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Appelés aussi « pensées positives » ou affirmations, les mantras sont des phrases préconçues ou créées par nous-même selon nos besoins. Ce sont des outils efficaces à utiliser pendant une méditation, lors d’une séance de yoga ou bien simplement pendant notre petit déjeuner. Inspirés des traditions hindous ou bouddhistes, les mantras sont puissants contre le stress, la pensée négative et la rumination. En effet, notre santé ne dépend pas seulement de ce que nous ingérons ou du sport que nous faisons, et la pensée a un effet considérable lorsqu’il s’agit de lutter contre une maladie ou un état émotionnel.
Qu’est ce qu’un mantra ?
Un mantra peut se définir comme une formule (son, mot ou phrase) que l'on répète plusieurs fois pour en retirer un bienfait physique ou spirituel. La récitation de mantras est une pratique commune à plusieurs religions, en particulier l'hindouisme et le bouddhisme, mais également à la pratique du yoga, dans laquelle cette technique peut être utilisée sans connotation religieuse.
Traditionnellement, la récitation d'un mantra a pour objectif de canaliser le mental et d'apaiser le flot de pensées automatiques qui tournent en boucle dans notre esprit. La répétition de sons peut ainsi servir de support de méditation au même titre que d'autres techniques comme se concentrer sur sa respiration ou sur la flamme d'une bougie… Mais l'utilité des mantras ne s'arrête pas là. La vibration du son et sa résonance aurait aussi des effets bénéfiques sur l'organisme. Elle permettrait par exemple de faciliter le lâcher prise, évacuer le stress ou encore améliorer la circulation de l'énergie.
Enfin, dans les traditions orientales, les mantras sont des hymnes sacrés qui appellent une énergie à se manifester par le son et la vibration. Ainsi on appelle à soi la compassion, la sagesse, la guérison, etc. en récitant le mantra.
Essayez !
Les mantras peuvent être répétés à voix haute, en murmurant ou être récités intérieurement. Pour commencer, il est plus facile de les prononcer à voix haute.
Pour réciter un mantra, il est conseillé de :
- choisir un endroit au calme et s'asseoir en tailleur ou sur une chaise, dos bien droit
- prendre une profonde inspiration abdominale avant de commencer
- réciter le mot en laissant la dernière syllabe s’allonger et s'enchaîner avec la première syllabe du suivant
- écouter le son résonner dans sa poitrine
- diminuer progressivement le niveau sonore de sa voix et laisser le dernier mantra se dissoudre dans le silence
- rester encore quelques instants à l’écoute du silence environnant
- ouvrir les yeux s'ils étaient fermés
Voici quelques exemples que vous pouvez utiliser :
Selon la philosophie Reiki :
Selon les 4 Accords toltèques :
Selon le Ho’oponopono :
Vous pouvez créer autant de mantras que nécessaire, et les répéter plusieurs fois par jour. Ainsi votre cerveau imprimera le message et cela s'inscrira dans votre système de croyances.
Retrouvez 6 mantras à avoir toujours sur soi ici !
Source : http://bonheuraunaturel.fr/ - https://www.gralon.net/
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Lors des inter-saisons, ou encore lorsque l’on se sent épuisé, nous avons tendance à avoir envie de detox ! Faire un régime, boire des jus, manger sain, se remettre au sport… Certes toutes ces actions peuvent faire du bien ponctuellement, mais permettent-elles d’installer un sentiment de bien-être et d’amour durable ? Pas vraiment. C’est pour cela qu’Aurore, dans son super blog bonheuraunaturel.fr, nous propose 21 jours de detox mentale et spirituelle, pour retrouver l’énergie et le sourire grâce à des petites actions toutes simples. Prêts à être apaisé ?
Jour 1 : Prenez un bon bain avec des bougies, ou un livre, ou de la musique zen. Si vous n’avez pas de baignoire, prenez une bonne douche chaude puis enroulez-vous dans un peignoir ou plaid et profitez de la détente.
Jour 2 : Faites la liste des 10 choses pour lesquelles vous êtes reconnaissant. Cela peut être d’avoir un toit sur votre tête, un travail que vous aimez, une nouvelle rencontre, une maman chaleureuse, etc.
Jour 3 : Promenez-vous dehors. Admirez la beauté de la nature, le soleil, les arbres, respirez à plein poumons et imprégnez-vous de cette belle énergie.
Jour 4 : Faites le tri, du rangement, le ménage dans votre chambre ou sur votre bureau (ou les deux ?) pour rééquilibrer les bonnes ondes.
Jour 5 : Déconnectez ! Pas de réseau sociaux aujourd’hui. Vous ne pouvez vraiment pas ? Alors déconnexion en dehors du bureau, chez vous, trouvez votre compromis. En route vers la digital detox !
Jour 6 : Essayez un cours de yoga. Si vous connaissez déjà essayez quelque chose de nouveau. Hip hop yoga ? Hot yoga ? Si vous n’avez pas les moyens, faites-le chez vous, internet regorge de vidéos !
Jour 7 : Faites votre liste de souhaits, d’objectifs, tout ce que vous voulez ! Sachez que rien n’est impossible tant que votre âme est en accord et en paix avec cela. C’est la magie de la loi de l’attraction.
Jour 8 : Débarrassez-vous de 5 choses minimum dont vous n’avez plus d’utilité. Vous pouvez jeter ou donner aux associations si cela est possible.
Jour 9 : Désabonnez-vous des newsletters que vous n’ouvrez jamais. Faites le ménage dans votre boîte électronique et votre ordinateur.
Jour 10 : Envoyez 5 messages aux personnes à qui vous tenez. Dites-leur pourquoi vous les aimez, encouragez-les, remerciez-les d’être là pour vous.
Jour 11 : Levez-vous 30 minutes plus tôt pour méditer, pour prendre le temps de respirer, de ne pas être pressé et d’apprécier ce temps pour vous.
Jour 12 : Passez toute la journée sans vous plaindre, sans critiquer les autres et vous-même, sans râler, sans broyer du noir. Vous verrez le changement !
Jour 13 : Faites une chose que vous repoussez à plus tard depuis longtemps. Si, si je suis sûre qu’il y en a une. Stop à la procrastination !
Jour 14 : Vivez l’instant présent, ne pensez pas au passé, n’anticipez pas le futur. Si votre esprit le fait, ce n’est pas grave mais recentrez-vous à chaque fois à ici et maintenant.
Jour 15 : Faites-vous un repas avec quelqu’un que vous aimez, dans un lieu que vous aimez, mangez tout ce qu’il vous fait plaisir, sans penser au reste et appréciez ce moment.
Jour 16 : Visualisez avant de vous coucher les personnes qui ont pu vous faire souffrir, imaginez-les en face de vous, dites ce que vous avez sur le cœur et pardonnez. Pardonnez-les et pardonnez-vous, sincèrement et honnêtement. Ressentez la légèreté sur votre cœur.
Jour 17 : Achetez quelque chose qui vous fait plaisir, sans culpabiliser, sans vouloir compenser pour quelque chose, un objet qui vous rend heureux, auquel vous pensiez depuis un moment.
Jour 18 : Dessinez, coloriez, écrivez, chantez ou dansez. Laissez votre créativité s’exprimer à travers ce que vous aimez le plus pendant une heure, en vous déconnectant du reste.
Jour 19 : Passez du temps au contact d’un animal. Le vôtre, celui d’un ami, d’un parent, dans une association, dans la nature. Admirez la simplicité et la beauté dans son regard.
Jour 20 : Faites la liste de tout ce que vous aimez chez vous. Physiquement ou mentalement, il y a plein de choses c’est certain. Puis mettez-vous devant un miroir et dites 5 fois « Désolé, pardon, merci, je t’aime ».
Jour 21 : Ne faites rien (idéalement un samedi ou dimanche). Ne pensez à rien. Trainez en pyjama, regardez des séries, des films, sans culpabiliser, sans penser à demain. Faites simplement lorsque vous étiez enfant, passez la journée avec le sourire (vous pouvez même sauter sur votre lit si vous voulez) !
L’idée de ce programme n’est pas de vous stresser ou juger. Et si un jour vous n'avez pas le temps, il vous suffira de faire votre action le lendemain. Même si cette liste peut paraitre simple, sachez que toutes ces petites actions ont le pouvoir d'impacter positivement votre vie, au delà de vos espérances !
Envie d'aller plus loin ? Retrouvez ici pleins de défis zen !
C'est à vous ! 🙂
Source : http://bonheuraunaturel.fr/
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Pour de nombreux experts en numérologie, le mois de Novembre est un mois hautement symbolique, et est considéré comme l’un des moments les plus significatifs de l’année. Pourquoi ? Car Novembre est le 11ème mois de l’année, en en numérologie, le 11 détient la vibration sacrée de la créativité, de l’unité et de la conscience supérieure.
La symbolique du numéro 1
Tout d’abord, le 1 représente l’unité et l’uniformité. Nous sommes tous connectés et nous ne faisons qu’un, et l’énergie du numéro 1 nous le rappelle. Il représente également les nouveaux départs et les commencements d’une nouvelle vie, ainsi que le processus créatif au moment où nous réalisons notre premier pas dans une nouvelle direction.
La symbolique spirituelle du mois de Novembre
Nous retrouvons de nombreuses légendes autour du mois de Novembre, notamment concernant le 1er et le 11. Par exemple, à l’époque païenne, le rituel de Samhain (qui est maintenant célébré comme Halloween) tombe le 1er novembre. On croit que durant les heures les plus sombres de la matinée du 1/11, le voile entre les vivants et les morts est le plus fin. En effet, en numérologie, le 1er Novembre, date indiquant le 111, représente les trois dimensions : le monde souterrain, la Terre et le monde d’en-haut. On croyait qu’à cette date, les êtres vivants pouvaient circuler librement à travers toutes les dimensions. Ainsi, parmi tous les jours du mois, le 11 novembre aura la vibration la plus puissante. C’est une énergie hautement créative et le moment idéal pour réfléchir à ce que vous voulez voir apparaître dans votre vie. En raison de la vibration élevée de ce jour, vous êtes également plus susceptible de créer et de manifester des choses dans votre vie qui sont alignées avec votre âme et votre chemin suprême.
Toute la vibration de Novembre veut ainsi tous nous guider et nous rendre plus conscients aux niveaux plus élevés afin que nous puissions nous sentir connectés à notre objectif. Peu importe ce que la vie vous réserve, nous avons tous le pouvoir de participer à sa création et d’être des participants actifs à notre réalité. Nous n’avons peut-être pas le contrôle sur tout, mais nous pouvons certainement contrôler la façon dont nous choisissons de réagir aux choses.
Dans cette optique, nous pouvons donc tous utiliser l’énergie qui nous est offerte en Novembre pour nous aider à devenir créateurs de la vie de nos rêves. Nous pouvons tous utiliser cette énergie pour engendrer plus d’amour, d’abondance et de gratitude, et tout ce que nous devons faire est de commencer à concentrer notre attention sur ce que nous voulons, plutôt que sur ce que nous ne voulons pas.
Enfin, cette puissante manifestation de l’énergie est amplifiée car nous traversons actuellement des années avec un numéro 1. Vous pouvez donc utiliser l’énergie de ce mois de Novembre 2017 pour commencer à manifester et définir vos intentions pour l’année à venir.
Source : https://www.espritsciencemetaphysiques.com/
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Êtes-vous conscient que vos problèmes proviennent à 100% de ce que vous pensez ? En effet, lorsque nous sommes dans notre tête, nous sommes victimes de la tyrannie de la pensée qui nous créée un flux incessants de problèmes. Or le bonheur et l’apaisement n’est accessible que lorsque l’on réussit à retrouver la présence à ce qui est, et la pleine conscience à la vie. Cet article vous explique comment lâcher les prises de tête et être heureux, simplement par la pleine conscience.
Le mental, ce créateur de problèmes
Vous en êtes certainement conscient, nous passons beaucoup de temps dans notre tête. C’est à dire à prévoir, organiser, commenter, juger, imaginer, planifier…et par conséquent très très peu de temps dans l’instant présent.
Il est vrai qu’il se passe tout un tas de chose dans notre tête, vraiment pas de quoi s’ennuyer. Ce ne sont pas moins de 60.000 pensées qui nous traverseraient l’esprit chaque jour ! Par conséquent, on se trouve vite submergé par le nombre incalculable de problématiques auxquelles nous n’avons pas réponse ou de scénarios potentiels pour lesquels prévoir une infinité de solutions.
Réfléchissez, lorsque vous sortez des transports pour rentrer chez vous, où lorsque vous réalisez telle ou telle tâche, êtes-vous vraiment présent, ou faites-vous les choses machinalement, sans même vous en rendre compte ? Où étiez-vous vraiment ? Où se trouvait réellement votre conscience ? En effet, les instants où nous sommes réellement dans l’ici et maintenant sont finalement très rares, car nous avons oublié l’importance d’être dans le présent. Et c’est ainsi que l’on prend l’habitude d’être absent, et au lieu de vivre ce que l’on vit, d’être où l’on est, de faire ce que l’on fait, nous sommes ailleurs. Nous sommes dans notre tête ! Et le problème est que être dans sa tête, c’est se créer des problèmes sans fin ! Nous essayons de trouver des solutions à des problèmes, de planifier le temps à venir, de faire des listes de choses à faire, de juger ou commenter ce qui se passe de ressasser les événements passés…
Autant de choses qui n’existent pas ! Qui ne sont que des projections imaginaires. Car oui, ce à quoi nous pensons n’existe pas réellement, il n’existe que par le fait que nous y pensons. Tout ce que vous pensez sont des pensées, des projections, des histoires ou des scénarios. Le passé n’existe plus et le futur n’existe pas encore… Ils n’existent tous deux que par l’attention qu’on leur donne. Ce qui est réel se trouve ici : sous vos pieds, devant vos yeux, à votre contact, en ce moment même, ici et maintenant.
Le temps que nous passons à être dans notre tête est du temps où nous nous déconnectons de l’instant présent. Nous nous déconnectons de l’Être pour aller dans l’imaginaire. Alors comment arrêter de dépenser toute cette énergie mentale inutilement, et ainsi retrouver une pleine capacité à être heureux ?
Vivre en conscience
Il n’y a pas énormément de solutions pour sortir du mental. En fait, il n’y en a qu’une seule, qui marche à coup sûr et peu importe les circonstances : c’est le fait d’être pleinement conscient du moment présent. C’est à dire être totalement immergé dans ce que vous faites, être totalement présent où vous êtes, et être en pleine attention à vos sens. On sort du passé et du futur. On cesse de penser à ce qui a été et de prévoir ce qui sera, on est ce qui est. Cela nous retire alors la totalité de nos contraintes et de nos problèmes, puisqu’ils sont tous basés sur des moments imaginaires : le passé et le futur. Magique n’est-ce pas ?
Ce n’est pas pour autant que nous ne continuons pas à créer notre futur, bien au contraire : lorsque nous sommes présents, et que nous créons ici et maintenant du bien-être, alors notre futur se créé de lui-même en correspondance avec cet état que nous vivons, cette énergie que nous vibrons. Et le fait d’être pleinement immergé dans l’ici et maintenant amène la satisfaction et le bien-être sans conditions. Il n’y a rien à trouver, à résoudre, à faire. Il suffit d’être.
Alors comment faire ? Il suffit de prendre l’habitude de la pleine conscience. Amusez-vous et proposez-vous des challenges à faire tout au long de la journée, des choses à faire en pleine conscience, pendant quelques minutes. Par exemple, marchez en étant conscient. Sentez vos pieds sur le sol, le rythme de votre respiration, les odeurs qui passent, savourez la vue, sentez votre corps se mouvoir. Soyez pleinement présent à vous-même, et à l’environnement où vous vous trouvez. Si une pensée se présente, laissez là passer. Pour commencer, vous pouvez :
Les bonnes habitudes commencent toujours par des petites actions 🙂
Source : http://www.sciencedesoi.com/
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Et si nous prenions nos décisions avec notre coeur plutôt qu’avec notre cerveau, notre vie nous ressemblerai-t’elle plus ? Ce qui est certain, c’est que des études scientifiques récentes nous informent des nouvelles intelligences intrinsèques à l’être humain, notamment celles du ventre et du coeur, et que leur potentiel serait bien plus important que ce que l’on a pu imaginer jusqu’ici...
L’intuition, le résultat d’une collaboration subtile entre le coeur et l’esprit
Nous pouvons dire que l'intuition est l’un des plus grands défis que la science ai connu ces 20 dernières années. En effet c’est un phénomène extraordinaire de part sa redoutable efficacité.
En neurosciences, les chercheurs essaient de déterminer comment on pouvait identifier le système de perception de l’intuition et quelles étaient les fonctions dans le corps humain qui géraient et activaient son fonctionnement. En est ressorti que, en intuition, la capacité à prévoir les possibles ne peut selon toute vraisemblance être détenue par la seule propriété du cerveau. C’est ainsi qu’un certain nombre de recherches ont été effectuées et il en a résulté que l’intuition est avant tout une étroite collaboration en le coeur et le cerveau.
D’ailleurs, saviez-vous que la perception, le traitement et l’interprétation de l’information intuitive s’effectuent d’abord par le coeur et seulement ensuite par le cerveau ? Plus étonnant encore, il apparaîtrait que cette communication entre le coeur et le cerveau serait un des circuits de transmission idéale de l’intuition. En effet, il a été étudié que certains aspects de notre système de perception est continuellement en état d’exploration du futur. Ce qui est extraordinaire dans cette recherche scientifique, c’est qu’on s’est rendu compte en étudiant les phénomènes de conductivité de la peau humaine que celle-ci est capable de répondre via le cœur à des stimuli émotionnels plusieurs secondes avant que le cerveau ne capte l’information.
Ces résultats impressionnants suggèrent que le cœur joue un rôle de premier plan dans la perception émotionnelle. Ceci nous amène à mieux comprendre ce que nous savons tous intuitivement. Que le cœur joue un rôle déterminant dans la perception des émotions, dans notre relation à nous-même et bien sûr au cœur de notre environnement.
L’intelligence quantique du coeur
Sur le même sujet, Stéphane Drouet, ancien juriste devenu coach et psycho-praticien neuro-quantique nous explique qu’aujourd’hui, via les neurosciences modernes, nous savons que le cerveau est fainéant et qu’il fonctionne à l’économie. Et dans le contexte actuel de sur-information, où nous sommes constamment sollicités, le cerveau est dépassé. Il a généré en conséquence une maladie de civilisation : le stress.
Mais des nouvelles études nous parlent d’une nouvelle forme d’intelligence à la portée de chacun : celle du coeur, formée de 40 000 neurones. Celle-ci, à la lumière des travaux de la physique quantique et des neurosciences, serait le prochain saut d’évolution de l’humanité, qui nous donnerait accès à plus de bien-être, de potentiel, de paix et d'empathie…pour nous et pour notre planète ! Les perceptions invisibles du cœur sont fondamentalement sans limites par rapport aux perceptions étroites des cerveaux de la tête et du ventre, nous permettant d’accéder à notre génie oublié depuis l’âge de deux ans.
Selon lui, l’intelligence du coeur “ transforme notre regard “, nous permettant ainsi de nous créer la vie que nous voulons, qui nous correspond vraiment. En effet, la réalité que nous vivons n’est qu’une construction imagée de notre cerveau. Si nous changeons notre regard sur la vie, nous pouvons donc créer notre quotidien, avec ses ordres et désordres. Oui ces ordres et désordres…De la même façon que les particules sont constituées d’énergies opposées ( mais complémentaires), nous pouvons voir un sens positif dans toute expérience négative subie. Ainsi s’il n’y a pas de réalité absolue, nous sommes donc maîtres de ce que nous voyons et par conséquent de notre réalité.
Pour aller plus loin, retrouvez l'ouvrage de Stéphane Drouet sur ce sujet : L’intelligence quantique du cœur
Source : https://www.intuition-et-connaissance.com
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Nous avons tous un passé, et certaines théories nous expliquent que nos ancêtres peuvent avoir une réelle influence sur des domaines de notre vie quotidienne tels que notre vie de couple, nos rapports familiaux, notre capacité à trouver notre voie professionnelle ou encore notre prédisposition à être heureux ! Et si nos troubles “commémoraient” les faits marquants de la vie de nos ancêtres ? Cette technique, qui étudie les répétitions sur plusieurs générations, donne des résultats étonnants. Explications.
Qu’est ce que la psychogénéalogie ?
C’est Karl Jung , célèbre psychiatre, qui a ouvert la voie à la psychogénéalogie avec sa théorie de l’inconscient collectif. Puis, dans les années 70, Anne Ancelin Schützenberger, psychothérapeute, lui a donné un véritable essor. C’est en s’intéressant à l’histoire familiale de malades qu’elle a mis en évidence le « syndrome d’anniversaire ». Ce syndrome met en évidence le fait que des événements vécus par des ancêtres peuvent rejaillir sur les générations suivantes. Pour échapper à cette fatalité, les thérapeutes utilisant cette méthode proposent une thérapie de groupe ou une thérapie individuelle pour aller plus loin. Selon la psychogénéalogie, on hériterait de nos ancêtres non seulement des traits physiques, mais aussi des caractéristiques psychologiques qui nous pousseraient à reproduire les mêmes comportements.
Comment se déroule une séance de psychogénéalogie ?
La psychogénéalogie est une thérapie prenant en considération le passé familial de la personne. Dans un premier temps, le thérapeute propose à son patient de créer un génosociogramme. Il s’agit d’un sorte d’arbre généalogique sur lequel on mettra en évidence les phénomènes à répétition, comme par exemple les accidents, les non-dits, etc. Ensuite, pour approfondir, il faudra entreprendre une véritable enquête généalogique sur la famille en consultant des documents officiels sur plusieurs générations. Ainsi, cette méthode un peu particulière ne s’arrête pas seulement à l’enfance de la personne, comme la plupart des thérapies, mais va beaucoup plus loin dans le passé, parfois même dans un passé complètement inconnu de la personne.
Aux cours des séances, la personne pourra percevoir comment chez elle, la transmission de son passé a pu influencer son présent. Telles des détectives de la mémoire, les thérapeutes guideront la personne à comprendre les comportements pathologiques qui se transmettent de générations en générations. A partir de là il sera possible de les éviter ou de les corriger.
Que cherche t’on dans le passé ?
On cherche dans le passé de la personne des comportements personnels ou familiaux qui se transmettent de génération en génération. On distingue alors deux formes de transmission :
On pense que nos gênes seraient marqués, voire imprégnés des événements familiaux passés et cela aussi bien dans le sens positif que négatif.
Que peut vous apporter cette méthode ?
Elle permet de rompre la chaîne inconsciente qui nous fait reproduire les schémas de comportements. Par exemple, une mère reproduira souvent avec son enfant, les mêmes comportements que sa mère a eus avec elle. Si ces comportements n’étaient pas adaptés, prise aux pièges de son passé, elle aura de la peine à sortir du cercle vicieux. Dans ce cas il faudra rompre la chaîne et selon les psychiatres, cela n’est pas qu’une question d’intelligence mais un travail sur soi. La psychogénéalogie est donc une approche qui peut être intéressante pour certaines personnes qui sont dans une situation de transmission des comportements, sans pour autant réussir à agir différemment.
Pour aller plus loin dans cette recherche, vous retrouverez de nombreuses informations sur cette méthode dans le best-seller d’Anne-A. Schützenberger « Aïe, mes aïeux ! »
Source : https://www.sciencehumaine.info
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Depuis la nuit des temps, les hommes ont constaté certaines coïncidences, certains hasards dans leurs vies, sans pour autant pouvoir expliquer pourquoi ces événements se manifestaient. Pour le psychiatre suisse Carl Gustav Jung, ces hasards n’ont rien d’une coïncidence ! Au contraire, il voit dans ces événements liés par le sens et non par la cause, une forme de réponse de l’univers à un besoin exprimé consciemment ou inconsciemment par la personne, et venant transcender l’espace et le temps.
Parfois, ces synchronicités sont de réelles aides pour traverser une situation que l’on est en train de vivre. Voici quelques exemples de ces messages de l’univers…
● Rencontrer une personne à qui vous étiez justement en train de penser : Ou encore recevoir un appel, un sms, ou un mail de cette personne. C’est sûr, elle a quelque chose à vous apporter !
● Tomber par hasard sur un produit qui résout un problème : Quand soudain, vous voyez une annonce à la télé ou lisez un article sur l’étagère d’un magasin qui vous interpelle sur ce dont vous avez besoin maintenant, sans pour autant l’avoir cherché !
● Regarder un film qui rédige un scénario reflétant une situation à laquelle vous faite actuellement face dans votre vie : Vous êtes devant votre télévision et vous vous reconnaissez soudainement dans la situation vécue par l’acteur.
● Entendre parler des inconnus dans la rue discutant à haute voix d’un sujet sur lequel vous étiez en train de réfléchir : Vous tenez un monologue dans votre tête avec vous-même sur telle chose, et des personnes parle exactement de la même !
● Rencontrer par hasard une personne qui vous aide à relever un défi : Quand vous êtes bloqué dans une situation et que quelqu’un vous aide à dépasser cela, comme si elle avait été directement mise sur votre route pour vous aider.
● Recevoir un message rassurant de façon inattendue, au moment où vous en aviez vraiment besoin : À l’instant même où vous vous sentez proche de l’épuisement, votre enfant se tourne brusquement vers vous et vous dit « Je t’aime », ou vous recevez un sms encourageant d’un proche.
● Quand tout s’enchaîne parfaitement : Quand vous avez un emploi du temps chargé et peur de ne pas pour voir tout gérer en même temps, et qu’une incroyable coordination se met en place !
La vie est pleine de magie, alors soyez assez ouverts pour la recevoir 🙂
Source : https://www.espritsciencemetaphysiques.com
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Définition :
Il faut distinguer l’infertilité et la stérilité. La stérilité est l’incapacité de concevoir naturellement, de porter ou d’accoucher un enfant sain. Le terme d’infertilité est appliqué à un couple qui ne parvient pas à avoir un enfant après un an de rapports sexuels réguliers, ce qui n’implique pas forcément l’impossibilité de fécondation dans un temps plus long.
Parmi les facteurs incriminés dans l'infertilité, on trouve l’exposition aux pesticides, la consommation d’alcool ou de tabac, les conservateurs et autres substances toxiques présents dans l'alimentation industrielle, certains traitements comme la chimiothérapie, les radiations, la pollution, l'obésité, le stress, la prise antérieure de la pilule contraceptive qui a pu dérégler le cycle...
L'infertilité chez les femmes est liée à des troubles ovulatoires dans 35% des cas, une obstruction tubaire dans 35% des cas également, endométriose dans 20% des cas. Les autres causes représentant environ 10% des cas.
L’action de la Hijama, la Thérapie par les ventouses
Avant tout, un petit rappel sur la Hijama. La Hijama humide est une méthode thérapeutique qui consiste à réaliser des incisions épidermiques très superficielles, ne laissant aucune cicatrice, à des points bien précis du corps humain.
Des ventouses sont ensuite appliquées sur les zones afin d’aspirer le "mauvais" sang, un sang chargé en toxines et substances excédentaires (sucre en cas de diabète, cholestérol en cas d'hypercholestérolèmie,acide urique, créatinine...).
C’est une technique ancestrale datant de l’époque pharaonique, indolore et extrêmement efficace contre divers maux. Elle purifie le sang, or le sang, c'est la Vie. De plus, par l'aspiration des ventouses, la Hijama provoque un "massage" profond des organes et une stimulation de leur métabolisme et l'activation de la ciculation.
La Hijama permettra de stimuler les ovaires et donc la production d’hormones ovariennes en appliquant les points 11,12,13 en hijama humide et les points 125 et 126 en hijama sèche. La hijama permettra également de réguler l’activité de la glande hypophysaire et donc la production de FSH et de LH afin de provoquer l’ovulation. Il conviendra de placer le point 1 et le point 55, ainsi que les points 41, 42 et/ou 32.
Points
1-55 : point de référence dans la hijama, régule tout le système hormonal et en particulier la Thyroïde.
6 : en regard de la vésicule biliaire, entre épine de l'omoplate droite et rachis dorsal adjacent. C'est un point apportant une relaxation profonde et un lâcher-prise.
11 12 13 : 3cm au dessus du pli inter-fessier, les points 12 et 13 environ 5 cm de part et d'autre du point 11 et légèrement au dessus de celui-ci.
49 : entre les omoplates (zone de contrôle de l'immunité)
125 & 126 : au niveau du pli de l'aine, on traite trouble urinaire et fertilité.
143 : Au niveau du pubis en regard de la vessie
41 & 42 : Arrière de la tête de part et d'autre du point 40 au milieu du cou. 32 : au sommet de la tête
120 : Milieu du sternum
Mettez toutes les chances de votre côté grâce au pollen de palmier
Le pollen de palmier est utilisé depuis la nuit des temps en Arabie pour ses effets tonifiants et stimulants. En effet, riche en matière grasse et surtout par la présence d’une hormone : l’oestrone, il sera bénéfique dans le traitement de l’infertilité masculine et féminine.
De manière générale, le pollen est, comme le miel, une substance naturelle aux propriétés reconnues.
« Le pollen de palmier-dattier est connu pour ces propriétés stimulatrices des hormones ovariennes » d’après l’ouvrage du Dr Aït M’Hammed.
Très volatile, il sera associé à du miel et pourquoi pas à de la gelée royale.
Le plus, est que le pollen agit progressivement et surtout en profondeur. Il faut donc une prise sur au moins 2 à 3 semaines pour commencer à bénéficier de ces bienfaits. La bonne nouvelle, c’est que les effets d’une cure peuvent se prolonger plusieurs semaines après son arrêt. 😉
N'oubliez pas le facteur psychologique
Les séances de magnétisme peuvent aider à enlever les blocages psychologiques, à trouver sa place dans le couple et y trouver son épanouissement et à se libérer du stress, autant d'aspects fondamentaux pour débuter et vivre une grossesse heureuse.
Claire Lemaître, Magnétiseuse/Guérisseuse et Praticenne en Hijama, je peux vous recevoir à Paris dans le 13e pour vous accompagner dans cette démarche de donner la Vie. Vous pouvez me joindre au 06 44 92 48 40.
https://www.neobienetre.fr/annuaire-therapeutes-bien-etre/claire-lemaitre-hijama-energeticienne/
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A une époque où les méthodes éducatives sont de plus en plus controversées, des écoles alternatives fleurissent ça et là pour ouvrir d’autres horizons. Au-delà de la diversité des approches pédagogiques, peut-être nous rappellent-elles également que l’éducation de l’Homme est un sujet beaucoup plus vaste que ce que l’on a tendance à imaginer au premier abord.
Pour la Tradition initiatique, l’enfance et l’éducation jouent un rôle fondamental dans la vie de tout homme, de toute femme. Le passage dans le monde de la matière y est considéré comme un processus ininterrompu de naissances successives ou de préparation à l’autre naissance, qui est le moment de la mort. Dans cette optique, l’éducation est permanente. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle selon elle, les enfants, mais également les adultes, doivent être éduqués tout au long de leur vie, de façon à éveiller leur potentiel intérieur. Ils seront alors conduits à agir selon des valeurs universelles de respect de l’autre, de conscience, de compréhension et surtout, en étant forts d’expériences vivantes.
Chaque homme naît dans le monde comme une graine, comme une possibilité. C’est cela qui différencie l’homme de toutes les autres créatures du monde : il naît imparfait. Le chien est un chien, le chat est un chat..., mais l’homme, personne ne sait ce qu’il est. Une grande partie de son devenir dépend de lui. Il porte caché à l’intérieur un trésor sublime, une beauté parfaite qui peut transformer la terre. Cet amour, cette conscience, cette force ne sont pas un dû, ils doivent être recherchés et soigneusement cultivés. L’homme peut très bien vivre sans jamais se connaître, sans jamais fleurir, en passant à côté du trésor. Sa vie deviendra banale, morne, triste, végétative.
Pour fleurir, la fleur n’a qu’à laisser les choses se faire. C’est pareil pour l’éléphant, c’est la vie qui le fera être lui-même, devenir conforme à sa semence. Il n’a rien de plus à atteindre. L’homme, lui, ne peut pas être passif, sa conscience et sa libre volonté ne peuvent pas le permettre. Être un homme, cela se gagne, c’est un chemin intérieur, un savoir profond, une évolution sans limites. L’évolution de l’homme n’est pas limitée à sa forme, à son image. Il possède en lui le pouvoir de se développer à l’infini jusqu’à atteindre l’omniscience, l’absolu. Qui peut fixer une limite à la conscience et à l’intelligence humaine ?
La culture en question
Combien de fois n’avons-nous pas entendu la petite phrase toute faite « Dans la vie, il faut tout essayer » dans la bouche de gens qui cherchaient surtout à se justifier plutôt qu’à rendre hommage à la sagesse des mondes. Ce qui est le plus surprenant, c’est que cette parole est toujours utilisée pour autoriser les expériences les plus proches de la nature inférieure de l’homme. Il faut essayer tout ce qui dégrade l’homme, l’affaiblit, le rend malade, mais pour ce qui le renforce, l’illumine et le rapproche du paradis, d’une nature supérieure, divine, ça, on n’en parle jamais. On essaie le sexe, la drogue, l’alcool, le mensonge, mais rarement la méditation, la sainteté, la maîtrise de soi, l’union mystique.
Cet état d’esprit provient de l’éducation qui pousse à ne considérer comme vrai que ce qui peut être perçu par les sens physiques. Ainsi, toute une partie de l’homme est tout simplement occultée. Pour la science initiatique, le corps physique n’est qu’une petite partie de l’homme et la réalité matérielle n’est aussi qu’une partie de la réalité. L’homme global est beaucoup plus vaste que le corps physique ; il appartient à plusieurs mondes de plus en plus subtils.
En abdiquant sa réalité supérieure et en ne se concentrant que sur les besoins physiques, l’homme court le grand risque d’être pris au piège, capturé par les forces souterraines de sa nature inférieure. Une véritable éducation devrait inciter les humains à prendre en compte les niveaux plus élevés et subtils de l’existence afin de développer d’autres forces, d’autres capacités, d’autres besoins qui les rendraient plus forts, plus aptes à canaliser les puissantes énergies de la nature souterraine. Pourquoi faire toujours des expériences grossières qui abrutissent et délaisser la conscience et la vie supérieure ?
Dès qu’un homme parle dans les médias de ses expériences sexuelles extraordinaires, de sa toxicomanie, tout le monde l’accepte et le comprend. Faire autrement serait ne pas être tolérant pour l’opinion publique. Par contre, si un autre vient témoigner de son amour pour Dieu, de sa pratique de la méditation, il est tout de suite regardé du « mauvais œil ». On se demande s’il n’est pas dans une « secte » et on le considère comme un simple d’esprit, comme un déséquilibré.
Tout le monde connaît la nature inférieure et tout le monde l’accepte. Par contre, les régions élevées de l’homme, ses corps subtils, le côté divin de sa conscience demeurent un mystère, un tabou, un interdit. C’est une zone militaire frappée du secret-défense. Dès qu’un homme ose s’aventurer dans ces régions, il transgresse un interdit, il devient un ennemi de la patrie, un traître.
Le respect et l’enfant
Une nouvelle culture du respect peut sauver l’humanité et la libérer des nuisances psychiques qui l’oppressent et veulent l’envahir. Inviter le respect dans sa propre vie, cela revient à s’éduquer soi-même et à entrer dans la grande école de la terre.
Le respect est capable de rendre l’humanité à l’homme, il ouvrira un champ d’investigations jusqu’ici insoupçonné. Il enseignera une nouvelle pédagogie, une nouvelle histoire, une nouvelle géographie. Il abolira les frontières mentales et psychiques, il proclamera la fraternité universelle et ouvrira de grands horizons. Il est le remède aux maux de l’humanité.
Quand comprendra-t-on enfin que les enfants ne sont pas seulement influencés par ce qu’on leur enseigne, mais aussi et surtout par la vie intérieure de leurs professeurs ? Le respect tisse une ambiance de douceur, de subtilité, d’amitié, d’amour. Il purifie l’air, l’atmosphère et il les prépare à recevoir toutes les qualités de l’esprit, à s’en imprégner. L’atmosphère est le fondement de toute éducation puisque c’est le lieu de respiration commun. Que l’éducateur parle, pense ou éprouve des émotions, cela s’imprime dans l’atmosphère et agit sur les tout-petits.
L’atmosphère naturelle du respect se charge de l’amour qui bannit toutes les peurs. Trouvant la force d’affronter les peurs de la vie, l’enfant devient plus fort pour oser et pour grandir. Le respect et l’amour suscitent toujours la floraison du meilleur dans les enfants et les hommes.
Le respect enseigne la patience et le calme. Il est un remède contre l’irritation, qui est un véritable poison pour notre époque. De l’accumulation de l’irritation naissent la maladie, la colère, les forces de destruction. Dans l’atmosphère de patience, l’enfant peut approfondir, trouver le vivant au fond de lui, entrer dans les profondeurs et s’enraciner dans la vérité, dans l’authentique.
L’enracinement dans la conscience du vrai profond fait naître la confiance en soi, le sentiment de responsabilité, et donc la force d’être et de participer au travail d’ensemble avec liberté et engagement. C’est dans le sentiment d’être responsable que l’enfant sent vivre son âme individuelle pour la première fois. Une telle prise de conscience, une telle formation ne sont possibles que dans une certaine atmosphère. Permettre à un être de fleurir, c’est aussi lui accorder notre confiance en plus de notre protection.
Respecter, c’est aussi accorder sa compréhension aimante même dans l’échec. L’échec devient un moyen de devenir plus fort, plus conscient. Il doit être intégré dans l’éducation. Il ne faut pas le rechercher, mais il a sa place, non pas pour dévaluer, mais pour augmenter la connaissance des lois de la vie et la solidarité.
Renforcer le respect devrait être la tâche de tout être qui s’engage sur un chemin d’éveil et de service.
Le respect de l’individualité
Aucun être ne doit être endoctriné, car ce serait un viol de l’âme et un manque de respect.
L’éducation ne consiste pas à programmer un être comme un ordinateur, une machine pour en faire un parfait petit soldat conditionné qui obéira aux ordres sans réfléchir, sans discuter.
L’éducation n’est pas un endoctrinement pour faire passer d’une génération à l’autre les mêmes peurs, les mêmes tares, les mêmes croyances stériles, les mêmes échecs.
Éduquer un être n’est pas le détruire, lui enlever sa beauté, sa dignité en lui imposant un monde qui va atrophier ses sens, éteindre sa capacité d’éveil, émousser sa sensibilité.
L’éducation doit être libre de peurs et elle doit être fondée sur le monde réel et non pas sur un système pensé et fabriqué par l’homme uniquement, réservé à une vie d’homme.
Bien sûr, il y a l’idéal et de l’autre côté, la réalité, et dans cette dernière, le minimum, c’est être maître de soi et connaître les clés de la destinée pour passer à travers les mondes sans se faire attraper et être conduit en esclavage.
Avant, l’éducateur conduisait son apprenti dans la forêt pour lui transmettre la tradition vivante. La première école a été la terre. Aujourd’hui, c’est la même chose, sauf que la forêt, c’est le monde de l’homme. C’est un monde avec des pièges, des poisons, des prédateurs, des animaux féroces qui n’ont aucune sagesse et aucune morale en eux. Heureusement, il y a également des lieux de paix, des endroits magiques avec des fruits savoureux. Voilà le vrai apprentissage et il n’y a pas d’âge pour apprendre, bien que celui qui est formé jeune évitera beaucoup de déboires dans sa vie.
Les Pays-Bas ont fait une expérience. À un carrefour achalandé où il y avait beaucoup d’accidents, on a enlevé tous les feux rouges et on a posé un panneau qui disait « Espace partagé ». Il n’y a plus eu d’accidents. Les hommes se sont éveillés et ils ont pris leur vie en mains. Quand on responsabilise les hommes et qu’on les laisse libres, ils établissent un espace partagé, un espace de respect. C’est un exemple d’une éducation tournée vers le haut plutôt que vers le bas.
Une éducation fondée sur l’éveil
de la nature supérieure de l’homme
Depuis la nuit des temps, la science initiatique s’est intéressée à la nature invisible et subtile de l’homme. Elle a enseigné que l’homme était un microcosme et qu’il portait en lui toutes les régions visibles et invisibles de l’univers. Elle a dit que l’esprit de l’homme était un avec l’esprit de Dieu Lui-même et que sous certaines conditions, il pouvait en faire l’expérience.
Confiner l’homme dans son corps physique et le maintenir en dessous de la nature souterraine, c’est le rendre esclave des pulsions les plus instinctives. Cela ne peut engendrer que la destruction, la guerre et la souffrance, comme on le voit à l’heure actuelle. Permettre à l’homme de s’épanouir vers les régions supérieures de sa conscience et de sa nature, c’est ouvrir un chemin d’ennoblissement, de liberté et de bonheur. Tout cela est une question d’éducation.
Une nouvelle éducation qui sera fondée sur le respect de la nature supérieure de l’homme et de sa vie doit apparaître. Comment éduquer un être en ne s’intéressant qu’à son corps physique et son moi né de la terre ? C’est par leur propre vie intérieure rayonnante, par leur propre exemple que les éducateurs doivent former les enfants et que les dirigeants doivent guider leur pays.
Seule la nature supérieure peut donner la force et la capacité de maîtriser la nature inférieure, de la diriger et de la mettre au travail pour construire un royaume d’harmonie, de justice, d’amour, d’abondance. Ainsi, la véritable éducation est la science de la floraison humaine jusqu’à ce que l’homme acquière la maîtrise de sa nature inférieure et la fasse servir à des œuvres bénéfiques et grandioses. Alors le respect triomphe entre l’élève et le maître, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’homme. Comment un élève pourra-t-il respecter et même aimer un professeur qui n’a pas éveillé le divin en lui ? Ce sera un faux respect, un abrutissement.
Transmettre le feu sacré
Eduquer, c’est transmettre le feu sacré à l’autre, le feu qui permet de voir clair en soi et dans le monde et de se protéger de l’obscurité, du froid et des bêtes sauvages. Ce feu mythologique, c’est la connaissance de l’essence divine de l’âme humaine. Lorsqu’il est allumé, il permet de discerner les influences du moi extérieur et de les mettre au service du moi intérieur. La conscience comprend alors que le corps né de la terre n’est pas sa véritable patrie, mais qu’il vient d’un royaume spirituel, de régions beaucoup plus élevées. Elle est venue sur la terre pour allumer un feu sacré d’intelligence, d’amour, de guérison. Elle est venue pour bâtir dans le monde terrestre une réplique du royaume d’en haut.
Chaque individu est une étincelle du feu céleste qui embrase l’infini. En ranimant la flamme de Lumière de l’intelligence, il peut s’unir de nouveau à l’intelligence cosmique. Si 2 flammes brillent dans une même atmosphère, leurs lumières s’unissent dans la perfection. C’est l’expérience du véritable amour fraternel. Que peut-on aimer par-dessus tout en l’autre ? La même essence divine qui brille à l’intérieur de soi ! L’éducateur ressemble alors à un homme qui souffle doucement sur des braises pour rallumer un feu endormi : la mémoire originelle de la nature réelle de l’homme en l’autre.
Dans le fond, les hommes ont peur de l’éducation dans le feu du respect, car ils savent qu’elle bouleversera tout dans tous les domaines : politique, juridique, économique, militaire, social... L’homme reprendra ses droits légitimes, sa place de Fils de Dieu et de représentant de l’ordre céleste sur la terre. Il se servira de son corps physique comme d’un instrument au service du moi intérieur et du feu de sa conscience supérieure.
Éveiller l’être qui habite le corps et le conduire vers l’âme immortelle
Si l’homme est identifié passivement à son corps physique, il demeure totalement inconscient du monde de l’esprit et de l’âme qui l’entoure, l’influence et le modèle. En s’éveillant, il prend conscience et peut donc apprendre à s’orienter et à s’identifier d’une façon juste, non seulement dans les mondes visibles, mais également dans les mondes subtils.
L’homme non éduqué s’identifie à son corps, croyant qu’il lui appartient. Cela n’est qu’une croyance, qu’un concept, qu’une vue de l’esprit. Le corps est en communion avec la terre et avec l’esprit : avec la terre par sa constitution et avec l’esprit par ses rythmes, ses habitudes, ses attitudes, ses sensations, ses perceptions, ses impressions…
Le corps connaît ses besoins et il sait les exprimer. Il donne la sensation d’exister, c’est son offrande. Il aime ce qui lui est agréable et cherche à éviter ce qui lui est désagréable. Il a sa volonté et son intelligence propres. Il sait se mettre en retrait et céder la place à l’être qui habite le corps.
L’esprit et l’âme viennent habiter le corps, faire naître en lui un esprit, une sensation d’existence, un moi. Ce moi n’est pas forcément un pur esprit ; il peut être juste le reflet d’une époque, d’une mode, et en cela, il est éphémère. Il aimera porter telles chaussures, avoir telle apparence, parler de telle manière parce qu’il vivra sous la domination de l’intelligence de l’époque. Ainsi, c’est le monde de l’éphémère qui vient profiter de ce corps pour avoir la sensation d’exister. C’est une ombre, un semblant qui habite le corps.
Éveiller l’être qui habite le corps et le conduire jusqu’à l’âme immortelle, à travers les illusions et concepts erronés, est un des buts de l’éducation essénienne. En agissant sur le corps, on agit sur l’âme et l’esprit ; en agissant sur eux, on agit sur le corps.
Fort de cette connaissance, la tradition essénienne a codifié une gestuelle sacrée, des sons, des paroles, des attitudes, des rythmes, des comportements, des concentrations qui permettent, sous certaines conditions, d’éveiller l’immortel et de maîtriser le mortel, de le conduire dans la douceur et l’amour. C’est cette sagesse qui est l’objet de l’étude et de l’attention de cette éducation globale. Chaque élève doit étudier et porter son attention sur ce savoir codifié afin de s’éveiller et de se connaître.
La connaissance de la véritable nature de soi-même, de l’autre, de la nature et de l’esprit de Dieu permettent d’entrer dans la pratique de la voie essénienne d’une façon juste.
L’éducation essénienne de base :
Connaître l’homme et les mondes qui l’entourent
Les Esséniens ne sont pas des utopistes et ils savent vivre dans la matière comme dans tous les mondes. Ils savent qu’il y a des lois et s’efforcent de les connaître pour ne pas se faire attraper et devenir esclaves. Ils ne veulent être ni esclaves de la matière ni des mondes spirituels, mais être des serviteurs du monde divin et vivre en harmonie avec tous les êtres.
Dans son 14e commandement, l’Archange Gabriel dit : « Tu n’éduqueras pas des enfants dans l’esclavage, le fanatisme ou le sectarisme. » Ainsi, les Esséniens n’éduquent-ils pas leurs enfants en leur disant que la matière est mauvaise et que seule la Lumière est bonne, ils n’enseignent pas de dogmes, ni de croyances, ni de mensonges aux enfants.
Pour eux, l’éducation de base commence par une connaissance des mondes qui nous entourent. L’enseignement présente tout d’abord à l’élève 2 mondes : le monde divin et le monde de l’homme. Ces 2 mondes sont aussi réels l’un que l’autre.
Le monde divin est composé de 3 aspects :
- l’inconnu, qui est appelé le Père ;
- l’Alliance ;
- le manifesté.
Le Père est au-delà de tout ; seule l’Alliance sanctifie son Nom, révèle son règne et accomplit sa volonté sur la terre comme au ciel.
L’Alliance peut être appelée la « Tradition ».
Les gardiens de l’Alliance sont les gardiens de la Tradition ; ce sont les Esséniens. (Chaque individu peut devenir Essénien, quel que soit sa tradition, sa culture et sa religion.)
Cette alliance est composée des 7 règnes de la création : minéraux, végétaux, animaux, humains, Anges, Archanges et Dieux. Les Anges, les Archanges et les Dieux représentent les mondes invisibles, intelligibles de l’Alliance. Les règnes minéral, végétal, animal, humain représentent l’aspect visible, manifesté.
Le monde de l’homme est composé de 2 aspects :
- le monde visible ;
- le monde invisible.
Le monde de l’homme n’est pas le monde divin. En lui, il y a des religions, une notion de Dieu, des Divinités, des Archanges, des Anges, des traditions, mais cela ne participe pas au monde divin. Je sais que ce sont des notions difficiles à saisir pour des non-initiés à cette façon de voir le monde, mais il y a là un secret, et celui qui veut le découvrir doit étudier jusqu’à ce que la lumière se fasse en lui. Alors il découvrira un autre monde en lui et autour de lui. Ce monde ne peut être expliqué autrement que comme je le fais ici. La tradition essénienne a pour vocation de faire passer les hommes dans des états d’être supérieurs. C’est une véritable éducation du genre humain.
Dans le monde des hommes, le monde invisible s’appelle le « ciel », et le monde visible s’appelle la « terre ». Le ciel est constitué des pensées, des sentiments, des volontés. La terre est constituée des minéraux, des végétaux, des animaux et des humains. Mais les hommes ont asservi ces règnes, ils les ont envoûtés. Eux-mêmes ont été envoûtés et dénaturés par un monde invisible, qu’ils ne voient pas et ne comprennent pas.
Dans une des parties du monde divin, il y a aussi les règnes des minéraux, des végétaux, des animaux, mais ils sont des Divinités et doivent être honorés comme tel.
Les hommes doivent devenir des gardiens de l’Alliance, des intermédiaires éveillés entre les 2 mondes, visible et invisible. L’homme se tient entre les mondes. Au-dessus de lui, il y a les Anges, les Archanges et les Dieux, qui représentent l’alliance avec le Père et la Mère. Ce monde invisible n’est pas le même que celui du monde des hommes.
Le père du monde des hommes est le néant.
Le père du monde divin est la plénitude et la vie.
Le rôle de la tradition essénienne est d’amener les hommes vers le monde divin par l’éducation et la culture.
Cultiver un être, c’est éveiller sa sensibilité et sa conscience.
La vocation de cette tradition a 2 aspects, qui sont en rapport avec ces 2 mondes divin et humain.
Pour le monde divin, la mission de la Tradition est de conserver purs et vrais l’Alliance, la Tradition, le savoir-faire.
Pour le monde de l’homme, c’est une mission d’éducation, de propagation de la culture et de guérison.
Ces 2 aspects doivent être unis, mais pourtant séparés, car même s’il y a des points de contact entre les 2 mondes, il y a aussi une grande séparation et même une incompatibilité absolue. Par exemple : l’animal peut vivre dans le monde divin et en faire partie, mais le monde de l’homme l’accapare, l’envoûte, le possède et le conduit dans sa sphère d’existence, il l’emprisonne. Ce que fait l’homme avec l’animal est incompatible avec le monde divin. Mais l’homme ne le fait pas de lui-même, il agit parce que lui-même est possédé, envahi, accaparé par une autre intelligence qui n’est plus divine et qui se tient dans son atmosphère invisible. L’homme ne le sait pas, car il n’est pas éduqué et cultivé, formé pour cela. C’est le grand problème de l’éducation et de la formation du genre humain. Est-ce que l’homme est formé par l’intelligence, par le ciel du monde de l’homme ou par l’intelligence divine ? Il doit être clair que cette intelligence divine n’a rien à voir avec les différentes religions du monde des hommes.
L’éducation du genre humain
Extrait du psaume 111 de l’Archange Ouriel – Bible Essénienne
1 Les hommes se demandent souvent pourquoi tout n’est pas plus simple, pourquoi la confusion règne, pourquoi ils ne parviennent pas à comprendre le message de la sagesse supérieure et à s’unir dans l’harmonie pour le réaliser et vivre conformément à la belle lumière. Ils se demandent pourquoi ils ne parviennent pas à s’entendre, à s’accorder, pourquoi ils n’arrivent pas à se parler et à se mettre d’accord, à s’unir dans la joie pour réaliser le Bien commun, ce qui apporterait le bonheur à tous. Toutes ces questions sont des problèmes liés à l’homme en tant qu’individu créateur, à son incarnation et à la confusion qu’il porte en lui‑même.
2 L’homme est dans une situation qui n’est pas simple, car il se tient à la frontière de 2 mondes. Il porte en lui 2 natures et vit entre le monde divin, porteur de la vie, et un monde porteur de mort et de néant.
3 L’homme est celui qui doit équilibrer les mondes.
4 Il y a en l’homme une partie qui doit être universelle et ouverte à une intelligence supérieure, et une autre partie qui doit écouter le message et la parole de tous nos petits frères qui sont prisonniers dans la matière.
5 La nature divine de l’homme est atrophiée, endormie, cachée et il faut qu’il l’éveille, qu’il la cherche. Il ne doit cependant pas la trouver facilement, sans quoi il risque de vouloir l’exploiter, l’utiliser, elle qui est fragile, vivante, délicate et qui doit être maniée avec précaution, respect, intelligence. L’autre nature de l’homme est dense, grossière, brutale et froide. Ces 2 natures engendrent une confusion, car l’homme ne sait pas qui il est réellement, quelle attitude avoir, comment agir pour être juste et vrai.
6 Le malheur pour l’homme est qu’il n’est pas bien éduqué. Il ne sait pas qui il est, comment il est constitué, d’où il vient, ce qu’il doit faire, vers quoi il doit tendre. Cette confusion est liée à l’incarnation de l’homme dans le monde de la densité et de la mort.
7 L’homme a perdu le fil qui le reliait à la vie et s’est perdu lui‑même. Certains êtres en ont profité et l’ont placé dans l’ignorance pour pouvoir l’abuser et lui dérober son trésor de lumière sans qu’il ne s’en aperçoive. Les mondes supérieurs qui ne sont pas descendus dans l’incarnation savent, eux, de quoi ils sont constitués, ce qu’ils sont et ce qu’ils ont à faire.
8 L’homme a 2 natures qu’il ne sait comment harmoniser et unir. Les mystères divins l’entourent, mais il ne les voit pas. Il s’attend à autre chose, car ce sont les yeux du monde grossier qui dirigent sa vie et regardent le monde à travers lui. Il porte donc en lui une impulsion mais ne peut la comprendre, car il ne l’appréhende pas avec la bonne nature, le bon organe.
9 Si l’homme parvenait à contempler le mystère sacré avec sa nature subtile et délicate, il verrait apparaître le royaume de la Lumière qu’il porte en lui et qui vit autour de lui. Il ne rencontrerait pas d’opposition entre ce qu’il pense, ce qu’il veut, ce qu’il perçoit et ce qui agit en lui.
10 Tant que l’homme perçoit une confusion en lui, il ne voit pas réellement si ce qu’il vit est vrai. Il perçoit mal l’opposition qui vit en lui et le plonge dans l’ignorance de ce qu’il est, du monde qui l’entoure. Pour ne pas affronter cette dualité, cette division qui est en lui, il entre dans l’inconscience. Il cherche à être rassuré et calmé.
11 L’homme perçoit intuitivement qu’il y a une différence entre ce qu’il sent et ce qu’il dit, ce qu’il veut et ce qu’il fait. Il se sent faible, divisé.
12 Même entre eux, les hommes ne parviennent plus à se parler, à s’entendre et à se comprendre. Ils ne sont pas d’accord les uns avec les autres, et même lorsqu’ils ont la même pensée, ils finissent par se décourager, se quereller et même se battre.
13 Il est temps de s’éveiller, de se reprendre en mains, d’étudier, d’entrer dans une éducation sage, claire et puissante et de se faire des corps solides, capables de percevoir la Lumière telle qu’elle est, de la mettre en mouvement dans la pureté et l’harmonie.
14 Même si une intelligence supérieure agit dans l’homme, il y a toujours cette nature grossière qui vit en lui et le déstabilise. L’homme doit le savoir et s’y préparer.
15 Lorsque l’homme veut regarder la Lumière, il ne doit pas utiliser les yeux du corps mortel, mais les yeux de la Lumière en lui. Il n’y aura alors pas de mélange.
16 Si l’homme regarde la Lumière avec ses yeux mortels, il éveillera sa nature mortelle, puis voudra inévitablement la voler, la conduire là où elle ne veut pas aller, engendrant ainsi la confusion. C’est pourquoi, dans la Tradition, la discipline et la maîtrise sont des notions fondamentales de l’éducation du genre humain. […]
Pour en savoir plus :
L’éducation – une véritable éducation pour une humanité éveillée
Olivier Manitara - Ed. Essenia
Article extrait du magazine Essentiel n°35 - octobre-novembre-décembre 2017
Magazine Essentiel, une autre vision du monde
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Dans cet article, on vous donne 10 astuces pour une vie meilleure selon le Dalai Lama, guide spirituel tibetin.
“L’amour et la compassion sont des nécessités, pas un luxe”
Montrez de la compassion envers votre prochain serait bénéfique pour votre santé. Il aurait pour principaux effets de réduire le stress, de réguler les pulsations cardiaques et d’augmenter les défenses immunitaires.
De plus, une étude montre qu’éprouver de la compassion libère de l’endorphine, souvent appelée “hormone du bonheur”.
“Notre but principal dans la vie est d’aider les autres”
Faire preuve de gentillesse envers autrui augmenterait sensiblement votre sensation de bien-être intérieur.
En effet, d’après une étude de 2001, les personnes bienveillantes seraient moins sujettes à la dépression.
La raison ? Ils auraient tendance à avoir une meilleure estime de soi, à mieux évaluer le sentiment de bonheur et leur qualité de vie.
Qu’elle que soit notre identité, couleur de peau, culture ou religion, nous avons tous le même but : être heureux.
La quête du bonheur est souvent entravée par l’évolution de la société de consommation, qui nous indique les mauvaises priorités.
En effet, notre société actuelle tend à nous convaincre que la possession de biens matériels rend plus heureux.
La philosophie du Dalai Lama indique que le pardon, la compassion, la patience, la tolérance ainsi que la sympathie sont les 5 pilliers fondamentaux du bonheur.
C’est donc tout simplement à l’Homme en tant qu’être humain de revoir ses priorités s’il veut atteindre le bonheur véritable.
Développement durable, recyclage, tri sélectif… nous avons tendance à oublier combien les petits gestes écologiques sont importants pour notre planète.
Pour survivre dans un éco-système sain, il faut prendre soin de la Terre. Par exemple, en utilisant des sources d’énergie alternatives.
Respecter son environnement, cela fait également partie de nos défis quotidiens pour être heureux.
“Si aider les autres vous paraît trop difficile, essayez au moins de ne pas leur nuire”
Ne pas nuire à son prochain, c’est faire le choix de faire le bien autour de soi. Une prise de décision pas toujours évidente pour certains, mais nécessaire.
Cela consiste à ne pas profiter des autres, ne pas les harceler, ne pas colporter de ragots sur eux, mais aussi ne pas mentir.
L’amitié joue un rôle majeur dans votre vie. En effet, vos amis façonnent votre personnalité, vous apprennent à évoluer et font partie intégrante de votre quotidien.
Si vous sous-estimez celle-ci, vous vous sentirez isolés ou même entamerez une dépression.
Ils vous aident à progresser, vous soutiennent et n’hésitent pas à vous défendre si nécessaire. C’est également grâce à vos amis que vous êtes la personne que vous êtes aujour’hui.
Les nouvelles technologies et réseaux sociaux peuvent vous nuire s’ils deviennent trop envahissants dans vos vies.
Vos amis virtuels ne remplaçeront pas vos amis réels. Les écrans créent une façade entre le monde virtuel et réel.
Le Dalai Lama conseille d’aller directement à l’encontre des gens et de ne pas devenir l’esclave des technologies actuelles.
Comment éviter le conflit ? En dialoguant.
Ici, le chef spirituel nous conseille de chercher le compromis plutôt que le conflit.
L’esprit de conciliation serait la solution pour résoudre un désaccord entre deux individus.
Il préconise également de se concentrer sur les raisons à l’origine du problème plutôt qu’à ce qui a été fait et qui pose problème au moment des faits.
En effet, raviver le passé n’est pas la solution au problème.
“L’apaisement réside en chacun de nous”
Pour éprouver le sentiment de bien-être intérieur, il faut remplacer les émotions négatives par des sentiments positifs.
Pour cela, le Dalai Lama conseille à tout individu de méditer sur les émotions négatives telles que la colère, la jalousie et la culpabilité afin de les chasser de son esprit et ainsi, de les remplacer par des émotions positives telles que la gratitude, l’amour, la paix.
Selon lui, “un esprit serein est une source de bonheur et de bonne santé”
“Si vous perdez, ne perdez pas le fruit de la leçon”
Les échecs font partie de nos vies, c’est à nous de savoir en tirer profit. Aucune expérience n’est inutile, au contraire, elle nous arrive pour une raison particulière.
Blâmez nos erreurs n’est pas la solution, en effet, il nous faut les assumer et en tirer une leçon constructive.
Vous vous releverez ainsi plus forts et plus construits.
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Le stress est devenu au fil du temps un véritable fléau. Il concerne aussi bien les enfants que les adultes. En effet, nos sociétés occidentales sont affectés par beaucoup de maux, en particulier ceux affectant notre bien-être mental, qui ont sans doute un large impact sur le vivre ensemble, la consommation, l’économie, la productivité, les débats de société. La sérénité et le calme sont donc peut être des qualités ou des compétences qu’il est urgent de développer.
Des signaux inquiétants
Ces chiffres mettent en évidence la nécessité de retrouver de l’apaisement dans nos têtes et dans nos vies ! De nombreuses études neuro-scientifiques ont prouvé les bienfaits de la méditation sur ces maux.
Alors pourquoi et comment la méditation peut-elle nous aider à canaliser notre stress ?
« Le stress c’est vouloir être là-bas alors qu’on est ici » affirme Jonathan Lehmann, coach en méditation. Et tout le but de la méditation, justement, est de nous recentrer sur l’instant présent. Lorsque l’on est stressé, les émotions et pensées négatives s’agitent dans notre esprit. Jusqu’à un point où notre mental est comme bloqué. Ainsi, on est souvent moins efficace pour se concentrer lorsque le stress nous envahit. Il nous donne la mauvaise impression que nos problèmes sont plus importants que tout le reste. A tort.
Avec la méditation, on apprend à se détendre. Ce qui va changer, c’est la façon dont on appréhende intérieurement les circonstances extérieures. Pour cela, on se recentre sur sa respiration, on se calme et on se donne les moyens de mieux gérer nos émotions. La méditation nous aide à relativiser et nous donne de la perspective sur les soucis qui nous tracassent au quotidien. Le but ? Reprendre les commandes de notre mental !
Et la bonne nouvelle, c'est que quelques minutes par jour suffisent pour ressentir les effets bénéfiques de cette pratique. Alors, qu'attendons-nous ?
Quelques exercices du méditation pour se libérer du stress par ici !
Sources : http://www.techniquesdemeditation.com - http://www.elle.fr
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Nous sommes nombreux à rêver d’avoir un pouvoir qui permettrait de changer le monde, de mettre fin aux guerres, d’éradiquer l’injustice, la violence, les mauvaises énergies… Mais certains vous dirons “ arrête de rêver, tu ne vas pas sauver le monde à toi tout seul “. Alors certes, à vous tous seul vous ne réglerez peut-être pas tous les problèmes de la terre, mais par contre, nous avons chacun le pouvoir de semer des graines qui deviendront potentiellement des solutions universelles. Des hommes y sont bien arrivés dans le passé, alors pourquoi pas nous ?
En effet, si on veut faire une différence dans le monde, cela commence d’abord par se changer soi et certaines de nos habitudes. Ainsi, la vraie solution se trouve dans le fait de focaliser sur le positif et de CRÉER les solutions, nous avons le pouvoir de créer nos vies et d’instaurer des changements concrets au niveau personnel qui impacteront indéniablement le collectif. Car quand je change, le monde change. Si on veut changer le monde et le système, cela commence par quelques étapes concrètes, qui amèneront à des changements durables dans nos vies et dans notre société. Voici quelques idées d’actions à mettre en place pour vivre autrement (pleins de liens en fin d’article !) :
Dans le système actuel, nous avons le pouvoir grâce à notre argent. Nous pouvons donc décider à tout moment de financer des structures et des systèmes plus respectueux de l’être humain, de l’écologie et de l’animal.
L’industrie pharmaceutique est une des plus lucratives du monde. Comme toute industrie leur but premier est le business et le profit. Le business pharmaceutique ne peut pas faire de profit sur des êtres en bonne santé, c’est donc dans leur intérêt de les rendre dépendants de manières chroniques aux médicaments.
Dans notre société, s’occuper de soi est souvent vu comme quelque chose d’égoïste. Or nous sommes chacun la personne la plus importante de notre vie ! Si l’on veut pouvoir donner aux autres et être au top, il faut d’abord se donner à soi-même.
Les médias traditionnels appartiennent à des grandes multinationales, ils tirent leurs informations des agences de presse qui centralisent toute l’information. Les informations diffusées sont donc triées et biaisées en fonction de ce qui sert les propriétaires des médias.
La structure scolaire classique est de plus en plus remise en question. En effet elle est principalement basée sur la compétition, la hiérarchie, l’instruction passive et la répétition. Elle ne développe ni ne respecte la nature créative et spontanée de l’enfant, le conformant à un modèle unique qui ne prend pas en compte sa nature unique.
Ressources :
Réseaux producteurs :
http://laruchequiditoui.fr/fr
http://www.mon-producteur.com/
http://www.acheteralasource.com/
Banques alternatives
http://www.bastamag.net/Comment-reconnaitre-une-banque-veritablement-alternative-ethique-et-d-utilite
http://www.lanef.com/
http://www.credit-cooperatif.coop/
http://financeresponsable.org/
Vêtements artisanaux ou produits localement :
http://www.etsy.com
http://www.alittlemarket.com
http://www.lafabriquehexagonale.com/2010/12/vetements/
Développement personnel et médecines douces :
https://www.neobienetre.fr/
http://www.citationbonheur.fr/
Sites d’infos alternatives :
https://www.bastamag.net/
https://positivr.fr/
https://mrmondialisation.org/
Éducation alternative :
https://www.educationalternative.fr/
https://www.festival-ecole-de-la-vie.fr/
https://www.innovation-en-education.fr/
https://innovation-education-lemag.fr/
http://www.festival-ecole-de-la-vie.fr/
http://www.icem-pedagogie-freinet.org/
http://www.montessori-france.asso.fr/
http://www.steiner-waldorf.org/
Mouvement d'acteurs du changement :
https://www.colibris-lemouvement.org/
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Beaucoup d’entre nous avons été des enfants qui n’ont pas reçu autant que nous aurions aimé, autant que nous aurions dû recevoir. Certains ont été négligés, n’ont pas reçu les soins nécessaires à leur plein épanouissement, d’autres ont été abandonnés, ou encore humiliés, abusés, battus... Trop souvent, nous traînons dans notre vie actuelle des traumatismes du passé qui agissent comme des boulets, des obstacles ou des freins à notre bonheur et notre épanouissement.
Certains croient que nous ne pouvons pas donner ce que nous n’avons pas reçu. D’autres sont convaincus que leur enfance malheureuse les empêche pour toujours d’être heureux dans leur vie actuelle. Bien sûr, ces traumatismes laissent des cicatrices pour tous ceux qui les ont vécus. Pourtant, il est possible de se construire une vie heureuse malgré un passé difficile. Et même parfois, nous pouvons apprendre à être heureux grâce à celui-ci ! Quelques conseils…
N’en faites pas un déni, car la blessure existe bel et bien, et l’accepter est la seule chose qui vous aidera à aller de l’avant. Le fait d’accepter une blessure signifie la regarder, l’observer attentivement et savoir que résoudre des situations fait partie intégrante de l’expérience de l’être humain. Vous devez accepter et comprendre que nous ne sommes pas mieux ni pires si quelque chose nous fait du mal. Le fait de se construire une carapace est un acte héroïque, un acte d’amour propre qui requiert beaucoup de mérite, mais qui a déjà rempli sa fonction : elle vous a déjà protégé de l’environnement de la blessure, c’est donc l’heure d’avancer. Accepter nos blessures est très bénéfique du moment que l’on assume l’apprentissage dont nous avons besoin. Si vous ne le faites pas, vous vous vous exposerez à de nombreux problèmes à long terme, comme la dépression et l’insécurité.
Tous les événements que nous avons vécus nous ont façonné et ont fait de nous ce que nous sommes. Si nous avons le courage de regarder la réalité comme elle est, nous pourrons sans doute voir qu’à cause/grâce à notre passé :
Si nous focalisons notre attention sur la douleur et la recherche d’un responsable, nous perdrons de l’énergie, qui est nécessaire pour soigner la blessure. Essayez de vous pardonner et de pardonner les autres, car c’est la seule manière de tourner la page et d’ouvrir votre cœur. Vous devez comprendre que la volonté et la décision de se superposer à vos blessures est la première étape vers l’auto-compréhension. Vous développerez ces qualités en vue d’un meilleur bien-être émotionnel. Vous ne pouvez pas demander aux autres de remplir vos attentes et qu’ils vous sortent du puits à chaque fois que vous coulez. Ce sont ces types de comportements qui mènent à la fin d’une grande partie de nos relations, ce qui renforce un grand mal-être émotionnel.
Donnez-vous du temps pour observer comment vous vous êtes attaché à votre blessure pendant tout ce temps. Absolument toutes les expériences nous enseignent quelque chose. Il est probable qu’il soit difficile de l’accepter car notre égo est spécialiste pour créer une barrière de protection qui cache nos problèmes. Tout changement requiert un grand effort, mais il est nécessaire de regarder en face et d’affronter le fait que nous ne sommes pas nous-même et que quelque chose doit changer. La blessure était là et sans savoir comment, elle a dirigé chacun de vos mouvements. Défaites-vous de vos masques, ne vous jugez pas, ne vous critiquez pas et mettez toute votre volonté pour soigner votre blessure en profondeur. Il est possible de changer de masque en un jour ou de porter le même pendant des mois ou des années....
Vous pensez certainement que vous pouvez tout faire seul et que vous vous êtes déjà sorti de puits plus profonds. Cependant, il n’y pas de raison de devoir renoncer à un cœur qui vous écoute patiemment. Il est évident que le soutien des autres peut être crucial lorsqu’on doit dépasser de multiples obstacles.Ne renoncez pas aux câlins et au monde. Ils font partie de vous, et ensemble, vous pouvez reconstruire un nouveau foyer dans lequel vous pourrez vivre sans souffrance. La magie de la vie est là. A l’inverse, si vous avez dans votre entourage des personnes qui ont souffert jeunes et qui croient qu’ils ne pourront jamais guérir de leurs blessures d’enfance, il en tient à ceux qui ont su se relever de les aider à se remettre debout, de les entourer d’amour et de leur permettre de reprendre espoir en une vie meilleure.
Oui, nous pouvons donner ce que nous n’avons pas reçu, si nous-mêmes avons appris à NOUS le donner. On peut prendre soin des autres, si on a appris à écouter nos propres besoins et à y répondre. On peut aimer si on a appris à s’aimer. Notre enfance fait partie du passé. Dans notre présent, malgré ce que nous avons vécu, nous pouvons toujours choisir d’avancer un pas à la fois, plutôt que de rester dans notre souffrance.
Nous pouvons choisir d’apprendre à nous aimer, comme nous aurions aimé l’être 🙂
Sources : https://amelioretasante.com - http://lasolutionestenvous.com
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Faites-vous parti des personnes qui ont le besoin de toujours tout contrôler ? Vous avez besoin de tout vérifier afin de de tout maîtriser, et vous en êtes épuisé ? Apprenez maintenant à lâcher-prise, cela fait le plus grand bien. Suivez le guide !
D’où vient ce besoin de contrôle ?
Le concept du “ contrôle à tout prix “ émerge véritablement depuis quelques décennies et prend de plus en plus d’ampleur dans la vie des gens. Au travail comme à la maison, aucun détail n’échappe à la vigilance de celui qui contrôle tout. Tout ce qui se déroule sous ses yeux se doit d’être planifié, calculé, dirigé, remanié, pour atteindre une perfection qui, en fin de compte, n’existe pas.
Un perfectionnisme illusoire
Les “ accros du contrôle “ sont perfectionnistes, mais c’est un perfectionnisme paralysant, car rien n’est jamais comme il faudrait. Un sentiment de supériorité inconscient le pousse à prendre les devants, car selon lui, les autres ne savent pas gérer les imprévus. Rien n’est laissé au hasard, tous les détails et aléas sont imaginés et pris en compte. Avoir le contrôle sur tout et tout le monde, c’est réduire nos chances de souffrir d’au moins 98%. Donc, en contrôlant notre environnement, on augmente nos chances de voir nos plans se dérouler comme prévu. Mais la conséquence, c’est une vie dans un état de stress et de déception permanent car les autres gardent malgré tout leur libre-arbitre, et que rien ne se passe jamais vraiment comme prévu. Alors c’est l’énervement, un sentiment de mal-être excessif qui nous gagne.
La peur de l’échec
Quand nous réussissons à garder le contrôle, nous nous sentons soulagés. Mais si nous n’y parvenons pas, alors des sentiments de grand stress, de frustration et de colère apparaissent. La peur et le sentiment d’insécurité sont nos plus grands ennemis. En s’obligeant à viser la perfection, si difficile à atteindre vu le degré d’exigence imposé, le “ control addict “ est très souvent malheureux. Cette peur du non-contrôle dirige sa vie et, par conséquent, son entourage. Un sentiment de stress extrême qui peut également le mener à refuser de s’aventurer en terrain inconnu, où il pourrait ne pas réussir. Dans les cas les plus graves, le besoin de tout contrôler est associé à des TOC. Or, l’échec est inévitable, et est surtout un vrai vecteur d’évolution, de changement… Nous ne pouvons nous en passer pour avancer !
Test pour savoir où vous en êtes :
Notez vos réponses 1 , 2 , 3 ou 4 sur un bout de papier pour chacune des 12 questions :
Réponse 1 = Rarement ou jamais
Réponse 2 = Occasionnellement
Réponse 3 = Souvent
Réponse 4 = Très souvent
Faites maintenant le total en additionnant vos réponses, avant de vous reportez aux résultats.
Résultats :
5 conseils pour lâcher prise :
Vous vous rendez compte que vous êtes accro au contrôle ? Ne vous inquiétez pas, rien n’est figé dans la vie, et voici quelques conseils pour changer de comportement :
Le “ contrôleur compulsif “ est constamment dans des mécanismes de défense. Il doit apprendre à s’ouvrir aux autres, leur faire davantage confiance et s’octroyer plus de spontanéité. Mais pour arriver à faire confiance aux autres, il faut déjà reprendre confiance en soi. C’est la première partie du travail et la plus importante. En travaillant son estime de soi, vous découvrirez qu’énormément de choses se débloqueront !
Oui, car il est clairement impossible de tout prévoir et contrôler ! Et c’est aussi cela la magie de la vie ! Alors oser prendre des risques, en vous donnant les outils nécessaires pour parvenir à vos buts. Il suffit d’un déclic pour réaliser que vous ne pouvez pas tout contrôler. Acceptez qu’il est possible d’échouer, que c’est le lot de tout le monde, et que vous n’en ressortirez que plus grand !
Souffler de temps en temps est vital ! La meilleure façon pour commencer à lâcher prise est de s’attaquer aux petites choses anodines qui nous tracassent. Par exemple, déléguer des tâches qui ne sont pas trop importantes : lavage du linge, réservation du restaurant, choix des activités dominicales etc. À force de constater que le monde ne s'écroule pas à chaque fois qu’on lâche prise, on sera plus apte à accepter des défis plus grands par la suite.
Il est nécessaire de s’arrêter parfois, et il existe mille façons de se détendre et de décrocher de ses pensées d’anticipation permanente : la lecture, le sport, la respiration, la méditation de pleine conscience, le yoga, etc. Autant de pratiques qui peuvent être d’un recours précieux pour faire la paix avec ses propres émotions et pour ressentir la richesse de l’instant présent. Vous constaterez ainsi que la vie apporte non seulement son lot d’événements imprévisibles, mais aussi de très belles surprises !
Sans porter de jugement, il convient de se désolidariser de cette manie de tout contrôler. Il s’agit ici de déconstruire ce comportement que l’on peut résumer par “ je veux tout contrôler et être parfait “, de façon à se rendre compte que le problème ne vient pas de nous mais d’un contexte particulier. Il convient également d’identifier les effets de ce comportement dans votre vie et dans celle des personnes qui vous entoure : est-ce que cela nuit à mes valeurs ? à mes relations ? En faisant ce travail, seul ou avec l’aide d’un professionnel, vos actions prendront petit à petit un nouveau sens, plus enrichissant.
Enfin, le lâcher-prise demande du travail : on ne se transforme pas intérieurement du jour au lendemain. Chaque jour est un nouveau challenge dans lequel il faut construire, travailler sur son mental, sa foi, son éveil… Mais avec de l’entraînement et de la persévérance, ces automatismes deviendront de plus en plus naturels.
N’oubliez pas, tout n’est pas tout blanc ou noir, et comme l’a dit un célèbre physicien il y a plus de cent ans maintenant : TOUT EST RELATIF ! Alors soufflez, relativisez, et appréciez la vie, simplement 🙂
Source : https://www.mieux-vivre-autrement.com
Le lâcher-prise en 7 étapes par David Laroche :
Petite méditation pour lâcher-prise par Jonathan Lehmann :
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Le massage minute.
En 20 minutes seulement, le Amma Assis permet de récupérer efficacement et de repartir du bon pied. Il stimule la circulation sanguine et l'énergie vitale (Qi)
C'est l'un des principaux objectifs du massage assis ou Amma Assis.
Le flux sanguin suit le circuit de l'énergie : ouvrir ce circuit contribue à améliorer simultanément la vitalité.
Ces séances doivent être régulières pour un effet optimal.
Bien-être et performance
Plus vous vous sentez bien, plus vous êtes performant : l'amélioration de votre flux énergétique est non seulement bénéfique pour les zones touchées, mais elle accroit également votre bien-être et vous permet d'avoir un état d'esprit plus positif. Cette combinaison gagnante vous permet d'évoluer au sommet de votre forme tout en apportant le flux énergétique nécessaire pour être endurant.
Diminution du stress
L'un des avantages les plus importants du massage assis ou Amma Assis est la diminution du stress. Le rééquilibrage du système diminue les tensions musculaires et favorise la détente. Lorsque vous modifiez les schémas de déséquilibre, le stress est automatiquement moins présent dans votre vie.
Croissance et transformation émotionnelle
Pendant une séance de Amma Assis, vous ressentez une profonde détente qui vous permet de plonger à l'intérieur de vous-même. Vous y trouverez peut-être les mécanismes qui vous empêchent d'être complétement épanoui. Vous vous sentirez peut-être capable de voir la vie d'un œil nouveau et mieux prendre soin de vous.
Sur rendez-vous uniquement, 25€ les 30 minutes, Merci de partager entre vos amis, famille, que la joie soit avec vous.
Karine Leyet, relaxation, Access Bars® et soins énergétiques en Mayenne
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Dans les situations difficiles sur le plan émotionnel, voudriez-vous gardez plus souvent votre calme et votre assurance ?
Aimeriez-vous vous sentir moins visé personnellement par des reproches ou des critiques ? (tiens, tiens… on retrouve l’Accord Toltèque No 2)
Vous demandez-vous comment gérer votre colère pour éviter de compromettre vos relations ?
Vous demandez-vous comment faire passer votre message sans nuire à votre relation ?
Est-il pour vous, plus important de privilégier la relation à la transmission de l’information ?
Selon A. Basu et L. Faust, si vous avez répondu oui à au moins deux de ces questions alors vous trouverez dans ce chapitre un outil pour résoudre les conflits de manière constructive et formuler des solutions durables.
La communication non violente permet de :
En cela, on retrouve certains principes de la PNL (Voir le chapitre : La PNL : Outil de communication ?) qui est complémentaire à la CNV à moins que ce ne soit le contraire.
Voici maintenant, les principes de la communication non violente. Le principe, qui est, pour moi, le plus important et le Tu, en effet le « Tu tue ». Qu’est-ce que cela veut dire ? En commençant ma phrase par Tu, j’émets un jugement, en commençant ma phrase par Je, j’exprime mon avis. Il est donc utile de remplacer « ce que l’autre fait ou es » par « ce que j’aimerai » ou « ce dont j’ai besoin » ou encore « ce que je ressens ».
Exemple : Tu me mets en colère quand… devient je ressens de la colère quand… Cela ne met pas l’autre en responsabilité de votre colère alors que la première formule est accusatrice.
Autre exemple :
Tu me colle trop |
J’ai besoin de respirer un peu |
Tu ne m’écoute pas |
J’ai le sentiment que je parle dans le vide |
Tu ne comprends rien |
J’ai besoin que tu comprennes qu’il est difficile pour moi de m’exprimer sur ce sujet |
Tu ne fais jamais attention |
J’aimerai que tu sois plus attentif |
Tu ne partage pas |
J’ai besoin de me sentir plus intégrer |
Tu ne m’as pas donné… |
Je n’ai pas trouvé… |
Il y a aussi, selon moi un deuxième principe, absolument indispensable, c’est la reformulation. En reformulant, ponctuellement, on s’assure d’avoir bien compris les propos émis par la personne en face ou le groupe, je montre ainsi à la personne que j’ai bien entendu ce qu’elle me dit, cela la conforte et évite une interprétation de ma part, qui est la source principale des conflits malheureusement. La reformulation est, pour moi, la meilleure façon d’écouter.
Chercher toujours l’accord gagnant-gagnant, adopter une posture et une formulation pour trouver une solution à un conflit satisfaisante pour les deux parties.
Eviter le langage guerrier : c’est la guerre, je vais me battre, je ne lâcherai rien, je vais les faire taire… Eviter dans les formulations, les postures : Ordonner, Accuser, faire la leçon, comparer, Menacer, Exiger, Généraliser, Donner des conseils, Ignorer, ridiculiser, mettre en garde, revenir sur le passé, vouloir avoir toujours raison…
Pour éviter les interprétations, partez seulement des faits qui sont par essence indiscutables, cela favorise donc un point d’accord. Cela vous évite également d’émettre un jugement.
Il me semble important de faire un point sur le sentiment de colère, qui n’est pas, à mon sens, un véritable sentiment, Je m’explique, la colère, cache, pratiquement tout le temps, un autre sentiment qui est la plupart du temps la peur, et quelques fois, autre chose comme la tristesse, l’injustice, la déception, la frustration, l’impuissance… Alors quand vous êtes en colère, allez chercher ce qui se cache derrière, cela vous permettra de voir clair en vous et certainement de découvrir la véritable raison de la colère, qui est en fait un autre sentiment en vous. La colère ne permet pas de dialoguer, elle force votre interlocuteur à se réfugier dans la défensive, et pire de se mettre en colère également.
J’ai écrit « quand vous êtes en colère » mais en fait c’est faux, je devrais écrire, quand vous ressentez le sentiment de colère, effectivement, nous ne sommes pas nos sentiments, ni nos comportements (cela est décrit en détail, dans les chapitres sur la PNL), nous Sommes qui nous Sommes, avec notre métier, nos sentiments, nos comportements… Par exemple, ne dites pas je suis informaticien mais j’exerce le métier d’informaticien, dites je ressens de la fatigue plutôt que je suis fatigué, cette situation m’attriste plutôt que je suis triste. En effet vous vous dotez d’une caractéristique générale en disant « Je Suis… », alors évitez qu’elle soit négative.
C’est très important de dissocier la personne de ce qu’elle exprime ou fait et ainsi cela permet de mieux la comprendre, d’une manière générale, une personne en colère souffre, essayons quand cela arrive de trouver ce qui la met réellement en colère pour répondre au besoin qu’elle exprime derrière la colère. Ainsi, nous aurons une vraie communication, qui sera, en plus, une vrai aide pour la personne qui a laissé sa colère l’emporter. Comment faire ? Être centré sur soi, être à l’écoute de soi, de ses sentiments et savoir ce qu’on veut dans cet échange, quels sont nos demandes, nos besoins.
Être soi, c’est rester authentique tout en maîtrisant ce qu’on fait de ses sentiments, de ses pensées, c’est garder le contrôle sur la situation en restant centré sur soi-même. Vous ne pouvez pas stopper une pensée négative, le processus cognitif est automatique, mais vous avez le pouvoir de ne pas entrer dans cette pensée, lui dire NON et même la remplacer par une autre pensée plus agréable ou positive. C’est la même chose avec les sentiments. Vous êtes donc responsable consciemment de ce que vous faites de vos pensées et sentiments.
Tout ceci, représente une écoute empathique. La relation prime sur l’information, vous pouvez lire les explications détaillées dans les chapitres sur la PNL, vous trouverez également que chacun possède son monde (la carte n’est pas le territoire), ses points de vue avec ses propres filtres, et nous possédons chacun notre propre monde. Cela revient à « comprendre le point de vue de l’autre et voir les choses avec ses yeux ». (Henry Ford). Cela m’amène à un autre sujet pour une communication efficace.
Nous utilisons tous nos cinq sens mais nous en privilégions un, avec lequel nous sommes plus à l’aise. En fait trois, sont remarquables, la vue, l’ouïe et le kinesthésique (toucher, sentiment, goût, odeur), nous sommes donc décrit comme une personne visuelle, auditive ou kinesthésique. Observez le sens prédominant de la personne à qui vous parlez, si elle se réfère souvent à la vision : je vois, je vais prendre une image, éclaire moi sur un point… cette personne est en prédominance visuelle, il vous faut donc adapter votre discours avec des éléments visuels qui, de ce fait, faciliteront votre communication. Agissez de la même façon avec l’ouïe, (ça te parle ? tu m’entends, …) et le kinesthésique, (tu sens ce que je veux dire, cela me touche…).
Prédicats en rapport avec la vision : voir, regarder, image, éclairer, point de vue, se faire jour, brumeux, pétillant, clair, regards, observer… ; en rapport avec l’audition : entendre, écouter, être toute ouïe, sourd, sons, bruits, vocal, articuler, dire, crier, sous-entendu… : en rapport avec le kinesthésique : sentir, toucher, saisir, dur, ferme, pression, chaud, froid, ambiance, flux, mouvement…
Souvent nous essayons de trouver une solution à la problématique de l’autre alors qu’il ne souhaite seulement qu’être entendu et écouté, il n’a besoin que d’une présence le plus souvent. Il ne faut pas confondre empathie et compassion, exemple : pleurer avec quelqu’un au lieu d’être simplement là et l’écouter, cela ne l’aide pas, bien au contraire. Et même, dans un moment de désarroi, il est préférable de répéter les questions qu’on nous pose plutôt que d’y répondre.
Bien sûr, cette capacité d’écoute empathique est largement nourrit par notre éducation, et du modèle que nous avons reçu. Si nous ne l’avons pas reçu, c’est un sérieux obstacle à une bonne communication, alors il nous faudra l’apprendre, et en cela ce chapitre peut être propice à cet apprentissage.
Existe-t-il des situations dans lesquelles la CNV ne fonctionne pas ? OUI, dans toutes les situations où vous n’êtes plus dans l’estime et le respect de l’autre.
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Dans un très bel article, Arthur Mantes, auteur du blog Science de Soi, nous livre des clefs pour prendre conscience que nous sommes les créateurs de notre réalité, et que ce sont nos pensées et émotions qui génèrent notre vie. Il est temps de comprendre que nous détenons un pouvoir merveilleux, et qu’il ne tient qu’à nous de l’utiliser positivement. Voulez-vous apprendre cette capacité qui fait de vous le créateur conscient de votre vie ?
1 - Prendre conscience de son pouvoir créateur
Cela signifie clairement que tout ce dont vous faites l’expérience est le fruit de ce que vous avez été jusqu’ici. « Demandez, et vous aurez », c’est la loi de l’attraction. Cette loi dit que ce que l’on vibre, on l’attire dans notre réalité. Il ne s’agit pas vraiment de demander, mais plutôt d’incarner la vibration que l’on souhaite voir manifester dans sa vie.
Ceci n’est pas dans nos habitudes, car le mode de fonctionnement “ classique “ consiste à d’abord obtenir une chose et ensuite se sentir bien. Et si la clé résidait dans le fait de se sentir bien en avance, et que c’était là la condition pour que la vie s’aligne sur notre vrai désir ? C’est le mode de fonctionnement quantique, et cela ne peut pas fonctionner autrement. Vous ne pouvez obtenir quelque chose si vous vibrez différemment de cette chose. C’est donc à vous de faire l’effort de changer votre vibration, afin que votre vie change en conséquence, et que vous puissiez attirer à vous les choses que vous désirez vraiment. C’est toute la mécanique de la réalité qui fonctionne comme cela : un être humain est une antenne, dont le champ d’énergie est constitué par les pensées et les émotions, et sa réalité correspond au champ qu’il émet.
Donc la plupart des gens ne font que constater que leur vie n’est pas comme ils le voudraient, et s’alignent alors sur une signature émotionnelle de déception, de plainte, de souffrance, de renoncement. C’est pourquoi ils réitèrent encore et encore les même expériences, en boucle. Et alors, ils ne comprennent pas pourquoi ils souffrent autant, pourquoi la vie est si dure et injuste et pour quelle raison ils sont autant victimes des circonstances. Mais sachez que la loi d’attraction est une loi neutre, et personne n’en n’est victime. Jamais ! La plupart des gens demandent des solutions magiques mais refusent de croire en la magie. Acceptez de croire que les choses dépendent de vous, que vous êtes responsable de votre vie et que, malgré les apparences, vous avez un réel pouvoir personnel sur la réalité dont vous faites l’expérience.
2 - Exprimer ses désirs
Prenez du temps pour exprimer ce que vous voulez vraiment, affirmer-le et engagez-vous à y aller. En effet, si vous ne savez pas vraiment ce que vous voulez, comment voulez-vous l’obtenir ?! La plupart des gens se servent de leur pouvoir d’observation uniquement pour les choses qui ne vont pas. Ils relèvent aisément les aspects qui leur ont fait du tort dans le passé, se plaignent des choses qui ne vont pas dans le présent, et redoutent les choses qui pourraient se produire dans un futur potentiel imaginaire.
Or, la signature électromagnétique que vous émettez dans le champ énergétique se trouve toujours ici et maintenant. Tout ce que vous pensez et tout ce que vous ressentez, se situe maintenant. Cette signature que vous émettez constitue l’attracteur de votre réalité future. Alors, plutôt que de vous focaliser sur tout ce qui ne va pas, et de ressentir pleinement à quel point cela ne va pas, pourquoi ne pas utiliser intelligemment votre sens de l’observation ?
Pour cela, servez-vous de chaque expérience, qu’elle soit positive ou négative, pour affiner vos désirs, pour mieux comprendre ce que vous voulez vivre. Ainsi, chaque situation peut être utile, prend du sens, et nous guide vers ce que l’on veut vraiment. C’est là un point essentiel : exprimer ce que l’on veut. Vous voyez, si vous ne donnez consciemment aucune direction à un bateau, il voguera au gré du vent et du courant !
3 - S’engager dans l’inconnu
Autrement dit : Arrêtez de vous poser des questions ! Pire que cela, si vous essayez d’y répondre, alors vous essayez de prédire le futur avec votre esprit linéaire du passé.
Imaginons que vous souhaitiez faire l’expérience d’un certain potentiel, peu importe que cela soit une expérience, une relation, ou obtenir quelque chose. Vous souhaitez vivre une expérience nouvelle, car elle vous permettra de sentir des choses nouvelles. Vous n’avez donc jamais expérimenté ce potentiel précis. C’est donc comme si vous ne connaissiez pas encore la signature énergétique de ce potentiel. Si un potentiel que vous désirez est inconnu à vos yeux et à votre être, est-il possible d’utiliser votre « connu » pour trouver comment l’atteindre ? Non, vous voyez bien que c’est impossible. Vous ne pouvez pas comprendre comment atteindre votre futur avec votre esprit qui est forcément limité par ce que vous connaissez ou avez connu jusqu’ici. C’est un paradoxe qui nous demande à développer une certaine confiance dans l’inconnu, ainsi qu’un ancrage dans l’instant présent.
Tout ce que l’on désire est derrière cette porte symbolique de l’inconnu, que l’on n’ose pas franchir de peur de ne pas contrôler ce qu’il se passe, de peur de perdre l’illusion de confort que l’on croit avoir, de peur d’être déçu, ou que sais-je encore. Mais toutes ces peurs ne sont qu’illusions. Et si nous acceptions d’avoir le courage de nous engager dans l’inconnu, car nous comprenons que l’inconnu est l’endroit où toutes ces nouvelles choses que nous désirons expérimenter nous attendent ?
Pour cela, il suffit de lâcher-prise sur le comment, et de laisser la réalité attirer à nous ces choses que nous désirons. Nous pourrions alors nous concentrer sur notre état d’être, car c’est lui qui est générateur de notre réalité.
4 - Utiliser son pouvoir de décision
Votre liberté réside dans votre pouvoir de décision. Vous avez la capacité de choisir et de décider de ce que vous voulez vivre car vous avez un libre arbitre.
Le problème n’est pas que les personnes choisissent quelque chose de bien ou de mal, le problème c’est qu’ils ne choisissent rien du tout. L’indécision est la pire des choses, c’est un espace de non-être ou les opposés s’empêchent mutuellement d’être. Ainsi, lorsque l’on est dans le flou, et que l’on s’empêche de vraiment choisir quelque chose, on ne choisit rien, et donc on ne vit rien vraiment.
L’acte de prendre une décision n’est pas un acte verbal. C’est un acte de l’être tout entier. Lorsque l’on prend une décision puissante et pleine de volonté, c’est toute notre énergie qui s’aligne sur la vision du futur qui correspond à cette décision. Ici, il ne s’agit plus d’être frêle, hésitant ou incertain. Il s’agit de choisir, vraiment.
Il existe un espace en vous où vous êtes déjà réalisé. Cet espace, en dehors du temps, en dehors de l’espace et de votre identité, correspond au Soi. C’est votre conscience. C’est votre partie divine, illimité, infinie, positive, optimiste, puissante et rayonnante. Si vous prenez une décision à partir de cet espace, alors en un instant toute votre énergie va converger pour s’aligner vers cette décision, et c’est toute votre destinée qui change. Cet espace Divin du Soi est l’espace sacré où vous devez prendre les décisions que vous souhaitez vraiment voir s’animer dans votre vie.
Vous avez la capacité de choisir, alors choisissez 🙂
Source : http://www.sciencedesoi.com
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C’est une chose à laquelle on ne pense pas forcément, et pourtant, avoir une bonne estime de soi est très important pour votre bien-être. Quand vous avez une faible estime de vous, vous et votre entourage en souffrez, et c’est comme si vous étiez émotionnellement paralysé. Alors que vous êtes la personne la plus importante de votre vie ! Voici plusieurs moyens de savoir où en est votre estime de vous-même, ainsi que des conseils pour la renforcer
Vous vous excusez constamment
Reconnaître ou admettre ses erreurs est une très bonne qualité, cela permet d’éviter les problèmes, les ressentiments et les malentendus. Mais il ne faut pas non plus tout prendre sur vous. Tout n’est pas toujours de votre faute. Le fait d’être toujours désolé montre bien que vous n’avez aucune estime de vous-même, et parfois, vous prenez même les erreurs des autres pour les vôtres !
Conseil : Prenez vos responsabilités pour ce que vous avez fait la tête haute et, s’il le faut, excusez-vous. Mais laissez les autres endosser les responsabilités que leurs actes impliquent. Même quand c’est vous qu’on offense, vous vous excusez en pensant que c’est de votre faute si la personne en est arrivée là. Laissez chacun porter sa croix et concentrez-vous sur la vôtre.
Vous n’arrivez pas à prendre des décisions
Prendre une décision est une véritable épreuve pour vous, forcément car vous n’avez aucune confiance en vos opinions. Vous avez constamment besoin d’un avis extérieur. On a parfois besoin de l’avis de ceux qui nous entourent pour certaines choses, mais, si vous avez besoin d’aide pour des choses insignifiantes, ce n’est pas logique. Vous doutez tout le temps et vous vous demandez ce qui arrivera si vous faites tel ou tel choix.
Conseil : Il ne s’agit pas de bon ou de mauvais choix, il s’agit juste de choix. Alors, faites vos choix par vous-même. Vous n’avez besoin de personne. Apprenez à développer et à suivre vos intuitions, elles sont votre meilleur guide, bien plus que qui que ce soit de votre entourage !
Vous prenez personnellement les critiques
On vous fera toujours des critiques pour vous permettre de vous améliorer, que ce soit dans votre travail ou dans votre vie de tous les jours. Il va falloir les accepter et essayer de vous améliorer. Mais si vous prenez toutes les critiques comme des attaques personnelles, vous n’irez pas bien loin. Les gens ne sont pas contre vous personnellement, ils donnent simplement leurs avis.
Conseil : Arrêtez de tout prendre à cœur et de réagir excessivement à chaque critique. Comme l’explique très justement Miguel Ruiz dans son célèbre ouvrage Les 4 accords toltèques, “ N’en faites jamais une affaire personnelle “. Ce que les autres disent et font n’est qu’une projection de leur propre réalité. Lorsque vous êtes immunisé contre cela, vous n’êtes plus victime de souffrances inutiles.
Vous vous comparez constamment
Pour savoir qui vous êtes ou ce que vous valez, vous vous comparez aux autres. Que ce soit à vos frères, vos collègues ou vos amis, vous vous comparez toujours à eux pour vous dire qu’ils sont mieux que vous. Vous vous jugez durement en pensant que, par rapport à telle ou telle personne, vous n’êtes rien. Vous n’arrivez même pas à accepter un compliment.
Conseil : Travaillez à modifier votre schéma de pensée : vous reconnaissez les qualités des autres, mais pas les vôtres. Inverser la tendance, et arrêtez la comparaison, il n’y a rien de plus improductif, tout simplement parce que chacun a ses propres forces, sa propre valeur, et que chaque être est unique !
Nous sommes l’être avec qui nous passerons toute notre vie, alors aimons-nous de tout notre cœur ! Retrouvez pleins d’inspirations autour de cette thématique avec le programme “ C’est décidé je m’épouse ! “ de Nathalie Lefèvre. .
Source : https://www.positivia.fr
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Selon notre degré d’évolution personnelle et spirituelle, il semblerait qu’il existe 7 paliers à gravir pour se réaliser spirituellement. Plusieurs études démontrent que la plupart des personnes se trouvent généralement au niveau 2 et 3. Les voici :
1.Le premier plan est le moins élevé et le plus primaire
C’est le plan de la conscience instinctive qui est proche de l’animal. L’être sur ce premier plan est primitif et cherche avant tout à satisfaire ses besoins sexuels et ne connaît pas l’amour. Il est totalement inconscient. C’est un niveau quasi nul au point de vue spirituel, et essentiellement matérialiste. La personne qui se trouve à ce niveau se complaît dans le matériel, c’est-à-dire l’accumulation des biens et l’assouvissement de ses besoins primaires et des plaisirs des sens. De surcroît, elle est convaincue que la mort est une finalité, qu’après la mort il n’existe plus rien. Bien entendu, pour elle, l’existence de Dieu ou d’un être suprême quelconque n’entre même pas dans l’équation.
2.Le deuxième plan est celui de la conscience collective.
A ce niveau là, la personne développe son sens des relations humaines. Elle est plus sélective dans le choix de ses partenaires mais plusieurs peuvent lui convenir. Elle ne connaît pas encore l’amour véritable mais le copie. Elle est possessive et considère son partenaire comme lui appartenant. L'ego est très fort à ce niveau. Ce plan est émotionnel et c’est la que se situe la majorité de l’humanité de notre belle planète. Il s’apparente aussi beaucoup au premier, les possessions matérielles sont encore dirigeantes, une pierre angulaire dans la vie de ces personnes. L’assouvissement des sens tient encore une place prédominante, et ces personnes ont d’ailleurs tendance à croire que la valeur des gens est proportionnelle aux biens qu’ils possèdent. Par contre, dans la majorité des cas, les personnes du second niveau d’évolution croient en l’existence d’un être suprême, mais elles ont aussi tendance à créer un dieu qui sert leurs intérêts. Leur spiritualité est très rudimentaire et par conséquent leur image de dieu l’est aussi.
3.Le troisième plan est celui du mental.
Là, l’individu situe son JE. Il commence à s’individualiser. C’est le plan du pouvoir personnel, de l’énergie, des idéologies (religieux, politiques, économiques). C’est le plan des leaders. Il fonctionne selon la dualité du mental (amour-haine, dominant-dominé etc.). Ils vivent des relations qui ne sont pas le véritable amour, mais s’en approche. C’est le plan de la prise de conscience, de la réflexion. L’individu à ce niveau élargit ses connaissances en ésotérisme, en spiritualité. Il prend conscience qu’il existe une autre dimension. Sur ce niveau, on rencontre des gens qui accordent encore une certaine importance à l’aspect matériel, mais tout en croyant sincèrement en quelque chose. La majorité d’entre nous serions à ce niveau d’évolution ou de conscience, où les personnes semblent parfois assise entre deux chaises, amassant des biens matériels, sans toutefois y accorder la valeur ou l’importance que leur accordent les personnes des deux premiers niveaux, jouissant des plaisirs des sens, mais croyant en un Dieu, mais nous en remettant plus souvent qu’autrement entre les mains de ceux qui nous disent en qui il faut croire et ce qu’il faut croire.
4.Le quatrième plan est causal.
C’est le plan où vous pouvez vous connecter à votre âme. A ce niveau, vous pénétrez dans la partie de l’âme, celle de l’amour (l’amour spirituel). A ce niveau, vous pouvez vivre l’amour avec une âme-sœur. Votre partenaire est tellement proche de vous qu’il n’y a aucun effort à faire, aucune concession. C'est la fusion. C’est le plan des créateurs, des artistes, qui expriment la beauté sous toutes ses formes. A ce niveau on a envie de donner et d'ÊTRE. Ce niveau marque aussi le début d’une certaine spiritualité. Les personnes qui ont atteint ce niveau ne sont plus préoccupées par l’accumulation de biens : elles n’ont plus besoin de ce genre de preuve pour prouver leur importance ou justifier leur existence. Elles apprécient les plaisirs des sens, sans toutefois se laisser dominer par leurs émotions ou leur passions, elles perçoivent la totalité de leur nature et elles sont conscientes du lien qui existe entre le physique, l’intellect, les émotions et la spiritualité et elles assument leur responsabilité de leur pensées, de leur sentiments et de leurs actes.
5.Le cinquième plan est celui de la super-conscience.
L’amour est manifesté et exprimé pleinement. C’est celui de la pensée symbolique. A ce niveau on peut se passer de sexualité. C'est le niveau des grands comme Beethoven, De Vinci, Pythagore etc. La seule partenaire possible est son âme-jumelle, son complément, son miroir. C’est le plan des guides spirituels, des Maîtres. Ses dons psychiques se développent naturellement, et elle accroît sa capacité de guérison. On atteint ce niveau par une illumination. Elle enseigne l’amour et guide l’humanité. À ce cinquième plan, les personnes sont dotées d’une sensibilité très raffinée, elles perçoivent l’univers comme un tout. Elles ne repoussent pas l’aspect matériel des choses, mais, par contre, l’accumulation de biens n’est pas une préoccupation. Elles ont atteint un niveau où leur intuition joue un rôle important et elles arrivent à développer assez rapidement (et assez facilement) leurs dons psychiques et s’en servent volontiers, principalement pour aider les autres. Elles s’appliquent aussi, de façon diligente, à se débarrasser de leur préjugés.
6.Le sixième plan est celui de la conscience intuitive de l’âme.
A ce niveau l’être n’a plus d'ego, il n’est plus qu’une âme rayonnant d’amour et de lumière. Il est un message vivant de l’harmonie universelle. Il a réalisé le mariage mystique (union divine). Il représente Dieu sur terre.C’est l’ermite solitaire constamment dans la béatitude. Il n’a plus de personnalité car il fait partie du TOUT. Il est proche de la fusion définitive avec l’esprit éternel. À ce sixième plan, l’Individu unifie ses sens et sa spiritualité. Il s’est pratiquement libéré de ses passions et ses émotions ne le contrôle plus. Il est conscient de son corps physique, mais les biens matériels ne l’intéressent plus vraiment. Il fait d’ailleurs peu de cas des contraintes et des limites humaines et sa pensée devient universelle; il s’est complètement libéré des préjugés. Il communique aisément avec les entités de l’au-delà, ainsi qu’avec son Moi supérieur; il connaît les raisons pour lesquelles il s’est incarné dans cette existence et comprend les leçons qu’il est venu apprendre. Il est pleinement conscient de son évolution et du niveau de conscience qu’il a atteint, sans en faire tout un plat.
7.Le septième plan est celui du divin, de la conscience cosmique.
Le corps s’embrase, le feu monte dans les canaux éthériques et l’énergie divine vous transforme en être de lumière. Vous tombez dans la conscience cosmique et l’illumination, et vous y restez pour l’éternité. Il s’agit donc du niveau le plus élevé de l’évolution humaine. La personne qui y accède n’a plus qu’une préoccupation spirituelle, rien d’autre n’existe à ses yeux. Cette personne se situe en quelque sorte entre la matière et Dieu : il n’est plus question pour elle de suivre les lois divines comme telles, parce qu’elles font parti de sa nature intrinsèque. Cette personne est ce qu’on qualifie habituellement de Maître, d’initié, c’est-à-dire quelqu’un qui a réussi la parfaite harmonisation entre le corps, l’esprit et l’âme. C’est un état très rare.
Source : http://www.lecoledeslumieres.com
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L’Ayurvéda est une médecine holistique indienne ancestrale pour laquelle chaque personne est unique. Elle enseigne comment restaurer et maintenir l’équilibre entre le corps, l’esprit, les sens et la conscience, et utilise pour cela les énergies émotionnelles, affectives et spirituelles de la personne, en s’appuyant sur le concept des 3 doshas.
Les 3 doshas
Selon la médecine Ayurvédique, nous sommes tous constitués de 5 éléments cosmiques (Ether, Air, Feu, Eau et Terre) qui forment 3 doshas : Vâta, Pitta et Kapha. Chaque personne a une constitution unique déterminée par les 3 doshas. Pour la plupart des cas, on observe un dosha dominant, parfois plus. Les 3 doshas ne sont pas statiques mais en constante évolution, variant tout au long de notre vie selon notre environnement, nos activités, notre alimentation, les saisons, etc. C’est l’équilibre de ces 3 doshas qui nous permet de jouir d’une bonne santé.
Quand l’équilibre est rompu nous ressentons alors une sensation d’inconfort. Ce déséquilibre intérieur, appelé le Vikrurti, commence dans notre système digestif. Notre alimentation est pour une grande part responsable de notre état de santé. Peuvent s’ajouter à ce déséquilibre, une mauvaise digestion mentale, un stress émotionnel ou encore les changements de saisons, de climats, d’horaires.
Pour retrouver ou conserver l’équilibre entre notre corps et notre esprit, il nous faut notamment connaître les aliments qui conviennent à notre constitution. En effet, l’Ayurveda considère la nourriture comme la meilleure thérapie pour prévenir les maladies et garder une bonne santé. En apprenant à manger et vivre avec notre dosha, nous pouvons éliminer Vikrurti et vivre en harmonie.
Vâta, Pitta ou Kapha : quel est votre dosha ?
Voici un test qui vous permettra de trouver votre dosha : test-pour-trouver-son-dosha .
Maintenant que vous connaissez votre constitution, vous pouvez sélectionner des comportements, aliments et soins adaptés afin de maintenir votre équilibre.
Pour équilibrer Vâta ( air + espace ) : Les exercices trop cardio ne sont pas idéal pour Vâta car cela va accélérer leur constitution déjà en mouvement. Il convient donc de faire des exercices plutôt lent comme le yoga, la relaxation, le vélo ou encore la natation, car Vâta a une bonne symbiose avec l’élément eau. Il convient également de se nourrir de plats chauds, nourrissants et digestes, avec des épices chaudes ( cannelle, gingembre …) mais aussi avec du bon gras. Les plats froids ne sont pas idéal pour Vâta. Il convient également de garder une routine la plus saine et la plus équilibrée possible, les journées très longues ne sont pas idéales. Ce sont des métabolismes qui sont rapides, énergiques mais qui vont avoir tendance également à subir des grosses fatigues. Pour ces constitutions, l’hydratation de la peau est essentielle. L’huile de sésame est également conseillé par l’Ayurvéda.
Pour équilibrer Pitta ( feu + eau ) : Pitta se trouve un peu à l’intermédiaire des deux autres énergies. Il est ni trop lent ni pas assez. Il est sportif et peut effectuer des sports de manière assez large : yoga dynamique, running…Par contre Pitta a un mental très actif et donc la méditation peut l’aider à calmer ses pensées. Sachant que Pitta est gouverné par le feu il doit éviter l’alcool, le stress et le trop plein de chaleur dans ses activités. Les huiles végétales de Coco et de Tournesol sont adaptées pour ces constitutions. Le Gel d’aloé vera peut être parfait pour justement réduire cet effet « feu » dont les peaux des Pitta peuvent être victimes en cas de déséquilibre. Dans l’alimentation, privilégiez les aliments frais ou tièdes, crus, peu épicés ou cuisinés avec peu d’huile, ou encore les jus de légumes frais, à température ambiante.
Pour équilibrer Kapha ( eau + terre ) : Comme le mouvement n’est pas de leur constitution, il convient de mettre Kapha en mouvement le plus possible par la mise en place d'exercices physiques intenses régulièrement comme le running, la natation ou encore le vélo rapide. Il est conseillé aux personnes de constitution Kapha de se nourrir au maximum d’aliments tièdes ou chauds, légers, secs, épicés, cuits au four, avec très peu d’huile. Tous les légumes verts sont les bienvenus quasiment dans le régime alimentaire des Kapha. Il faut éviter les épices chaudes et les plats trop gras. Egalement, les fruits légers comme les pommes et les poires sont à préférer aux fruits plus lourds comme l’avocat. Privilégiez au maximum les protéines faibles. Le jeûne est également recommandé.
Retrouver toute l’alimentation détaillée pour chaque dosha par ici !
Source : http://www.veda.ch - http://beautebordelaise.com
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