis-à-vis de nous-même.
Opposé au sentiment de vide intérieur, à une sensation de manque souvent reliée au sentiment d’être abandonné, à une vie manquant de sens pour soi, ou encore à un espace fait de rien, le sentiment de plénitude intérieure nous relie à une sensation d’épanouissement et de bonheur, une assurance et une confiance en soi. C’est une sorte d’abondance intérieure qui nous emplit complètement et nous fait du bien. Nous nous sentons alors au maximum de nos capacités, dans une intensité, une densité, une richesse de vie. Nous nous sentons comblés, dans un bien-être physique et psychique complet.
« L’être, ai-je dit autrefois, c’est l’attente comblée. La vie peut nous apparaître à certains moments entièrement vide; rien n’a d’importance, rien ne compte: c’est la négation même de ce sentiment de plénitude, de profusion que nous éprouvons parfois. » G. Marcel, Journal, 1919, p.202.
Certaines méditations bouddhistes orientent plutôt l’esprit à vivre et à se concentrer sur l’expérience de la vacuité, afin d’apprendre à être confortable avec ce vide en soi, dans l’espoir de sortir de la douleur et de la souffrance liées aux pensées ou conceptions erronées, aux apparences trompeuses, pour revenir au soi premier, l’être pur ou illuminé.
Des méthodes comme la sophrologie nous amène plutôt vers le cheminement et l’expérience de la plénitude, en cherchant à contacter et à laisser s’exprimer cette présence naturelle en nous, porteuse de toutes nos possibilités, de toutes nos capacités existentielles. Nous apprenons à plonger dans le réel du « plein », de l’aisance et de la profusion. Cette plongée, riche de paix et de sérénité, contient l’attitude en elle-même de l’amour.
Le sentiment de plénitude arrive rarement de manière spontanée. Nous avons tout d’abord à choisir de vivre cet état, même si nous ne le connaissons pas encore, ou même si nous pensons ne pas y arriver. Nous avons à dépasser l’histoire de notre pensée. Puis, nous avons à orienter notre conscience vers ce souhait d’atteindre cette plénitude intérieure, d’y être. Enfin, des exercices sophrologiques pratiqués au quotidien, même s’ils ne sont que d’une durée de 10 mn par jour, vont permettre d’obtenir satisfaction. Comme un artiste acquiert de la souplesse et de la maîtrise en son art en réalisant les exercices régulièrement, le pratiquant en sophrologie va découvrir cette possibilité existentielle afin de l’accueillir, et ainsi, être dans son accomplissement.
Article rédigé par Patricia Penot, Sophrologue Mastère Spécialiste, Formatrice, Auteur, Animatrice de l’émission « Parlons Sophrologie » sur Radio Médecine Douce
Blog « Authentique et Libre »© http://patriciapenot.com/
Site Internet www.evolutionformation.eu
Une histoire de croyances
Pour vous aider à mieux comprendre la pratique de Ho’oponopono, Nathalie Bodin, auteur et formatrice, vous propose de partager sa compréhension du fonctionnement de l’être humain. Chacun d’entre nous a grandi dans un environnement où les adultes qui composaient son entourage, apportant ses propres valeurs et croyances. Et ces croyances, nous les avons intégrées dès notre plus jeune âge pour un faire un « contrat de vie », c’est-à-dire une liste de formules maintes fois répétées à nos oreilles d’enfant, qui sont devenues ensuite nos propres convictions. C’est le bain culturel et traditionnel dans lequel chacun d’entre nous est élevé.
Parmi ces croyances, ils s’en trouvent certaines que je qualifie de positives car elles vous permettent de vous réaliser. Par exemple, vous avez sûrement dans votre entourage une relation ou un parent qui a cette croyance que quoi que fasse l’enfant comme métier, il va réussir. Un enfant éduqué ainsi pourra exercer dans différents domaines avec la même assurance : cela va marcher ! Une autre croyance du même ordre, c’est : « Quoique je mage, je ne grossis pas. » Phénomène qui se répète de mère en fille avec la certitude d’avoir des prédispositions métaboliques hors-norme, qu’il est intéressant de conserver.
L’argent et le bonheur
En revanche, il est des croyances qui mettent des limites à vos capacités et qu’il convient de nettoyer parce qu’elles peuvent devenir paralysantes dans votre vie de tous les jours. Parmi elles, on trouve les croyances liées à l’argent : l’argent est sale, l’argent ne fait pas le bonheur, les gens riches ne sont pas des gens honnêtes. Toutes ces croyances mettent dans l’incapacité de recevoir de l’argent puisque celui-ci est synonyme de malhonnêteté, d’escroquerie, et même un obstacle au bonheur ! Comment être dans une situation matérielle confortable quand on a ces croyances qui bloquent l’accès à votre compte bancaire ?
De plus, un sentiment d’injustice et de frustration peut naître lorsqu’on voit des individus se remplir les poches facilement, alors que l’on « travaille dur » pour gagner de l’argent, selon l’expression populaire. Encore une croyance qui signifie que seul l’argent gagné à la sueur de son front compte et qu’il est inconcevable d’exercer une profession où l’on prendrait du plaisir. Admettre que notre contrat de vie est rempli de ce genre de croyances permet de mieux déroger à ces prétendues règles imposées.
Ho’oponopono, mode d’emploi
On ne le répètera jamais assez : oui, toutes ces croyances peuvent être nettoyées grâce à Ho’oponopono.
Une fois que le bilan sur votre « contrat de vie » est fait, vous pouvez réciter les 4 mots de sagesse de Ho’oponopono.
Source : Energies n°30
9 jours - Trekking niveau facile - Pratique sophrologique – Echanges philosophiques - Départ assuré à partir de 6 personnes - Nombre de participants limités à 12.
Les approches fondées sur des capacités de perception inexpliquées séduisent un public croissant. De plus en plus de personnes développent-elles une capacité de perception hors-du-commun ?
C’est dans un contexte de crise économique, de défis écologiques qui laissent entrevoir la fin de notre espèce, que certains parlent d’une possible évolution de l’être humain. Cette évolution nous permettrait d’accéder à un mode de fonctionnement différent, en développant un rapport au monde plus intuitif. Installé depuis ne dizaine d’années à Paris, Jean-Jacques Rosankis a vu sa clientèle de trentenaires et de jeunes quadras grossir au film du temps : « Vivant pour le pouvoir, le travail et la sécurité, sans aucun autre horizon que de boire le week-end pour s’amuser, ils ont le sentiment de ne plus vivre du tout. » Lorsque cette génération arrive à une période de la vie qui est une phase de redéfinition : « la quête de sens, et avec elle la demande psychologique ou spirituelle deviennent pressante. » Jean-Jacques Rosankis explique qu’il voit dans les auras la représentation de certaines problématiques de la personne et est capable de les changer. L’approche en termes d’énergie parle de cette clientèle qui compte aujourd’hui presque autant d’hommes que de femmes. Fait nouveau, elle est souvent « envoyée » par des professionnels de santé, médecins, ostéopathes, lorsque les techniques et la pharmacopée disponibles ont montré leurs limites. Certains y voient l’indice d’une volonté d’évolution et d’adaptation, d’une quête de nouvelles approches. « Dans ce contexte si peu enchanteur, jamais autant de gens n’ont eu de rêves prémonitoires, ne se sont mis à écouter leur petite voix ou à développer des dons de guérison » affirme la voyante Maud Kristen.
Sommes-nous en train de redécouvrir des capacités de perception oubliées depuis longtemps ?
« Depuis trois-quatre ans, je reçois un nombre croissant de personnes bien insérées dans la société à des postes importants : des médecins, parfois des banquiers. Les gens sont lassés du matérialisme, et ont envie d’autre chose que la vie matérielle, même s’ils ne la renient pas », souligne Patrick Baudin, médecin devenu thérapeute. Ce changement d’orientation ouvrirait la voie aux phénomènes énergétiques qui adviennent plus souvent au cours des stages : « Après une dizaine de minutes d’hyperventilation, certaines personnes ont par exemple la sensation d’avoir des mains énormes et vibrantes, qu’elles devraient utiliser pour faire des soins. » Pour lui, rien de nouveau sous le soleil, nous sommes en train de redécouvrir des capacités qui ont de tout temps existé, « une énergie vivante qui imprègne la création : on est tout simplement en train de lui redonner libre cours. »
Source : Inexploré n°17
On l'appelle "Cheetah man", ou "l'homme qui murmure à l'oreille des guépards." Il y a 13 ans, Olivier Houalet a choisi de vivre en Nambie pour tenir avec son père un lodge dans la brousse. Le "destin", dit-il, orchestrera son premier contact avec un guépard.
"On m'a toujours confié une mission : m'occuper d'un jeune guépard abandonné que des voisins avaient recueilli. Il commençait à s'habituer à l'Homme. J'ai vite pris conscience que sa place n'était aux côtés des humais et qu'il serait égoïste d'en faire mon animal de compagnie. J'ai alors installé une relation de confiance, sans attachement, sans chercher à l'apprivoiser, ni à le dominer. Puis, avec l'aide du Cheetah Conservation Fund, j'ai récupéré 5 autres guépards orphelins pour recréer un groupe." Ces guépards ont grandi ensemble en semi-liberté sur les vastes terres du père d'Olivier. "En restant entre eux, ils ont pu retrouver leur instinct de chasseur, et préserver leur nature profonde. Bien qu'ils n'aient pas été éduqués par leur mère, ils ont pu retourner à la vie sauvage. Le jour où ils ont été assez autonomes pour quitter notre territoire fut un véritable moment de grâce. Inoubliable, divin, transcendant."
Âgé aujourd'hui de 32 ans, Olivier Houalet entretient toujours un lien très particulier avec ces félins qu'il réussit à approcher sans la moindre appréhension. "En fait, même avec un animal potentiellement dangereux, une relation est possible. Il suffit d'avoir confiance en la nature, et en soi. Faire à la fois preuve d'humilité et d'assurance. Ne pas avoir peur. Et ne surtout pas se considérer comme un être supérieur mais comme faisant partie du tout, comme un simple lien entre la grande énergie - le champ de conscience - et la réalité matérielle. Ensuite, c'est en pensant comme un guépard que l'on se fera accepter dans leur groupe." Penser comme un guépard ? Cela veut-il vraiment dire quelque chose ? "Oui, tout se passe dans le regard. Dans vos yeux, ils captent vos pensées. Si vous dégagez une force d'esprit, de l'amour pur et du respect , ils comprendront que vous venez les voir en paix et vous toléreront au sein de leur groupe", répond-il.
Aujourd'hui, Olivier Houalet, quand il n'est pas en France pour mener à bien une série documentaire à la découverte de la nature sauvage, s'occupe d'un nouveau groupe de 4 jeunes guépards orphelins. "J'aime passer du temps avec eux dans le but de les accompagner dans cette période de transition. Avec eux, j'entre en contact avec la vérité universelle de la vie. J'ai alors la sensation d'être à ma juste place en tant qu'être humain dans la nature."
Source : Inexploré n°17
Fermer le robinet lorsqu'on se lave les dents, ne pas jeter un pot de verre dans la mauvaise poubelle, enfourcher sa bicyclette par tous les temps... Il faut parfois une ténacité à toute épreuve pour faire siens des réflexes vertueux.
Certaines personnes ont déjà pris de l'avance comparé aux autres, c'est le cas de Nathalie, Marie et Carine, qui trient leurs déchets, maîtrisent eau et énergie, consomment local. Elles conjuguent ainsi le quotidien avec l'éco-responsabilité. Toutefois, cela n'a pas toujours été une mince affaire.
Les encouragements de l'entourage, l'exemple donné dans le quartier ou le village sont autant d'éléments qui font ou non basculer le citoyen dans le camp des consommateurs éco-responsables actifs.
Tri et Transport : les bêtes noires
Un premier geste éco-citoyen tient souvent lieu de porte d'entrée vers l'instauration de nouveaux réflexes. "Au moment de changer de voiture, j'ai décidé d'adhérer à Auto-Partage, et j'en suis ravie. Ce mois-ci, j'ai réussi à ne pas réserver de véhicule ; je me suis rendu compte à quel point on est accro à ce moyen de transport... Dernièrement, j'ai voulu aller plus loin et devenir cliente du crédit coopératif", développe Marie qui soutient que la conscience écologique s'acquiert un geste après l'autre. Pour autant, toutes les habitudes ne s'acquièrent pas aussi facilement. Certaines pratiques deviennent naturelles rapidement parce qu'elles sont bénéfiques pour notre budget, comme la maîtrise de la consommation de l'eau ou de l'énergie.
A l'inverse, le tri sélectif peut rebuter. "On nous dit : pourquoi le faire alors que je ne vois aucune différence sur ma taxe d'ordures ménagères ?", explique Stéphanie, ambassadrice du tri de Haute-Savoie. "On évoque aussi le manque de place pour ranger les différents bacs de collecte, ou le temps perdu à descendre les multiples poubelles et la difficulté à se plier au calendrier de ramassage. Nous tentons donc d'expliquer que trier n'est pas si ardu." Toutefois, ce peut être une gageur lorsque les bornes se trouvent loin de la maison. "Il faut parfois se motiver pour prendre la voiture et aller déposer le verre", illustre Nathalie. Mais le tri n'est pas la seule bête noire des citoyens en quête d'un quotidien plus vert. Dans l'agglomération du pays d'Aubane et de l'Etoile, où le service du développement durable a accompagné sept familles pour les aider à adopter des éco-gestes, le constat est encore différent : "le secteur où l'on a rencontré le plus de difficultés, c'est celui des transports", explique Christelle, chargée de mission développement durable. "Car cela nécessite de modifier en profondeur des habitudes de vie très ancrées." Habitudes parfois dictées par la nécessité : "Pour me rendre au travail, je n'ai pas d'autre choix que la voiture", illustre Carine.
Vous l'avez compris, devenir éco-citoyen est possible en s'y mettant petit à petit, mais il est plus difficile de renoncer à tous ses gestes parasites. On peut espérer qu'une fois tous les services devenues éco-responsables et accessibles, notamment les transports, une grande majorité des français feront alors attention à leurs habitudes, parfois plus néfastes qu'ils le pensent.
Source : Esprit Yoga
Le corps humain émet un rayonnement contenant des informations sur l'individu, affirme le physicien russe Konstantin Korotkov, rencontré au 3ème Congrès international des thérapies quantiques.
Techniquement, ce halo lumineux serait l'expression irradiante de particules de lumière que nous émettons tous : les biophotons. L'ensemble de ces biophotons constituerait un champ cohérent, qui coordonnerait les processus physiologiques dans l'organisme. La technologie du GDV (Gas Discharge Visualization), invention du scientifique russe Konstantin Koroktiv, docteur en électronique physique et en ingénierie médicale, permet de capter ce rayonnement photonique. "Cet appareil de mesure permet de visualiser les problématiques d'un individu sur le plan physique, émotionnel et mental, explique le docteur. Il fournit des informations sur l'état fonctionnel du corps humain, des systèmes et des organes. Il décèle les zones déficientes, en manque ou en surplus d'énergie, permettant de mieux comprendre l'origine d'une maladie, et même d'anticiper un problème physique. Il permet également de contrôler l'efficacité de méthodes de soins énergétiques qui ne sont pas reconnues partout, comme le reiki. De nombreuses expériences ont été menées avec des groupes de volontaires sur lesquels avaient été décelés, grâce à l'appareil, des zones de carences énergétiques Après être passé entre les mains d'un thérapeute, on a clairement constaté que le corps énergétique de ces personnes avaient été réharmonisé."
Sensibiliser la communauté scientifique internationale
« On ne pourra pas empêcher les sceptiques de douter. En toute idée nouvelle a besoin de temps pour être acceptée. Mais les données récoltées lors de nos recherches sont autant de preuves qui démontrent l'existence de ces phénomènes. Nous avons déjà de nombreuses validations : des publications dans différents journaux scientifiques en Russie ou aux Etats-Unis, et le soutien de plusieurs scientifiques renommés comme le professeur Gary Schwartz. Le GDV System a été officiellement certifié par les autorités sanitaires de Russie., où de plus en plus de cabinets de médecins et d’hôpitaux l’utilisent pour prévenir une maladie, ou s’aider dans leur diagnostic. Il est également utilisé par les coachs des équipes olympiques et paralympiques russes pour mesurer l’état mental des sportifs et prédire ainsi leurs performances futures. »
Concrètement, comment le champ d’énergie du corps humain est-il mesuré ? Cet appareil est équipé d’une électrode avec une mini-chambre noire dans laquelle on glisse ses doigts, un par un. Soumis à un champ électromagnétique de haute fréquence, chaque doigt produit un effet « corona », une couronne lumineuse, que l’appareil va photographier. Ces images sont transférées sur un écran d’ordinateur. Un logiciel spécial calcule les émissions de lumière de chaque doigt afin de trouver leur correspondance avec les différents organes et systèmes du corps de la personne. Toutes ces informations sont ensuite projetées sur deux silhouettes, une de face, une de profil, pour permettre de localiser les zones en manque ou en excès d’énergie. D’autres programmes de ce même logiciel évaluent le niveau de stress de chaque individu et apportent des informations sur la circulation d’énergie dans les chakras principaux, ces sept points de jonction des canaux d’énergie du corps, chers à la médecine ayurvédique indienne.
Source : Inexploré
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